Christian BAUDAS - Poivrons, fraises et raisin de table - 2/2

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Vidéos - Ver de Terre production (27 avr. 2018) - Christian Baudas - Durée : 8 minutes

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2/2 - Entretien avec Christian BAUDAS - Poivrons, fraises et raisin de table


Aujourd'hui, seconde partie d'un entretien avec Christian BAUDAS, producteur en sol vivant sous couverts végétaux de poivrons, fraises et raisins de table ! Il nous racontera son parcours, son itinéraire technique et ses projets !

Annexes

Transcriptions

si vous êtes un e serre de production de

fraisiers hors sol c'est nécessaire une
conception particulière du fait de
l'orientation dans la serre qui a été
calculé donc la serre est orienté au le
vent du soleil vers le soleil se lève
comme ça donc vous posiez tout à l'heure
la question pourquoi ses filets donc on
a mis des filets ce set c'est une
conception un peu unique à l'autoroute

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est en france nous on n'a pas filtré

toute assez à pourquoi parce que parce
que si on filait tout la serre si on met
de l'ombre âge comme il est fait par
récolter a partout et par tous
nos collègues au nombre toute la scène
et nous on s'est dit on veut pas enlever
toute là c'est parce que les plantes
travaille beaucoup
une plante travaille beaucoup le matin
dès qu'il fait très chaud ferme 6
tomates ya tant et plus donc on a dit on
va favoriser au maximum la lumière du
matin c'est pour ça que ce n'est pas en
bray sur toute la campagne de frazier
sceaux s'est pas encombré du tout on le
vendait du matin jusqu'à deux heures de
l'après midi on prend tout le soleil qui
peut rentrer la scène et on à andré que
l'après midi c'est à dire le soleil en
deux heures qui arrive là elle s'élèvera
il arrivé là il passe là et là on fait
de la monnaie unique ne travaille plus
et ennuyeux à température voilà pourquoi
on a fait ce système là mais ça c'est
une fraise asie barre de monsieur barack
et il se montre plus en plus à verdun
lot-et-garonne et avec cette orientation
on s'aperçoit vraiment qu'elle aime plus
techniquement et donc on a appris en
tonneau choisir sol et sur nos fusils au
sol comme je le disais tout à l'heure
dans les poivrons
une fusion en lui mais lui injecte tous
les jours à boire manger et au bout en
dix ans la troc sa pergola et c'est
récupéré dans les gouttières c'est
récupérer la succube 350 mètres cubes
ça fait que ces sept russes ont changé
il ya encore de la grille et on met un 7
8 ans ne s'est produit le fraisier ça
ressort à 1,1
donc ça veut dire que c'est le corps
chargés quoi il ya encore de l'engrais
de la bouffe on récupère tout ça et tout
ça après c'est récupéré et s'est arrosé
en aspersion sur le pont
ça fait que l'herbe est bien un moment
donné 2 elle prend un petit peu le reste
de la fumure du de la fraise
voilà pour la peau les reliquats de la
serre ça veut dire que rien ne se perd
rennais rejeté la nature tout est
recyclé par et plantes
donc c'est propre donc ensuite au niveau
du fraisier donval en tout un tas de
petites bestioles qui nous qui nous
handicapent corps et en particulier le
thrips californien où c'est comme
faisait beaucoup de traitements par le
passé on fait de moins en moins être
étonnant on est venu plus propre donc on
lâche un des embiez us un minus et tous
les petits pains sachez que vous voyez
là maintenant qu'on a nettoyé la
fraisière soit il faut savoir que ses
amis russes à l'aise car ça pourrait
présenter entre entre 54 et 10000 euros
quoi suivante combien on fait des
passages et combien n'importe quoi donc
c'est un coup énorme au niveau de la
de la culture de fraisiers et nous on a
réfléchi à vos écologie agroforesterie a
dit pourquoi tous les arts il faut qu'on
relâche ces bestioles c'est un coup
énorme a fait des travailleurs fait
travailler déjà huit qu'on n'a pas
besoin et on se dit peut-être qu'en
introduisant des plantes dans la serre
on va rééquilibrer l'écosystème et on
aura même deux problèmes le thrips ans
remonte à l'hygrométrie en faisant tout
un tas de choses on va on va peut-être
s'économiser ça donc la réflexion elle a
été de dire qu'est ce qu'on va mettre
comme plantes dans la serre on peut
mettre dessous où on peut mettre dessus
et nous on a pensé à dessus on s'est dit
ça fait chier on a dit peut-être que le
raisin de table
ce serait peut-être une bonne chose
parce que bon il faut savoir que un
plaisir le plant au mois de décembre
il fleurit en février y produit de mars
à juin est qu après plus rien lavigne si
on réfléchit bien elles commencent à
bourgeonner début avril et elle a
produit 1 septembre jusqu'à décembre
donc on a dit ça se peut s'articuler ça
peut être complémentaire les deux
peuvent peut-être ce qui mine et donc on
a planté six variétés de raisin de table
sur 2 voyez c'est sur deux chez nous de
soudeuse chez nous a lancé à un pied pas
poteau mais bon on s'est rendu compte de
certains et gaullien sait que ça ne va
pas c'est près d'une passé das on parce
que c'est pas assez dense et de deux
comment dire c'est trop parce que là on
l'emmène treille
ça c'est une vie il ya trois ans on a
mené un treuil et et on a trop d'heures
demandeurs parce qu'il faut des échelles
enfin il faut des boîtes esprit on la
parle à vous et votre talent et elle
fait monter trop quatre marches pour les
travailler pour faire des opérations de
taille et de récolte donc ça ça va être
modifiée ont augmenté les rangs dans la
serre on va planter au moins quatre
remparts serre et augmenter la densité
et donc produire du raisin de table qui
ne prend pas les traitements dans la
fraise parce que quand on a fini
traitement de la fraise lui ravir le
commence juste à bourgeonner c'est un
blog qu'il n'y a pas de l'assimilation
par la plante est davantage dans
l'avenir c'est que c'est une plante avec
une écorce formidable c'est que c'est
que on peut y stocker des bd a régné
tout un tas de d'auxiliaires qui peuvent
pondre le dard qui peuvent rester là
puisque si l' on à fait sûr de rendre
pas tellement le résultat mais bon
c'était surtout pour quantifier un peu
les heures de travail voir un petit peu
moins de les aimer ce qui est important
c'est que c'est ça te fait un formidable
réservoir auxiliaires d'une année sur
l'autre
c'est surtout ça la démarche et a pris
pourquoi se priver d'une deuxième
récolte la séance si on peut la faire
avant parce que les cultures
s'enchevêtrent bien on a la preuve
maintenant cette année que ça se
chevauchent super bien parce qu'à la
paix la vie recommence à prendre un
essor conséquent qu à voir comment dire
le la surface foliaire et commence à
être conséquente et ça pénalise pas du
tout le fraisier pas du tout pas du tout
pas du tout donc donc bien voir
intervenir alors les résultats sur sur
le thrips californien on n'en sait rien
c'est qu'un début on va te prendre une
pigne cartouche on va peut-être loupé
notre coup mais qui tente rien n'a rien
et ça c'est clair
donc on va essayer on va planter et puis
on sait qu'une plantation de l'île et
quatre ou cinq mille euros à l'hectare
et c'est pas plus qu'un trip ce
californien une couche est plus courte
tous les ans un plus on peut récolter
les raisins après et des raisins qui
sont 100
c'est un produit de traitement voilà qui
sont très propres et d'une qualité
gustative remarquable

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