Christian BAUDAS - Poivrons, fraises et raisin de table - 1/2

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1/2 - Entretien avec Christian BAUDAS - Poivrons, fraises et raisin de table


Aujourd'hui, première partie d'un entretien avec Christian BAUDAS, producteur en sol vivant sous couverts végétaux de poivrons, fraises et raisins de table ! Il nous racontera son parcours, son itinéraire technique et ses projets !

Annexes

Transcriptions

Transcriptions

mais je me suis installé en 1983 avec
mes parents on avait 60 vaches laitières
à l'époque et de par mon installation
marché est un marché du lait était très
compliqué on a donc été obligé de de
changer le fusil épaules comme on dit et
donc on est on sait lancer dans le
maraîchage
voilà à commencer par tout petit
unity d'auxerre 1-1 conventionnel on a

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produit du melon pendant des années en
grande quantité sur une dizaine
d'hectares et là le marché du melon
maintenant ils est très compliqué donc
on a un arrêté complètement l'eau si ce
n'est qu on a fait un petit peu pour
notre atelier de vente directe quoi
ensuite en 1989 mon frère est arrivé sur
l'exploitation
donc il a fallu aussi à l'exploitation
maraîchère dans l'exploitation
maraîchère a grossi jusqu'à 2012 où
c'est qu'on a décidé se séparer pour des
points de vue et on n'avait pas la même
vision de l'agriculture quoi voir et
donc
donc on s'est séparés chacun sur
l'exploitation où vous l'avez vu en
arrivant et en exploitation en
conventionnel et nous on a une
exploitation entièrement à l'art ou
écologistes - depuis on a commencé ça
depuis 2012
pourquoi parce qu'on avait des saules
quitté très très fatiguée
donc depuis peu je suis à mon fils
depuis 2002 13 exactement mon fils et
est allée avec ma femme donc on est 3 a
dirigé l'exploitation et moi en femme et
mon fils trois responsables
l'exploitation un contractuel en a une
cinquantaine d'hectares une de 40
hectares en céréales pareil tout un
essai favoriser au maximum toujours
pareil on est dans le maire eux-mêmes
raisonnement sur toute l'exploitation là
on est en train d'inventer du matériel
pour faire de la voix écologie même un
même en céréales un coin pour semer dans
découvert pour du matériel qui coûte pas
trop cher pasquart actuelle
un terrier coûte très cher coin pour
tout ce qui est un hymne ovation à un
couverts végétaux
nous on a appris notre piste on fabrique
on se fait le matériel et en développant
ce qui concerne après la
là comment dire le départ sur
l'agroécologie c'est tout simple je suis
je suis vice président de la fédération
départementale des chasseurs du lot et
garonne et un jour on m'a invité à une
journée à sabres sur la biodiversité et
j'ai rencontré corade donc donc conrad
quand je suis revenu le soir j'ai passé
une excellente journée on a parlé
beaucoup du sol et de ce qu'il ya sous
nos pieds quoi pas dessus sous nos pieds
et ce soir là quand je suis rentré cette
personne-là m a complètement perturbé
quoi et donc j'ai réfléchi et on avait
un petit peu commencé à un rbe et un
petit peu sur petites surfaces et on a
dit bon il faut recréer la vie dans le
sol il faut il faut repartir
complètement à l'envers de ce qu'on a
fait jusqu'à maintenant
donc à l'heure actuelle notera seulement
en maraîchage ses deux hectares et demi
de fraisiers au sol où c'est quand on
est en train de développer aussi un
de l'agroforesterie avait les fraisiers
hors sol je vous expliquerai tout à
l'heure un petit peu le cheminement et
deux hectares et demi en prouvant tout
en herbes et donc au niveau du poivron
on avait des sols qui était fatigué
comme on nécessaires et sont là depuis
1992
donc tout en conventionnel c'est à dire
des herbes un traitement à l'ina et on
s'est rendu compte que nos sols il se
compacte est de plus en plus qu'on
n'arrivait plus à y travailler que les
rendements baisser d'année en année et
on voyait que la seule solution c'est de
prendre aux abris de les déplacer pour
eux
refaire des repartir sur un terrain qui
n'était pas fatigué quoi qui est et qui
était neuf et quand je rencontrais
conrad génie mais peut-être que la
solution elle est pas là quoi donc on
est parti vraiment dans les couverts
végétaux et on a adapté la culture aux
mots couverts parce que bon je pense que
si on fait le programme comme on le
faisait d'habitude c'est-à-dire à plat
sur payet et et avec les herbes
ça ne ferait pas parce qu'on met l herbe
ont même niveau que les racines du
pauvre on la noue on a complètement
réfléchi différemment c'est à dire que
le pauvre on vous pouvez le voir il ya
des buts de entre 15 et 20 centimètres
ou c'est con mais le goûteur henrot de
la butte et ça fait que le pauvre on est
en droit ça c'est comment dire sa
nourriture et celui qui le prend en
premier
l'herbe ll se faire en 2e série a reste
le prince il reste pas un ne prend pas
quoi mais généralement il reste pas
grand chose on a calculé nos fumure pour
que ce soit ric-rac parce que ça coûte
cher qu'on
et donc donc on a commencé à semer du
seuil de forestiers dans les allées
pourquoi du sein le forestier parce que
nos amis landais pendant des années nos
anciens parce que moi je me réfère
beaucoup aux anciens il avait une
approche l'agriculture était
complètement différente et il
travaillait beaucoup plus à la nature et
on a perdu
comment dire ça c'est my home qui unit
d'observation de réflexion qui disaient
qu'ils avaient il avait pas de météo il
savait qu'il allait pleuvoir
enfin il ya plein de choses que je sais
qu'il avait réseau et ils avaient
beaucoup plus d'eux et nous on a tous
massacrés on n'a pas besoin des années
on a détruit les on a on a détruit tout
notre environnement il faut être coeur
mais c'est pas la faute aux agriculteurs
c'est la faute à un système qui a voulu
que les agriculteurs partent dans ce
dans ce système là quoi donc j'en
reviens à mes pauvres dont les pauvres
ont ici ils sont donc mené sur des buts
de 25 cm de haut
donc avec du seigle forestier en
priorité qui est ce bien aller parce que
c'est une plante qui étaient sommés dans
les landes dans les sols très pauvre et
qu'ils poussent avec les mendoises très
peu de très peu d'engrais c'est pour ces
faits si une plante que j'ai réfléchi
j'ai dit il faut qu'on prenne une plante
qui avec peu le se nourrissent quoi donc
le ségala il reste encore on envoie un
petit peu mais je me passe désherbant ça
veut dire tout ce qui n'est tout ce qui
peut bien pousser ça pousse ça ne gêne
pas le seul la seule gêne et kia c'est
qu'il faut prendre dans la tombe souvent
et passer la tondeuse
s'il ya problème mais bon on arrive à
gérer et à gérer tout ça maintenant il
faut savoir que cela fait la cinquième
année qu'on fait ça on fait encore des
erreurs on va encore le faire parce que
c'est nouveau il ya des incidences entre
les places des plantes il ya des
interactions entre les plantes qu'on
maîtrise pas
pas forcément parce que parce que quand
on est parti mais on a demandé à
chercher renseignement ne trouvait nulle
part quoi il fallait bien qu'il fallait
bien faire notre propre expérience et on
a eu des échecs s'est trompé
on se trompe encore je le répète parce
que parce que parce que parce que c'est
une approche est différente
l'agriculture et on n'a pas suffisamment
de référence pas suffisamment de réseaux
connectés dans le monde sur ça et je
pense que c'est que du bon sens on peut
y arriver
mais ce qui a le nerf de la guerre c'est
est ce qu'on va nous payer le produit
arrière parce que si on ne paye pas on
irait on ne fera pas quoi c'est clair
moi ici à l'heure actuelle j'ai mes
marges sur un hectare de province et
c'est pas grand chose quand je suis
parti de la dame j'ai essayé ça me coûte
de l'argent parce que je sais qu'il faut
qu'on aille là et il faut qu'après les
consommateurs et surtout le distributeur
il pense qu'on n'est pas des pions quoi
ça va te finir les pions parce que les
jeunes qui arrivent de dégénération
maintenant on va pas les manoeuvrer
comme on nous a manoeuvré à nous si on
les paye pas si on ne rémunère pas eh
bien ils font plus ce métier là et là
c'est grave parce qu'on va perdre et non
on va perdre la connaissance les hommes
qui connaissent et c'est pas en faisant
venir des produits de pétaouchnok du
monde entier la nasa n'a rien j'étais en
vacances et gt gt stupéfait je vois des
pommes du chili des pommes de partout
qui arrive alors qu'on peut produire sur
place on nous a bassiné pendant deux
mois ou trois mois sur la côte vendéenne
à la télé et qu'est ce qu'on fait on
fériés parce que le système est mort à
l'heure actuelle et si on ne fait rien
eh bien on est mort et moi je vous le
dis je le pense fortement
il va falloir que l'on repense
complètement notre modèle économique au
niveau 2 au niveau de la planète parce
que si on veut protéger notre
environnement tout ce qu'on me propose
sur place il faut le produire sur place
à quoi faut pas chercher à gratter 10
centimes sur le dos du des gens qui
travaillent moins cher l'autre bout du
monde de fond et ça c'est pas demain la
veille et il va fort que les mentalités
évoluent voilà donc donc le pauvre on
ici et est mené donc
on apporte les fumures au
goutte-à-goutte tous les jours on passe
à la tondeuse à peu près tous les tous
les to les 10 12 jours quand il fait
très chaud il faudrait presque y être
hui tous les huit jours et à passer la
tondeuse donc tout le match je reste sur
le sol et venteuses à force ça fait ça
fait un bail d'un centimètre comme ça
sur un seul coin donc on pourrait croire
que en faisant ce système là on consomme
plus d'eau c'est faux on consomme moins
d'eau pourquoi parce que le sol est
toujours couvert l'hérault métriques
dégagent les plantes ça favorise des
gages de l'herbe ça favorise une
hygrométrie qui est pour le pauvre donc
qui prend beaucoup moins d'eau puis ce
qui transpire beaucoup moins donc donc
tourné quoi l'après midi on est bien
avec la chaleur on peut travailler avec
les fortes températures
alors qu'avant non seulement on pouvait
pas et ensuite on a ce qui est ce qui
est très important c'est qu'on a recréé
dans le sol dans nos serres une activité
aussi bien des champignons des insectes
des carabes on n'arrive pas à compter
tout ce qui à quoi c'est de la folie et
des araignées aussi parce que les
araignées sait il y en a croyez moi là
quand on passe à les faire dans les
services c'est impressionnant ce qui
peut y avoir
mais tout ça pourquoi parce que depuis 4
ou 5 ans on a arrêté complètement b
insecticides et les herbicides et
maintenant ça se passe ça se passe
naturellement bien voilà après ce qui
nous manque c'est pris au bout pour
toutes les actions qu'on a mis en place
on nous les réunir parce que si je dois
continuer comme ça je vais arrêter le
provost il faut vraiment qu'on mette un
centime par centime je ne parle pas de
rouge parle centimes d'euro parce qu'on
a besoin de beaucoup mais il faut que
les gens veulent annuler m oui alors le
programme
une fois que le pauvre homme est finie
avant on nous disait et une au tennis y
est nous disait il faut sortir tous les
déchets végétaux tous les débris
végétaux dessert il faut désherber
environnement nous on ne fait plus rien
donc on laisse tout en laissant le
pauvre on est broyé
ça c'est la matière organique ça fait ça
fait de la ligne qui après se décompose
dans le sol et qui crée vachement de vie
dans le sol et est là maintenant on en a
trouvé un système où c'est quand on a
tous officiel vous voyez difficile dans
les coupes on récupère les verticales
juste pourquoi après tout le palissage y
sont en place et comme ça ça nous
économise un peu de temps de main
d'oeuvre est un endroit
on peut toutefois ce dans une fois que
ces boyer on enlève on enlève le
plastique le goutte à goutte
on retravaille insolent mais juste
superficiellement un simple affaire avec
un an personne officer ça vous fait tout
et ce en mélangeant la terre est un
procès m'a fait drôle à très forte
densité
parce que là tout ce qui est conseillé à
l'heure actuelle en féverole c'est du
140 kg ha nous ici en scène à 250
kilowatts heure quand on sait rien à
faire au rôle trop père il arrive à
pousser des adventices de là et c'est
pas le but de rechercher quoi en sauvant
la féverole épaisse
il pousse rien que la féverole toustou
donc c'est très bon et herbicides
naturellement quoi on n'a pas besoin
d'eux on n'a pas de mauvaise herbe
donc on favorise que la féverole est en
elle-même elle se désherbe cuincy à les
semer
ce serait se mettre au caire se désarme
pas il arrive à pousser des trucs qu'on
n'a pas besoin ça nous fait des gains
après qu'ils vont renaître au printemps
et c'est pas bon
et donc après on l'a fait vos rôles au
printemps elle fait m m 20 mètres 30
un an c'est mince affaire début décembre
à peu près et début mars 15 mars par la
dce 15 mars
on passa en affaires on passe beaucoup
de disques et on refait le buteur par
les compacteurs rien le plus petit
travail du sol possible et donc voir
faits débutent haute et toute la
féverole qui est qui et qui hélas a créé
un match qui rentre dans sept buts et ça
fait que la butte en elle-même se
réchauffe beaucoup plus vite que la
normale a beaucoup plus vite console qui
l'activité
comment dire de décomposition dans la de
la féverole dans la butte réchauffe le
sol on a remarqué parce que mon et
techniciens qui passe on a des sols
ici dans des terrains froid qui sont
plus chauds que les autres parce que
parce que l'activité microbienne à
l'intérieur de l'habitat avec le mélange
de la féverole fait que mais ça se
réchauffe voix c'est tout simple on est
obligé de faire trois buts un même et
c'est ça c'est pour convenir pour le
travail quoi et on est obligé de de
faire les trois buts pour passer avec
les brouettes pour pouvoir écouter quoi
donc j'ai toujours dit je ne vais faire
au même endroit a fait drôle c'est un
désherbant on a même fait l'expérience
d'un dans l'est comment dire dans les
cultures normal céréales ou c'est qu'on
fait du couvert et qu'on enfouit le
couvert auprès de temps que si vous
savez un fervent leclerc il ya des
herbes
séoul a sonné assez épaisse il n'y a pas
d'herbe c'est up a pas de lumière qui
passe à travers à nous envoyer classe ce
printemps là rien n'a survécu et c'est
tout tout restait de secours voilà après
qu'est ce que je peux vous dire d'autre
sur le pauvre ont un rendement à l'heure
actuelle on est pas on est pas encore on
n'est pas encore au top c'est pas tout à
fait ça
et parce qu'il faut ça prendra comment
dire techniquement au niveau de la butte
on ad on a eu des problèmes à désirer
d'irrigation encore cette année
et parce qu'on met les gouttes à gouttes
on est obligé d'émettre du
goutte-à-goutte très rapprochés on avait
nos secteurs d'irrigation qui n'était
pas assez divisés n'ont pas assez de
pression dont une mauvaise irrigation
départ dès cette année on a perdu
énormément notamment on n'est pas mais
bon on a rattrapé tout ça dans divisée
en secteurs et il pouvait le voir les
plantes sont très corrects à l'heure
actuelle mais bon on a eu des problèmes
au départ on apprend encore maladie se
reproduira pas hélas cette année on a
fait pour la première fois on a mis de
la fiente de poulet en fumure le fond
que c'est tout ce qu'on a mis ici en
fait ce que beaucoup le monde devrait
faire on a en atelier de poules
pondeuses qui est le quatrième un
élevage duff de france là qui à côté ils
nous prennent les céréales et nous on
récupère la fiente aérien ça fait qu'à
trois kilomètres tout se fait là il va
dans les eaux une reprise modérée des
pauvres n'est rien alors on fait on fait
en faire c'est parti sur une fumure main
pratiquement fumure de franges
je parle bien fou au fond naturel c'est
la science et après on apporte en
apportant fumure ce qui doit être
apportée semaine c'est calculé par le
service technique est là mais on
n'apporte pas plus que les autres ce que
je veux dire en quoi c'est pas parce qu
à l'herbe qu'on apporte plus viable est
là pour couvrir le sol pour pour faire
mouche pour a
diminuer les amplitudes thermiques dans
la journée et maintenir surtout un tour
important d'hygrométrie parce que dans
ces abris c'est très difficile de tenir
l'hydrométrie si on n'a pas dernièrement
kouassi l'après midi c'est invivable
quand il fait très très chaud pour le
pauvre oui/non paillerie que la butte à
une but très étroite
ça fait 40 ans base à 20 euros pourquoi
pourquoi il ya maximum d'herbe
nous on veut beaucoup d'herbe c'est
comme ça c'est notre réflexion et
répartir dessus pouvait voir qu'il ya
lizeroux qui monte mais bon cela on va
essayer quand même de les maudire parce
qu'ils ont tendance à ramer à partir
dans les ports ont appris nous embêter
donc cela on va leur mettre un peu cheap
est juste au pied de l'ifo ça te papa
qui pousse ce qui nous amène vraiment
c'est le zéro c'est une place d'un vase
yves bâche classique paillage noir voilà
on a progressé de la bâche nantis c'est
pas parce que là aussi bon ça coûtait et
il faut le mettre un recyclage
il faut payer il faut life ressortir il
faut le récupérer et on a commencé à
faire des essais avec de la bâche un
outil c'est pour voir ce que ça donnait
mais on a on a eu des problèmes
d'irrigation dessous parce que la butte
se dessèchent trop vite et donc on a
arrêté parce que je savais pas il aurait
fallu mettre beaucoup plus de deux gains
à l'irrigation dessous on n'a pas pu
autrement là on se resservait tout le
temps des vaches c'est que tu es c'était
que du bon sens mais ça fonctionnait pas
bien
oui une retenue collinaire et on se sert
aussi parce qu'on arrose le prouvant par
dessous et par dessus on fait pousser
l'herbe et donc on a des ateliers de
faire leur sol et fraser folle c'est ça
produit du drainage et ceux de nager
recul et récupère et on le store que
dans une grande cuve de 350 mètres cubes
et on l'envoie après par aspersion soit
pas bon ça fait que rien ne reparle à un
tueur tout et tout aurait tout est
recyclé dans le sol entré peu on a en un
petit râteau
un culte irato qu'on a modifié un seul
passage à laon ont fait un travail le
sol et en même temps on a des disques
derrière le petit râteau qui font une
micro but avec un rouleau profileur qui
disent bien la butte et en un passage on
fait la préparation du sol fond derrière
le cou de disques c'est tout simple ce
qu'on évite surtout ces deux d'aller
chercher la profondeur dans le sol sont
plus on veut plus du tout srr c'est
pareil on veut plutôt rien profondeur
mais on a mis en a mis vingt ans pour
les esprits et et là au bout de cinq ans
on commence à voir des résultats
probants que le sol est en train de
revenir quoi c'est à dire que dans le
sol et faut savoir qu'il ya d'énormes
réseau mycorhiziens on parle pas assez
de ça mais je pense que c'est hyper
important
les gens commencent à s'y pencher dessus
la haie est allé m'a offert un livre la
sueur sur ça et quand on commence le
livre dont on y restera dix autres c'est
passionnant quoi et après les termes
techniques qui sont un peu trop encore
qui sont pas m'emporter quoi mais bon
j'arrive à comprendre le cheminement
vers le on va à l'école et tous ces
réseaux mais comme un quotidien en
employant des folies sido goutte à
goutte les désherbants et tout ça est
bien et on les a tous tués quoi et là là
ça revient et ça revient parce que on
voit l'activité qui a dans le sol c'est
c'est une multitude là on peut pas le
voir de la caméra mais si on soulève le
le paillis là où vous avez des centaines
d'investisseurs qui arrive à la moins de
quoi c'est fini on voyait plus çà et là
ça revient bien mais c'est vrai que nous
sommes au lieu d'être compact et moins
aéré et le lay
ils sont souples ça revient bien
et on travaille beaucoup moins profond
mais les plantes vous pouvez voir les
tailles plantes c'est bien quoi
surexploitation il faut savoir que
l'exploitation été suivi au niveau des
millions pour des problèmes de nématodes
est ce que vous voyez des plantes qui
ont des problèmes animateurs de la bbc
pas pourquoi
là on est en train de refaire les
analyser cette année sur toute
exploitation sur plusieurs unités pour
voir où ces camps sont les méthodes
parce que c'était suivi donc on a des
repères et mais je pense que c'est en
train de le saluer tout simplement
non non je crois que c'est je parlais de
ses chats mairie mycorhiziens et la
nature c'est un équilibre quoi et nous
un moment dans les deux cas on nous a
dit faut produire faut produire produire
dont il faut parler chimiques faut voir
avant l'agriculture ils ont fait ce
qu'ils ont fait ce qu'on aura 10 et est
maintenant je crois qu'il ya une prise
de conscience de tout le monde de quoi
même des agriculteurs et des
consommateurs parce que c'est le
consommateur qu'à un moment donné de il
va dire stop on n'en veut plus coin il
faut bien me remettre les c'est pas
quand même les distributeurs qui ont
commandé ce pays si le consommateur et
il met un frein à tous ces produits qui
viennent du monde entier
c'est lui qui commandait et ici on a
quand même une traçabilité qui est quand
même qui est très importante et pas
seulement dans les analyses constamment
sur l'exploitation au niveau des
fraisiers au niveau du poids au niveau
de tout pouvoir sur les pesticides dans
ces suivis quoi mais je serais curieux
de voir si tout ce qui rentre de
l'extérieur c'est celui commis six
fautes il faudrait que le consommateur
en prenne encore plus conscience et je
pense que les pistes remet en place là
c'est c'est peut-être 20 centimes
d'euros de plus au filet au 30 centimes
d'euros de plus au kilo pour couvrir les
le travail qui en plus à faire parce que
bon la tonne de ça coûte cher
les insectes on a des gros problèmes de
punaises de plus en plus la punaise
devient un gros problèmes sur toutes les
cultures
nous ici dans le profond on est en train
de maîtriser la punaise et on a appris à
connaître la les habitudes de la punaise
voilà c'est tout et un moment donné deux
si on étape si on y passe au bon moment
il faut savoir que ces disques n 2 fois
plus cher que l'insecticide
c'est comme la tondeuse c'est dix fois
plus cher qu'un v6 de quoi voilà un
moment donné deux concerts jeux blancs
prennent conscience qu'on peut manger
beaucoup plus propre mais faut être au
bon coin c'est un pari mais pétain le
fera pas c'est clair il faut que les
distributeurs en prennent conscience
il y à des analyses qui vont être faites
apparemment d'après ce qu'on m'a dit on
va comparer la qualité des produits qui
sont faits sur le provost quoi pour voir
si si au niveau de la chair tout ça si
on a le meilleur obtenu 6 et
distributeur il veut il en train de nous
dire clairement si en plus on l'achète
ya pas de plus vous pouvez pourrions
prendre comme ça me fout quoi il faut
attaquer à ce qu'ils nous ont dit et
comme quoi l'instructeur ils veulent que
le consommateur vous ici s'y retrouve
mais il faut qu' il faut que toute cette
matière vais je le répète encore toutes
ces expériences qu'on a mis en place il
faut qu'à un moment non et 2 il faut que
fait mon fils est pas là et ils vous le
diront s'ils parlent pour au plus cher
on arrêtera quoi ils iront chercher le
programme pourri d'ailleurs quoi bon
qu'est ce que je peux dire d'autre sur
la rassure sur sur le profond bon on a
un prédateur au niveau du programme qui
est extraordinaire et c'est l'araignée
l'araignée c'est la renier ces majors de
punaise c'est un mangeur de pucerons et
c'est un merlin parce qu'il ya l'étoile
c'est pas agréable quand on ramasse voit
quoi c'est tout mais à part ça ça fait
un boulot extraordinaire
et là on a eu des attaques depuis ce
romain sur le pauvre
c'était on les trouvait parce que quand
vous êtes tout le temps dans vos plantes
avec les aspirateurs ont passé moi je
passe à peu près une fois tous les dix
joueurs les aspirateurs pour les
punaises et 1 quand vous êtes tout le
temps et on plante ou voyez les foyers
depuis son but sera taquin ça dure même
pas toujours quoi s'est il ya de tout
sirf coccinelle araignées et plein
d'autres bestioles que je connais pas
parce que cela on manque de manière de
référence technique mais on n'est pas
formé pour ce à quoi est ce manque il
faut des comptes soient formés pour ça
parce qu'on a plein de on voit plein de
trucs comme moi on n'était pas habitué à
voir

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