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Grand débat "Le temps des arbres"  +
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Vidéos - Ver de Terre Production (2020-Vidéos </br> - Ver de Terre Production (2020-07-28) - User:Marie-France Barrier User:Jacques Hazera User:Sophie Maillé User:Nicolas Gouix User:Alain Canet - Durée : 107 minutes </br> Paysages in Marciac Agroforesterie Agroforesterie en viticulture Association de culture en grandes cultures Gestion de la fertilité en viticulture Résilience climatique Production énergétique Trogne Régénération des sols </br> </br> </br> Ver de Terre Production s'invite à Paysages in Marciac 2020 ! 😍🍃</br> </br> Et pour cette nouvelle édition mixée présentiel/visio, on vous propose aujourd’hui pour ce grand débat avec Marie-France Barrier , Jacques Hazera , Sophie Maillé , Nicolas Gouix , Alain Canet .</br> </br> Avec la collaboration d' Arbre & Paysage 32 .</br> </br> Retrouvez tout le programme par ici 👋 https://paysages-in-marciac.fr/programmation/ </br> </br> Annexes </br> </br> Transcriptions </br> Transcriptions </br> </br> d'être toujours là puisque c'est une </br>longue </br>journée divise il peut être pas si vous </br>êtes là c'est que ça vaut le déplacement </br>après toujours l'année des trognes après </br>cet atelier mais on se retrouve ici un </br>paysage in marciac in marciac en </br>l'occurrence en chair et en os et puis </br>sur youtube </br>et puis en visio avec marie-france</br> </br> </br> Afficher la suite</br> </br> </br> </br> variés pour un débat un débat de deux </br>heures une discussion une causerie comme </br>on l'appelle parfois qu'on a appelée en </br>hommage au titre du dernier film de </br>marie france le temps des arbres parce </br>qu'il est temps il est temps il est le </br>temps des arbres et donc qu'ils soient </br>forestier agroforestier jeunes vieux </br>très vieux en voie de disparition il est </br>temps peut-être peut-être qu'il est </br>peut-être trop tard on verra ça il est </br>peut-être trop tard d'un dans certains </br>cas mais il est temps de faire varier </br>les curseurs il est temps de coopérer </br>il est temps de se parler il est temps </br>de regarder un petit peu plus en détails </br>donc alors on va voir il semblerait que </br>la technique fonctionne bonsoir </br>marie-france variés ont changé mais </br>surtout nous avons commencé un peu loin </br>parce que j'ai joué en bois je vous </br>crois pas à ce point personne en fait </br>donc voilà je tu vois si on est fait que </br>vous êtes là et que vous m'entendez nous </br>sommes là nous sommes là nous sommes là </br>nombreux on va on va faire du bruit dans </br>un moment pour pour pour toi et pour et </br>pour l'ensemble des intervenants </br>marie-france le temps des arbres qu'est </br>ce que c'est que le temps des arbres </br>pour toi qu'est ce qui s'est passé dans </br>le temps des arbres pour les arbres et </br>documentaires tout d'abord le </br>documentaire bien sûr eh bien ça fait de </br>nombreuses années que longtemps </br>créatrices je suis né au service je </br>dirais des plumes agroécologiques </br>j'essaie avec ma caméra et la fumée qui </br>m'ont offerte sur des </br>chaînes de france télévisions de donner </br>un espace pour montrer que la crise </br>agricole et la crue des sols actuelle </br>est aussi une opportunité pour laisser </br>pousser des des nouvelles de sauvegarde </br>belle façon de faire de nouvelles façons </br>d'être en lien avec le vivant et avec le </br>sol et donc le temps les abris qu'elle a </br>conçu un thème un documentaire réalisé </br>il ya quelques années qui s'appelait le </br>champ des possibles et qu'ils avaient </br>déjà 7 pour objet de montrer ce rouleau </br>de plaisance illustré et incarne éteint </br>par les néo par exemple par des </br>agriculteurs de songes qui c'est qui </br>chercha à réinventer le métier et il est </br>dans la continuité de ceux de ce film </br>est né le teint des arbres puisqu'en </br>fait prolonger la réflexion sur les nez </br>aux paysans en tout cas le rejoindre et </br>du monde paysan c'est clairement </br>travailler sur le lien au sol </br>regardez ce travail est le lien au sol </br>et puis j'avais beaucoup typé sur un </br>article coécrit par monsieur canet et </br>monsieur conrad gerber sur le fait que </br>la crise agricole était avant qui m'ont </br>écrit du sol agricole ou de l' accueil du </br>monde agricole était avant tout une </br>crise du sol agricole et et que la </br>réponse était là </br>entre une demande france télévisions de </br>travailler sur la puisqu'il ya tous est </br>cetainement autour de ce best seller sur </br>l'intelligence des arbres et on m'a </br>demandé de travailler là dessus et sur </br>l'intelligence du rapport à la cdec </br>l'assurance me permet de mieux mesurer </br>en quoi les arts collaborent sont des </br>êtres sociaux d'intelligence sont les </br>pionniers du web on va dire et donc </br>l'idée du temps des arbres était de </br>proposer une autre lecture qui était </br>celle de l'intelligence de votre lien à </br>l'arbre est en place et est </br>définitivement notre meilleur compagnon </br>est certainement notre meilleur ami </br>depuis toujours et que la suite de </br>l'histoire se ferait sans doute si on la </br>veut joyeuse et vertueuse à ses côtés et </br>donc le temps des arbres c'est une </br>approche très transversal qui va du </br>monde forestier avec justement toutes </br>ces alternatives au monde forestier qui </br>sont en train de d'émerger portée par </br>des vents dire des réseaux qui font un </br>peu écho au réseau porté par un vrai </br>paysage 32 qui sont dans le monde </br>forestier est celui de du réseau des </br>alternatives forestière des réseaux qui </br>essaient de de faire émerger des </br>nouvelles pratiques de nouvelles lien à </br>la forêt une autre façon de faire </br>émerger la sylviculture 12 qui </br>permettrait un peu comme </br>l' agroforesterie de produire tout </br>empereur en protégeant et donc le film </br>s'entame sur justement c'était cette </br>nouvelle sylviculture </br>se prolonge avec le lien à l'art </br>compagnon de l'agriculteur comme arbre </br>outils de fertilité ou compagnon chez </br>les vignerons mais aussi l'arbre comme </br>quand on me dira supports pédagogiques </br>ces deux là peut être un support et un </br>est un compagnon pour éduquer nos </br>enfants aient les remettre en plein air </br>mais aussi pourquoi pas se soigner et le </br>film se termine comme ça aux côtés de </br>deux thérapeutes et de médecins qui </br>essaient de reconnecter des enfants à </br>leur propre voie de guérison en les </br>mettant un lien là voilà merci merci </br>beaucoup marie france on va continuer le </br>tour de table avec nicolas weeks et vous </br>allez nous dire ce que c'est pour vous </br>le temps des arbres le temps des arbres </br>le temps longue peut-être des arbres </br>vous allez dire d'où vous venez </br>où vous allez et pourquoi vous y allez </br>merci bonjour </br>oui donc bonjour nicolas gouix moi je </br>suis je suis du conservatoire des </br>espaces naturels donc voilà je travaille </br>dans la région midi-pyrénées biotox </br>thani et et en particulier moi je </br>travaille depuis depuis mon doctorat sur </br>les les petites bêtes qu'il ya dans ces </br>vieux arbres en particulier les </br>coléoptères et en travaillant sur sur </br>les insectes de ces vieux arbres </br>en fait pour moi la vie des arbres elle </br>commence assez tardivement pour qu'il </br>soit accueillant envers ces bêtes là </br>j'ai en particulier travaillé sur des </br>espèces de qualité on a parlé du pique </br> prune </br>ça fait partie de mes domaines d'études </br>et d'autre d'autres espèces et en fait </br>les arbres commencent à devenir </br>accueillant pour ce type d'espèce à peu </br>près à partir de 200 250 ans en moyenne </br>donc voila moi j'ai une approche de </br>l'arbre </br>ac on va dire tardive dans l'espace </br>temporel et on se rend compte que ces </br>arbres là l'arbre pour nous il en forêt </br>malgré tout des arbres qui ont dépassé </br>200 250 ans aujourd'hui il y en a plus </br>beaucoup en forêt des espèces comme le </br>pique prune on le trouve plus en forêt </br>quasiment france il ya quasiment plus </br>aucune forêt de france qui héberge cette </br>espèce pourtant forestière et du coup </br>aujourd'hui on la trouve que dans des </br>arbres les trognes voilà typiquement ce </br>sont les tron qui ont permis de </br>maintenir des arbres sur le long terme </br>et en travaillant du coup sûr sur les </br>raisons qui font qu'une espèce pourtant </br>forestière n'est plus en forêt mais </br>uniquement dans le milieu agricole </br>finalement on se pose vraiment beaucoup </br>de questions sur sur l'arbre sur d'où il </br>vient parce que normalement l'art bien </br>de la forêt faut se dire qu'en france </br>normalement vit dans une grande forêt </br>l'écosystème naturellement en présent en </br>france et quasi exclusivement la forêt </br>alors une forêt pas forcément danse </br>comme une forêt très très fermé mais </br>avec des ouvertures qui peuvent se créer </br>selon les cycles d'évolution de la forêt </br>un voile à la forêt mature et les arbres </br>tombent par terre ça fait des trous et </br>il ya la régénération </br>or tous ces cycles là aujourd'hui sont </br>plus forcément présent parce que la </br>sylviculture raccourcissent et sylvie </br>génèse dont on tronque en fait le cycle </br>forestier à la fin de la période de </br>maturation des arbres donc à la fin de </br>leur période de croissance pour les </br>prélever c'est le site de la production </br>et du coup tous ces vieux arbres ayant </br>disparu des forêts se retrouve dans dans </br>le dans le paysage agricole mais </br>toujours avec une histoire tout à </br>l'heure je suis intervenu j'ai parlé de </br>patrimoine culturel parce qu'on se rend </br>compte que finalement aujourd'hui où </br>sont gardées les vieux arbres en france </br>il ya toujours derrière une histoire de </br>famille où une histoire un aspect </br>historique quelqu'un qui à planter cet </br>arbre qui est un petit peu connus on l'a </br>gardé c'est un arbre qui fait la </br>jonction entre deux territoires </br>important donc on l'a gardée c'était le </br>croisement de parcelles ou alors c'est </br>l'histoire du grand père qui a toujours </br>parlé de cet arbre c'est l'arbre dans </br>laquelle on a joué quand on compte dans </br>quand on était petit et du coup on ne </br>coupe pas il ya cette transmission donc </br>voilà ça c'est on va dire l'aspect un </br>peu sociale qu'on peut avoir autour de </br>l'arbre et puis après aujourd'hui il ya </br>tout le débat scientifique autour des </br>intérêts des arbres on parle beaucoup de </br>changements climatiques </br>il ya beaucoup d'études qui montrent que </br>quand on a beaucoup d'arbres il va il </br>fait plus frais on se marre planter des </br>arbres un petit peu partout en ville </br>après sans faire de grandes études tout </br>à chacun là en ce moment il fait un </br>petit peu chaud on est tous contents </br>d'aller se balader dans une forêt bien </br>fraîche pour retrouver un petit peu </br>d'air quand il fait aussi chaud voilà un </br>petit peu brièvement une présentation </br>que je pourrais faire autour de mon </br>approche vis-à-vis de l'arbre à ce stade </br>ok merci sophy mallet le temps de </br>l'arbre salut bonjour </br>donc je m'appelle sophie mallet je suis </br>chargé d'études animation territoriale 1 </br>nature en occitanie qu'est une </br>association naturaliste de protection de </br>la nature et je suis plus </br>particulièrement chargé de la </br>coordination de l'observatoire des </br>forêts des pyrénées centrales qui a pour </br>but la reconnaissance et la préservation </br>des vieilles forêts dont on parlera </br>certainement et l'amélioration de la </br>prise en compte de la biodiversité dans </br>la gestion courante des forêts donc on a </br>tout un accompagnement des territoires </br>pour cette prise en compte de ces forêts </br>onf et des remontées données </br>naturalistes </br>on essaye de convaincre des territoires </br>ddt et les propriétaires privés </br>également les propriétaires privés comme </br>publics de préserver ses forêts à fort </br>enjeu écologique </br>les actions de sensibilisation et on </br>travaille avec le conservatoire des </br>espaces naturels donc avec nicolas et </br>avec d'autres scientifiques venant du </br>conservatoire botanique national pn et </br>midi pyrénées et de l'école d'ingénieurs </br>de purpan et d' unité mixte de recherche </br>dina fort avec l'inra sur l'inventaire </br>de ces vieilles forêts qui sont des </br>forêts anciennes et mature qui sont des </br>reliques de forêt au fonctionnement </br>naturel qui ont retrouvé un </br>fonctionnement naturel et dont on trouve </br>une biodiversité spécifiques </br>donc ça on pourra peut-être vous en </br>parler un petit peu tout à l'heure avec </br>nicolas parce qu'on a fait tout un </br>travail dessus ça fait dix ans qu'il ya </br>des études qui sont faites sur ces </br>vieilles forêts </br>et qui pour vous parler un petit peu </br>plus en détail de ces forêts on va dire </br>sup naturel qui nous gardent leurs </br>cycles naturels forestiers je m'étends </br>pas plus parce que le but c'est que vous </br>nous posez des questions c'est juste </br>pour vous donner envie </br>faites gaffe si l'on pose beaucoup de </br>questions jacques hazera la forêt le </br>temps de l'arbre et la gestion </br>forestière </br>c'est bon merci pour la non moi je suis </br>un peu à l'extrême opposé de vous deux </br>parce que je suis expert forestier </br>installé dans le massif landais le </br>massif landais c'est ce qu'il ya de plus </br>en pointe </br>à mon avis dans en france sur le </br>territoire national pour faire de la </br>foresterie intensive c'est à dire mettre </br>des tracteurs triturer le sol faire des </br>plantations après avoir détruit et semi </br>naturels et serra et réduire la réduire </br>les la durée des cycles de production </br>par pour le pin maritime on est passé en </br>gros de 60 ans à 30 ans une ou deux </br>décennies 60 en deux cycles de </br>production à 30 ans voyez en l'espace de </br>dix vingt ou trente ans bon enfin on est </br>vraiment dans une dans une démarche qui </br>se veut ultra productiviste et donc mon </br>univers est exactement l'opposé du vôtre </br>je crois vous parliez de pique prune </br>et de différentes bestioles qui qui </br>peuplent la biodiversité de vos forêts </br>anciennes nous on va dans l'autre sens </br>on réduit on casse on fait extrêmement </br>un grand nombre de deux dégradations et </br>alors donc personnellement moi je me </br>repose un peu à tout ça évidemment c'est </br>là que je vous rejoins j'essaie de </br>j'essaie de ramener un petit peu de </br>raison dans cette filière qui à mon avis </br>va au casse pipe et va au casse-pipe </br>très vite elle accélère en plus et le </br>discours que j'essaie de porter les </br>expérimentations que que je fais les </br>choses que j'essaie de mettre en </br>pratique que ce soit dans ma forêt </br>personnel ou chez mes clients </br>ça ne porte pratiquement pas de fruits </br>vis-à-vis enfin l'oreille des forestiers </br>professionnels des forestiers de la </br>filière se ferme </br>je dirais de plus en plus face aux </br>propositions que moi et quelques autres </br>on essaie d'amener quelques autres dont </br>eric et dans la salle mais on est on est </br>un petit un petit noyau va essayer de </br>faire ce genre de chose de proposer des </br>solutions plus que raisonnable voila </br>voila mon univers et voilà l'action que </br>j'essaie de mener </br>ok merci tu nous entends toujours à </br>distance marie-france bon puisque on </br>salue l'arrivée en triomphe de olivier </br>husson ce qui est quand même toujours un </br>très très grand moment </br>l'incroyable vrai mais il se cache un </br>petit peu on le verra tout à l'heure on </br>le fera monter sur la scène </br>ça sera le clou du spectacle bon tout ça </br>il va falloir évoluer je serais tenté de </br>dire </br>on dit souvent dans nos métiers de la </br>grue écologique si on mangeait tous des </br>produits agro écologique ça irait </br>beaucoup mieux mais si on commence si on </br>consommer tous dubois vertueux ça irait </br>probablement beaucoup mieux est ce qu'on </br>peut faire des raccourcis de ce type là </br>marie france tu as eu une idée géniale </br>il ya quelques temps le temps des arbres </br>s'est traduit par une nouvelle </br>association une nouvelle association </br>dont on nous dit très brièvement le </br>pourquoi du comment </br>s'il te plaît me préciser très </br>brièvement parce que je n'ai pas </br>toujours à synthèse en quelques mots </br>l'idée était de prolonger de transe de </br>transformer le propos du film en actions </br>citoyennes citoyens </br>c'est logique vertueuse du monde </br>agricole que du monde forestier et </br>surtout eu d'aidé au déploiement de </br>l' agroforesterie et donc on a décidé </br>d'inviter chaque année des classes de 3e </br>cycle du cm1 la sixième à accompagner </br>des agriculteurs de leur territoire à </br>replanter des haies ou des arbres on </br>entra parcellaires pour voilà </br>accompagner les agriculteurs démarche-là </br>permettre à nos enfants de devenir les </br>acteurs du changement et en même temps </br>se rapprocher de ceux qui font des </br>usages quotidiens et de ceux qui les </br>nourrissent quelques mois lors de la </br>diffusion du film et se concrétisera dès </br>l'hiver prochain avec déjà une à peu </br>près 25 chantiers qui sont en train de </br>se mettre en place à travers tout le </br>territoire </br>donc on va accompagner des vignerons des </br>éleveurs des maraîchers du côté de </br>mulhouse quimper dans les landes en </br>région paca </br>et voilà c'est cette idée de </br>d'accompagner les acteurs du terrain et </br>les des experts étonné du terrain et de </br>faire que ce mouvement la transition </br>agro écologiques deviennent d'affaires </br>de tous et en premier lieu de ceux donc </br>qui en seront j'espère les héritiers à </br>savoir les enfants du canton faire </br>entrer les enfants dans l'histoire en </br>général on arrive à créer une synergie </br>qui est plus large qui est plus vague </br>on s'adresse pas seulement à des des </br>férus du monde agricole mais on </br>s'adresse la famille un peu tout le </br>monde </br>c'est ainsi qu'est née des enfants et </br>des arts une association qui attend ya </br>tant de nouveaux adhérents des dons de </br>l'encouragement et voilà ok merci des </br>enfants les arbres point org </br>si directement sur le site est </br>disponible maintenant le film le temps </br>des arbres et qui est disponible à la </br>location est donc regarder le film le </br>temps des arbres nous permet de planter </br>des arbres avec des enfants est ce que </br>certains d'entre vous ont vu ce film le </br>temps des arbres oui il y en a </br>quelques-uns quand même bon ben ça va </br>eh bien les autres il vous reste jusqu'à </br>la fin de paysages in marciac dimanche </br>minuit pour le regarder si vous le </br>voulez bien en tout cas un acte </br>pédagogique fort dont on espère que </br>portera ses fruits puis du coup nicolas </br>dans 250 ou 280 ira étudier les trognes </br>projets en ce projet et une fois n'est </br>pas coutume on se donne le temps d'agir </br>puisqu'on a vu on a vu beaucoup de </br>jeunesse dans la rue beaucoup de </br>jeunesse dans la rue qui faisait des </br>marches pour le climat et c'est évident </br>et d'avoir une démarche pour le climat </br>nicolas on va revenir sur ces sur ces </br>très vieux hasard ils vont bien ils </br>disparaissent ils apparaissent qu'est ce </br>qu'est ce qui se passe et qu'est ce qui </br>va se passer puisque est-ce qu'il est </br>utile peut-être que de rappeler ô </br>combien ô combien ils sont nécessaires </br>vitaux essentiels alors c'est plus du </br>vieux arbres comme on a vu on a beaucoup </br>parlé des trognes là sur l'intervention </br>précédente </br>l'e tron qui sont nés un héritage de </br>pratiques qu'on a depuis plusieurs </br>centaines d'années mais les pratiques </br>qui ont disparu du territoire même si là </br>on sent qu'il ya une dynamique pour </br>l'introduire </br>le problème c'est que en fait il ya </br>beaucoup de vieilles trogne qui </br>disparaissent la l'arrivée des </br>tronçonneuses a quand même changé les </br>pratiques </br>on a beaucoup de tron qui ont disparu et </br>aujourd'hui on relance de la dynamique </br>pour en faire mais quand on se dit qu </br>une cavité arrive sur une autre une </br>cavité pour les espèces les plus émues </br>et la cavité les plus évolués demande </br>200 250 ans pour commencer à devenir </br>opérationnels pour certaines espèces </br>on voit qu'on risque d'avoir un trou le </br>recrutement initié aujourd'hui risque de </br>ne pas arriver assez vite par rapport à </br>la perte des arbres on voit qu'ils sont </br>en train de disparaître </br>pour donner un exemple très simple et </br>locales on avait fait des suivis des </br>populations de pique prune dans le gers </br>il ya à peu près 80% des arbres qu'on </br>avait vu en 2000 qui en 2015 n'existe </br>plus donc voilà c'est il n'y a pas </br>besoin d'eux </br>d'avoir des fondements très compliqué </br>pour comprendre qu'il ya beaucoup </br>d'arbres qui sont partis et que même si </br>aujourd'hui on en replante avant qu'ils </br>deviennent favorables on va attendre 200 </br>ans et est ce que dans 200 ans </br>les quelques dizaines d'arbres qui reste </br>favorable aujourd'hui seront encore là </br>il ya très peu de chances donc ça c'est </br>mais c'est un exemple qui illustre le </br>concept de continuité temporelle dont on </br>parle beaucoup quand on travaille sur la </br>biodiversité forestière c'est à dire que </br>les habitants en place il faut tout de </br>suite anticipée du recrutement pour </br>qu'il soit disponible tout le temps dans </br>le temps une espèce qui vit dans des </br>cavités d'arbres ça veut dire qu'il lui </br>faut tous les ans des cavités d'arbres </br>sur la parcelle dans laquelle elle vit </br>c'est des espèces qui se déplacent peu </br>parfois quelques kilomètres parfois </br>quelques centaines de mètres donc si </br>pendant dix ans il n'y a pas de cavités </br>d'arbres l'espèce n'a pu son habitat et </br>disparaît or dix ans à l'échelle d'un </br>arbre ces quelques minutes à l'échelle </br>d'une vie humaine </br>donc toute la difficulté de réussir à </br>assurer la disponibilité en habitat à la </br>fois dans le temps et dans l'espace et </br>ses arbres c'est eux qui sont les </br>porteurs de ces habitats on parlera il y </br>aura certainement le mot d'ordre au </br>micro habitats dont on vous parlera tout </br>à l'heure on vous a parlé dans dropt </br>elma un moment les dendre au micro </br>habitats c'est tous ces petits micro </br>habitats qui sont portées par les arbres </br>aujourd'hui il y en a à peu près plus de </br>130 137 exactement si je me trompe pas </br>qui ont été décrits et qu'ils sont c'est </br>une typologie standardisés au niveau </br>européen qui décrit chacun micro </br>habitats chacun héberge une biodiversité </br>spécifique qui a des rôles fonctionnel </br>par la suite on a parlé du drot </br>tellement retour on retrouve la racine </br>dans gros qui sont ces petites poches </br>d'eau qui contiennent de l'eau les cours </br>ils servent par exemple vont être </br>intéressantes va y avoir les cavités va </br>y avoir les branches cassées le bois </br>mort l' avantage de la preuve c'est que </br>les différents usages qu'on en a fait </br>font que on a une diversité de micro </br>habitats qui se concentre sur un même </br>arbre après l'arbre en forêt il héberge </br>rarement </br>une telle multitude de petits habitats </br>mais par contre c'est l'arbre en forêt </br>c'est la multitude des arbres en forêt </br>qui permettent d'avoir une disponibilité </br>en habitat assez large et une grande </br>biodiversité et après il était montré </br>que cette biodiversité </br>elle a des rôles fonctionnel à la fois </br>dans le type sylvicoles mais aussi pour </br>l'agriculture le dinh a fort à </br>travailler sur un papier qui est qui a </br>montré que l'ensemble des petits patches </br>forestier qu'on peut avoir sur notre </br>territoire dans les coteaux de gascogne </br>dans le gers </br>mais plus on a de petits pas de </br>forestiers plus on augmente la bio </br>diversité fonctionnelle en termes d' </br>avifaune de chiroptères d' auxiliaire de </br>culture qui vont avoir un intérêt pour </br>l'agriculture et pour nos productions </br>d'ailleurs il ya même une belle </br>diversité fonctionnelle plus importante </br>quand on a plein de petits patches </br>plutôt qu'un gros patch parce qu'il ya </br>des effets lisière plus important donc </br>les services sont plus accessibles pour </br>le milieu agricole donc l'arbre enfin </br>l'arbre il ya différentes notions </br>l'arbre dans la forêt ils vont être </br>encore tu dans une forêt l'arbre ne peut </br>pas être différencié des autres arts </br>dans lequel il se trouve dans le paysage </br>ouvert par contre l'arbre il va être </br>isolé et finalement la trogne en un </br>arbre isolé on lui demande de porter </br>l'ensemble des petits habitats porté par </br>une multitude d'arbres dans la forêt </br>c'est des contacts et tout à l'heure il </br>ya une question sur le sur le fait </br>d'avoir la l'interaction humaine avec </br>l'arbre ça renvoyait à la notion de </br>libre évolution on voyait la dame elle </br>avait tu sa derrière pourquoi on laisse </br>pas faire la nature tout seul il ya des </br>grands projets qui émergent de recréer </br>une forêt primaire en europe de l'ouest </br>donc pourquoi pas la france pourquoi pas </br>l'allemagne </br>ce qu'il faut comprendre c'est que sur </br>le fonctionnement d'une forêt pour que </br>le fonctionnement naturel puisse bien se </br>dérouler il ya des jeunes arbres qui </br>grandissent </br>ils finissent par grandir au bout de 300 </br>400 500 ans il tombe par terre ils se </br>dégradent pour retourner au sol </br>par contre ça c'est pas homogène dans </br>l'espace un fonctionnement d'une forêt </br>c'est plein de petit patch avec des </br>petites parcelles où il ya des jeunes </br>arbres des parcelles où il ya des plus </br>vieux arbres au milieu des plus vieux </br>arbres ya aussi des jeunes arbres de </br>temps en temps il ya une tempête les </br>arbres les plus fragiles tombe ça crée </br>une trouée dans un fonctionnement de </br>forêt non entreprises et avant qu'on ait </br>un impact sur notre couverture </br>forestière </br>on peut imaginer qu'une grosse tempête </br>entraîné des dizaines d'hectares de </br>forêts complètement ouverte au sein </br>duquel en plus il y avait du pâturage </br>par des grands herbivores </br>mais là il ya de la régénération qui se </br>mettait en place puis les arbres il </br>revient ici et puis c'était un petit peu </br>à côté qui allait avoir des arts plus </br>fragiles qui allait tomber </br>et puis même à la hausse un de ces </br>petites unités </br>c'était pas homogène y avait des jeunes </br>y avait des petits voilà toute cette </br>terre et j'ai une hétérogénéité à la </br>fois spatiale et temporelle </br>c'est ça la forêt on va dire naturel le </br>mythe de la forêt naturelle qu'on a plus </br>du tout en europe 1 qui n'existe plus et </br>en fait aujourd'hui on est obligé </br>d'assister la nature pour essayer de </br>recréer ces choses là </br>donc même si on veut faire la libre </br>évolution en forêt on peut pas avoir </br>tout s'efface toute cette hétérogénéité </br>sur quelques dizaines d'hectares sa </br>demande des dizaines de milliers </br>d'hectares pour que ce soit possible et </br>en agissant par contre sur les arbres en </br>milieu ouvert on essaie de recréer un </br>petit peu le maximum de biodiversité de </br>ces principes de la trogne sofil 30 pt </br>nous écoutons large plus ceux-ci il </br>marche très bien </br>néanmoins il reste quand même des patchs </br>on a inventorié où il reste alors quand </br>on parle de patch de reliques </br>c'est donc ce que je vous parlais tout à </br>l'heure les vieilles forêts pyrénéennes </br>et de plaine sur lesquels on a travaillé </br>avec avec nicolas et tout le reste de </br>chercheurs avec qui je dont je vous ai </br>dont je vous ai fait la liste </br>ce sont donc ces vieilles forêts il n'y </br>en a que 4 % dans les pyrénées </br>d' occitanie donc ça reporte fondation </br>pardon ce qui représente 12 à peu près </br>douze mille hectares en niveau des </br>vieilles forêts de plaine il n'ya que 0 </br>5 % de la couverture forestière des </br>plaines de midi pyrénées </br>on est à 580 ha donc ça c'est vraiment </br>des reliques </br>alors justement je vous parle de </br>vieilles forêts je vous ai dit tout à </br>l'heure que c'était des forêts anciennes </br>et mature est ce que ça vous parle un </br>peu vous ce qui a besoin d'un peu de </br>détails et oui alors le code parce </br>qu'une vieille forêt n'est pas qu'une </br>forêt ans un signe pas une part de rien </br>socle de forêts anciennes c'est à dire </br>des forêts qui ont une continuité de </br>l'état boisé depuis au moins le minimum </br>boisé en france 1800 1850 pardon donc la </br>moitié du 19e siècle on se base sur les </br>cartes d'état major </br>c'est là où il y avait le minimum boisé </br>parce que vous savez peut-être que </br>depuis le néolithique depuis 5000 ans </br>dans les pyrénées notamment dans cette </br>partie là du sud ouest on a commencé à </br>défricher les forêts depuis depuis la </br>base depuis les lisières des villages et </br>depuis les lisières haute également pour </br>avoir de la prairie quand vous vous </br>baladez en montagne dans les tâches </br>montagnard et supérieur notamment quand </br>vous êtes dans des endroits de prairie </br>c'est pas de la pelouse naturelle c'est </br>parce que ça a été défriché depuis le </br>néolithique pour avoir des prairies pour </br>mettre le pacage les moutons et les </br>vaches </br>donc on a commencé à impacter les forêts </br>et déjà à ce niveau là ensuite il ya eu </br>toute la période de bois de mature pour </br>faire les bois de bateaux pour le </br>commerce et pour la guerre il ya </br>également toute une période de </br>charbonnages on faisait surtout du </br>taillis on parlait tout à l'heure il ya </br>eu des questions sur la différence entre </br>une trogne et un taillis donc c'est une </br>recette les arbres depuis la base pour </br>pouvoir faire du charbon </br>donc ça énormément modeler les paysages </br>il ya eu également l'exploitation par </br>câ ble donc c'était sortir les bois dans </br>les fortes pentes notamment par un </br>système de télé deux téléskis tout </br>simplement système de câ ble qui </br>sortaient les bois visualisez ni type </br>wii </br>donc il ya eu tous ces impacts là qui </br>ont fait que on a réduit la surface </br>forestière en 1850 à seulement 10 à 15 % </br>de couverture forestière au lieu de 32 </br>pour son haut niveau français </br>à l'heure actuelle donc déjà il faut que </br>pour être une vieille forêt il faut déjà </br>à être foré en 1850 on se base donc </br>comme je les dis sur une carte d'état </br>major et de cassini un siècle avant et </br>on se base aussi sur des indicateurs </br>taxant comme le lot variablement narnia </br>par exemple qui est un lichen qui est </br>indicateur de continuité de l'état </br>boisés sont des forêts qui n'ont pas été </br>défrichés et ensuite de ça on calque par </br>dessus de la maturité forestière donc </br>nicolas parler du cycle naturel des </br>forêts qu'on appelle le cycle sylvie </br>génétique qui est composée dans cinq </br>phases que tu as des cli depuis la </br>croissance des arbres jusqu'à jusqu'au </br>déclin qui est dynamique dans le temps </br>et dans l'espace </br>donc déjà il faut que ces forêts là </br>elles et leur cycle complet et on se </br>trouve notamment dans les derniers </br>stades du cycle et on aura la présence </br>également des espèces dites de dryades </br>c'était de se dire les espèces de faim </br>de succession écologique </br>donc c'est à dire selon les étages </br>bioclimatiques </br>le hêtre et le chêne sessile à les </br>tâches collinaires donc ici par exemple </br>on aura ensuite le hêtre et le sapin </br>dans les tâches montagnards puis que le </br> sapin dans l'étagement dernière </br>supérieur et enfin au subalpin le pin </br>sylvestre ou le pain approcher selon les </br>expositions donc il faut qu'on ait ces </br>espèces de faim de succession écologique </br>vous savez qu'une forêt si jamais il ya </br>une tempête par exemple ou une </br>exploitation forestière qu'il ferait par </br>exemple une coupe rase comme </br>malheureusement n'a ici on va commencer </br>par la rose qui va revenir puis on va </br>avoir les boules aux puits </br>toute la série des merisiers des charmes </br>enfin toutes les espèces qui vont se </br>succéder jusqu'à arriver aux espèces de </br>forêts matures ou si théoriquement il </br>n'y a pas d'accident de perturbations on </br>aura pas d'autres espèces qui viendront </br>après le chêne ou le hêtre ou le sapin </br>selon les étages sauf si bien sûr il ya </br>une perturbation tempête un incendie ou </br>une exploitation forestière qui remet un </br>peu le peuplement à 0 donc il faut qu'on </br>soit voilà sur des cycles les fins de </br>succession écologique donc les espèces </br>de trial il faut aussi qu'on ait des </br>très gros vieux arbres donc ça il faut </br>qu'ils fassent notamment on se base sur </br>des critères pendantes en montagne il </br>faut qu'ils fassent 70 cm de diamètre on </br>est mesures à hauteur de poitrine à 1 m </br>30 </br>il faut aussi qu'on ait du grosbois mort </br>au sol et sur pied alors pourquoi ces </br>éléments là sont importants parce qu'on </br>sait que c'est à partir des très gros </br>diamètre qu'on commence à avoir </br>diversité importante de ce que nicolas </br>appelé d'andrew micro habitats donc ça </br>va être des habitats qui vont être </br>formés par des accidents que peuvent </br>avoir l'arbre dans la vie par exemple </br>une cavité qui va se former par un </br>rocher qui va tomber sur le tronc par </br>exemple du bois mort dans le houppier </br>des branches qui vont casser </br>il va y avoir aussi toutes les épices </br>fit qui pousse dessus donc le lierre </br>tout ça c'est les différents types </br>d'écrits dans le catalogue dont parlait </br>nicolas donc c'est à partir de ces gros </br>diamètre comme les ars vont vivre </br>londres plus longtemps ou qui vont avoir </br>plus d'accidents d'aléas et donc il va y </br>avoir ces habitats qui vont se créer et </br>les gros bois c'est parce que c'est à </br>partir de ces diamètre l'az et des </br>publications qui se sont formés les gros </br>bois mort au sol et sur pied c'est à </br>partir des diamètres 40 notamment cm on </br>va avoir le maximum de richesse des </br>espèces différentes espèces et notamment </br>des espèces spécialistes des milieux </br>forestiers dont le métier c'est de faire </br>tourner l'écosystème forestier qu'on </br>appelle les espèces saproxyliques c'est </br>à dire les espèces qui vivent tout ou </br>partie de leur vie au dépendent du bois </br>mort et qui participe grandement à </br>former l'humus et on les espèces </br>spécialistes ne peuvent s'exprimer qu'à </br>partir </br>de ces gros bois avant ce sont des </br>espèces pionnières qui vont s'installer </br>et s'il n'y a pas assez à manger on va </br>dire ben les spécialistes ne pourront </br>pas s'installer sur ces sur ces bois </br>mort en décomposition donc c'est pour ça </br>que ça c'est important ça fait partie de </br>la maturité forestière et je vais </br>terminer là dessus parce qu'on pourra </br>développer un peu plus tard après le </br>souci c'est que voilà on est sur des </br>reliques </br>parce que voilà je vous ai parlé un </br>petit peu d'exploitation forestière dans </br>les dans les pyrénées en plaine il y </br>avait encore moins de contraintes cette </br>exploitation qu'il ya encore moins de </br>vieilles forêts et donc c'est pas très </br>rituel font que cette faune et cette </br>flore et ses champignons saproxyliques </br>se sont réfugiées dedans mais il n'ya </br>plus que en gros par nostalgie très </br>confus et ce soir il ya que 25 % de la </br>biodiversité forestière qui composaient </br>part c'est sa poésie licques et cac 40 % </br>ces espèces qui sont menacés </br>d'extinction au niveau national et </br>européen par le fait qu'il manque du </br>bois mort en forêt et des gros vieux </br>arbres comme nicolas on en trouve très </br>peu et donc ils ne peuvent pas faire </br>leur cycle de vie parce qu'il leur </br>manque ses attributs de maturité </br>forestière en france il ya plus de 75% </br>des forêts qui ont moins de 15 mètres </br>cubes hectares de bois mort alors qu'on </br>sait que pour les coléoptères </br>saproxyliques donc parler nicolas il </br>leur faut au moins 50 mètres cubes de </br>bois mort à l'hectare je parle donc </br>aujourd'hui les forêts françaises sont </br>jeunes en grande partie vu l'histoire et </br>les effets gestion et il manque </br>énormément de bois morts et de gros </br>vieux arbres parce que notamment on veut </br>faire propre maintien en exploitation </br>forestière souvent veut faire propre on </br>enlève ce bois mort donc ça c'est le </br>souci des forêts à l'heure actuelle en </br>france etc saproxyliques même si c'est </br>que 25% en main car c'est elle qui font </br>qu'ils ont le métier forestiers qui ont </br>le métier de faire tourner l'écosystème </br>forestier pour avoir des forêts en bonne </br>santé </br>j'étais un plan discuté merci jacques </br>comme en commandant les dans les landes </br>même si le discours est pas toujours </br>audible il va pourtant falloir qu'il le </br>soit puisque un moment donné il va </br>falloir trouver le juste milieu entre </br>production et protection on peut on ne </br>peut imaginer comment on s'y prend là </br>concrètement tout de suite dans une </br>forêt de plus en plus jeunes un peu </br>comme l'a trahie mais c'est pas pour les </br>mêmes raisons </br>alors déjà je pense que </br>il faut expliquer réexpliqué et </br>recommencer tout ce que sophie vient de </br>dire et notamment une chose très </br>importante qui n'a pas été dit je crois </br>c'est que la présence du bois mort par </br>exemple de vous par terre le volume de </br>bois mort à l'hectare est un facteur qui </br>permet qui qui favorise la production du </br>bois identitaire que plus on va avoir de </br>bois mort et plus on pourra faire de la </br>production avoir du bois vivant du bois </br>commercialisable plus on fait de </br>sacrifices et plus on gagne de l'argent </br>pour un pur à l'élite </br>alors pour l'instant ça c'est quelque </br>chose qui est totalement inaudible dans </br>la filière landaise même en france comme </br>les autres régions de france sont sont </br>plus raisonnables </br>là je vous parle de de ma région qui </br>essaient vraiment une catastrophique </br>il ya cet aspect donc ou qui sur le bois </br>mort ou le </br>l'augmentation point mort permet une </br>augmentation de production j'espère que </br>je dis pas de bêtises je parle sous </br>votre contrôle </br>mais il ya autre chose aussi c'est que </br>la gestion forestières landaises surtout </br>et met de plus en plus elle fait école </br>elle s'achemine vers des peuplements </br>mono spécifique de plus en plus de plus </br>en plus pur des monocultures de plus en </br>plus strictes c'est à dire que l'on </br>laisse pas en laisse comme d'une fois </br>qu'on a fait une plantation de pins </br>maritimes ne laisse pas le moindre brin </br>d'herbe dépassé en supprimant détruit </br>tout ce qui nous est la chaîne les </br>chaînes ont pas intérêt à pousser en </br>train on voit qu'ils sont les chaînes </br>mais même les bordais n'est autre tout </br>jeune et flore je sois herbacée </br>arbustives ou quoi que ce soit on </br>l'accuse d'être le coach des </br>concurrentes vise à vide </br>vis-à-vis de l'arbre concurrentes pour </br>l'eau pour les éléments nutritifs et </br>c'est ça aussi je pense qu'il faut </br>répéter expliqué recommencer dire que le </br>mélange des espèces d'espèces arboré </br>mais pas seulement </br>le mélange favorise la production aussi </br>c'est à dire que plus on va sacrifier de </br>l'espace à des boulots des chaînes </br>d'autres d'autres essences que les </br>résineux et plus on va gagner en </br>production notamment sur les résineux </br>mais en plus on aura on pourra </br>éventuellement avoir aussi peut-être une </br>petite production de chaînes ou de </br>boulot à faire un petit plus qui peut </br>être un grand plus ça dépend </br>en tout cas voilà ces deux aspects qui </br>sont extrêmes absolument majeure dans la </br>compréhension d'un et du fonctionnement </br>de l'écosystème forestier la présence de </br>bois mort avec tous tous de tous les </br>cortèges d'insectes saproxyliques et </br>serra qui les accompagnent et </br>l'acceptation d'un mélange d'espèces </br>pour autant que les stations le </br>permettent </br>tout ça ce sont deux facteurs </br>primordiaux dans la compréhension de la </br>gestion forestière et ce sont deux </br>facteurs qui sont totalement comment </br>dire bafoués dans la gestion concrète </br>actuellement on a on a un commentaire </br>sur youtube qui j'ai de la peine pour ce </br>monsieur il va pas y arriver mais je me </br>régale j'ai tout à faire dans ma région </br>j'ai tout est génial j'ai pas envie </br>d'arriver un jour à la retraite toi qui </br>es jeune et dynamique tu as toute </br>latitude pour arriver à mettre à bien ce </br>projet </br>ce projet on va le mettre à bien </br>ensemble c'est aussi ça paysage in </br>marciac </br>que mange on où comment et de que le </br>morceau de bois nous chauffons nous on </br>entend bien que même s'il y en a déjà </br>beaucoup des chartes des labels et des </br>indications diverses et variées vivement </br>la planche vendue avec vraiment hors </br>compatible puisque ça c'est l'entrée en </br>matière probablement et on est assez </br>d'accord là dessus que dans tous ces </br>écosystèmes </br>quel qu'il soit le bois mort est le </br>moteur de la chose je voulais juste </br>revenir sur une clé une partie de la </br>question précédemment posées jeu m'a </br>demandé comment on faisait dans ma </br>région </br>oui donc j'avais commencé à répondre que </br>vis-à-vis de la filière professionnelle </br>c'est à peu près au point mort même si </br>ça se fissure et moi j'ai de plus en </br>plus de clients qui viennent vers moi </br>parce qu'ils sont justement pas </br>satisfait de ce qu'on leur propose </br>dans la coopérative wire mais il ya une </br>autre moyen de progression et notamment </br>c'est l'opinion publique ou là le </br>discours que comporte à l'association </br>pro silva et dans cette mouvance du </br>réseau des alternatives forestière cas </br>évoqués marie-france barrier </br>marie-france pardon tout ça c'est c'est </br>quand même des propos qui sont vraiment </br>très très bien reçue dans le grand </br>public </br>et puis aussi dans les médias et alors </br>on a la chance d'être tout à fait en </br>phase avec des mouvements comme ceux que </br>vous portez ici et paysage 32 et puis </br>quelques autres </br>donc c'est une espèce de réseau qui est </br>en train de se mettre en place un peu de </br>façon souterraine mais mais mais très </br>concrète ou des liens se tissent des </br>études viennent viennent conforter les </br>intuitions que nous on pouvait avoir </br>nous </br>nous gens de terrain des études sur </br>justement les réseaux mycorhiziens et </br>autres choses le fonctionnement des </br>écosystèmes voire quasiment je dirais </br>que quasiment tout ce qui est nouveau </br>dans la connaissance et dans les </br>relations va dans notre sens et nous </br>nous pousse en avant </br>donc voilà j'espère avoir mieux répondu </br>à ta question oui oui clairement et puis </br>ça pourrait aller aussi vite que la </br> vigne lavigne a complètement bouger en </br>deux ans mais totalement </br>c'est assez invraisemblable moi j'étais </br>bien l'opinion publique qui a mis sur </br>les rails cette viticulture autour de </br> l'agroécologie personne n'a vu rien pour </br>tout ça pour dire que c'est pas venu </br>d'en haut </br>et pour le coup cela pourrait venir </br>d'ailleurs je remarque un mouvement </br>nettes depuis un an il ya un an et demi </br>deux ans en forêt pour ce qui concerne </br>les propos contient et l'acthib mon </br>activité l'activité de mon cabinet </br>expertise aussi voilà donc il ya un net </br>changement de temps période d'ambiance </br>de température depuis un an et demi à </br>peu près les sujets de sociétés doivent </br>toujours être traités en société marie </br>france nous t'avons vu et nous écoutons </br>non je voulais rebondir vraiment sur ce </br>que disait ce monsieur et je trouve que </br>c'est super qu'ils aient des connexions </br>entre le monde </br>ce moment ne ferait signer ces nouvelles </br>modes de réflexion incarné par ce </br>monsieur </br>parce que je pense que là quand on parle </br>de ses cultures de faire le suivi </br>culture qui veut que tout soit propre </br>que les la coupe rase on met les sols à </br>nu il ya une telle connexion et une </br>telle reproduction des systèmes </br>agricoles intensives qui en transe </br>s'appliquer dans la dans le monde </br>forestier en fait faire propre dans les </br>sous bois comme il fallait faire propre </br>dans le monde agricole labouret avoir </br>des terres bien bien grand bien bien </br>nettoyée il y avait un peu ce ya sept </br>jeux de miroirs est en fait le fait que </br>ces connexions entre le monde agro </br>forestiers et agricoles qui se rénove se </br>met en lien avec cette monde forestier </br>qui se rénove </br>ça a beaucoup de sens parce que pendant </br>longtemps fait c'étaient deux mondes qui </br>était un peu deux ados il y avait la </br>forêt d'un côté et le monde agricole de </br>l'autre et je trouve que c'est ça a </br>beaucoup de sens que cette connexion se </br>fasse parce que ce qui va ce berger </br>aussi dans les pratiques agricoles </br>nouvelles avec des nouveaux liens au sol </br>avec un nouveau lieu à la biodiversité à </br>la place des auxiliaires finalement on </br>va père connaît mycorhizés aussi dans le </br>monde agricole et qu' il ya de beaucoup </br>de ponts affaires et et voilà donc je </br>voulais souligner le fait que je crois </br>que ça avait beaucoup de sens que chacun </br>soit là et que ce ne soit pas juste </br>l'arbre agricole où l'arbre or la forêt </br>mais finalement ces deux mondes doivent </br>apprendre </br>tellement se réconcilier pour justement </br>apporté un contre modèle parce que voilà </br>c'est pas un contre modèle c'est un </br>modèle normal c'est un modèle normal de </br>goos c'est comme noël c'est comme la </br>nuit aujourd'hui on parle d'écoquartier </br>pourquoi pas décoder des conneries aussi </br>on fait des quartiers qui sont ils </br>produisent de l'énergie eon rete donc </br>consommer je pense regarde ce que tu dis </br>je pense à l'exportation de la paille </br>dans les champs puisque sur le chat on </br>dit dans les landes </br>et il est vrai on le voit souvent on </br>exporte aujourd'hui aussi la racine soit </br>vous refaire de la tourbe soit pour </br>faire de l'énergie se dire on ne laisse </br>non seulement laisse pas de beau à voir </br>mais aujourd'hui on enlève encore la </br>racine pour pour gagner 10 euros qui </br>vont faire s'effondrer ces sols qui sont </br>d'une fragilité redoutable sophie parle </br>nous un peu de corridors de connexion et </br>de connectivité et puis tout ce que tu </br>avais envie de dire mais ce mermet nous </br>remet nous en connexion solaire </br>justement c'est sur les sur les ponts </br>qui sont important d'être faits entre tu </br>vas te faire une pote l'agricole et </br>forestiers ont déjà il ya des trognes </br>d'en parler à nicolas et les vieux </br>arbres qui font ce lien entre eux voilà </br>on peut très bien imaginer en fait on va </br>espérer faire on va le faire une journée </br>technique sur </br>levy une trame de vieux arbres en </br> décembre prochain avec les acteurs du </br>monde agricole et les acteurs du monde </br>forestier pour essayer de dessiner une </br>trame de vieux arbres en occitanie sur </br>le socle de données qui existent </br>aujourd'hui donc je vous ai parlé de </br>l'inventaire des vieilles forêts il ya </br>aussi l'office national des forêts qui a </br>des zones d'îlots de sénescence de </br>vieillissement des réserve biologique </br>intégrale il ya le réseau des réserves </br>nationales et régionales aussi qu'ils </br>peuvent avoir des îlots de vieux arbres </br>au niveau agricole il ya justement les </br>vieux arbres champêtres les trognes et </br>de voir ces liens qui peuvent être faits </br>à travers ces corridors que peuvent </br>représenter les vieux arbres </br>agroforestier entre les zones de coeur </br>de biodiversité forestière </br>que ce soit des îlots de vieilles forêts </br>ou des arbres disséminés en pleine forêt </br>qui peuvent être porteurs de cavités qui </br>peuvent être porteurs de landreau micro </br>habitats et ce lien entre l'agriculture </br>et la forêt elle est d'autant plus </br>importante que il y a le plan national </br>de la forêt du bois déclinée en plans </br>régional de la forêt du bois qui est la </br>politique forestière sur les dix années </br>à venir porter par l'état et notamment </br>la drave qui la direction régionale de </br>l'agriculture de l'alimentation et de la </br>forêt donc nos ses deux milieux là sont </br>gérés par le même ministère sauf que le </br>plan régional de la forêt du bois est </br>très productiviste c'est à dire qu'il </br>tend à faire un modèle basé sur </br>l'agriculture intensive pour la forêt </br>donc c'est le modèle landais notamment </br>dont nous parlait dont nous parlait </br>jacques et scellier notamment aussi au </br>fait que la france est équipé de kanter </br>donc ce sont des scieries des scieries </br>de petits diamètres basée en fait sur </br>les modèles finlandais où on a des </br>épicéas on vous ai plein selvez mais qui </br>sont de petits à moyens de diamètre et </br>c'est cyril à ce sont adaptés à ces </br>petits et moyens diamètre et la france </br>s'est dotée de ces machines là donc </br>maintenant il faut les faire tourner et </br>on cherche à plier la forêt à ces </br>machines là au lieu d'adapter </br>l'industrie à la forêt voyez c'est </br>d'aller là celle inverse qui se passe </br>donc ça cause des réels soucis où on a </br>les fameuses réductions de rotations </br>dont tu parlais tout à l'heure ou de </br>révolution où on baisse les diamètres </br>d'exploitabilité on passe pour le </br>douglas et pourraient être exploitées à </br>80 et plus 91 ans et plus ils </br>exploitèrent à 60 ans 40 ans même </br>maintenant pour le pin maritime c'est </br>pareil partout tant contrôle c'est bien </br>réduit maritime mais officiellement 30 </br>35 mais moi je vois des coupes rases qui </br>se font 25 </br>donc on réduit de plus en plus pour une </br>espèce qui a une espérance de vie de </br>deux cents ans dix ans et dont on </br>pourrait faire d'autres produits à forte </br>valeur ajoutée au lieu de </br>réduire </br>voilà en produits de bois d'industrie en </br>bois énergie et un autre souci qui pèse </br>très fort sur la forêt c'est notamment </br>le bois énergie sous ses formes pellets </br>granulés </br>parce que justement à la base c'était la </br>bonne idée c'était d'exploiter les </br>connexes de scierie c'est-à-dire tout ce </br>qui va être sur les déchets de scierie </br>sauf que ça n'a pas suffi maintenant il </br>faut aller chercher ce qu'on laissait en </br>forêt avant c'est à dire les purges vous </br>avez un arbre il peut avoir des défauts </br>au niveau du col et où jusqu'à un mètre </br>donc on coupe et là on prend l'habit de </br>pied qui va servir à faire du bois </br>d'oeuvre et puis voilà et vous alors on </br>transformer en pâte à papier si jamais </br>il y avait des défauts </br>aujourd'hui on prend tous c'est à dire </br>on prend la bille mais on prend aussi la </br>base entre le col et l'habille qu'on va </br>transformer en plaquettes par exemple et </br>puis on sort aussi les houppiers pour </br>pareil le transformer en plaquettes ou </br>granulés </br>or que ce soit là cette purge de pied </br>qui forme et parfois du bois mort très </br>intéressant pour les femmes le cortège </br>saproxyliques parce que parfois ça peut </br>être des gros diamètre qui va rester en </br>forêt donc ça pouvait faire des billons </br>d'un mètre qui est d'un mètre de long </br>qui restait en forêt donc ça servait au </br>saproxyliques donc ça c'est très </br>important comme je vous expliquais pour </br>que tout les spécialistes de les espèces </br>forestières spécialistes puissent se </br>développer et former l'humus et former </br>des bois de qualité à prix sur des </br>musiques de qualité et on sort aussi </br>donc les houppiers et les au pied c'est </br>très important de les laisser parce que </br>c'est là où l'arbre va concentrer </br>l'essentiel des éléments minéraux qu'il </br>aura eu du mal à capter dans le sol </br>le phosphore par exemple s'accumulent </br>dans les feuilles et les jeunes rameaux </br>à lire un mot fin or aujourd'hui ça ça a </br>tendance à partir en plaquettes et ample </br>et donc en fait c'est comme </br>l'agriculture intensive on exporte les </br>pailles en fait on n'exploite aucune </br>précision sur ce que tu dises eux il </br>il arrive de plus en plus qu'on coupe </br>les arbres notamment fenu en toute </br>saison c'est à dire qu'on va couper en </br> juillet en août 1 juin des arbres </br>entiers feuillet et qu'on exporte en </br>entier on voit des piles des piles de </br>feuillus en bord de route qui sont </br>entier et vous avez </br>500 mètres cubes d'un coup comme sa </br>grande coupe rase de chaînes de boulot </br>récemment juste tombé sur une une pile </br>comme ça de boulot entier au bord d'une </br>piste y a plus trop de tri parfois qu'il </br>se passe aussi </br>certes sauf parfois il se passe des </br>coupes rases il y en a dans le gers il y </br>en a dans le nord du département des </br>hautes pyrénées on est confronté à ça et </br>du coup parfait par des exploitants peu </br>scrupuleux et il coupe tout et puis ça </br>comme ça par contre le projet c'est </br>surtout de faire du bois énergie si à </br>l'intérieur il peut y avoir une belle </br>bis qui aurait pu faire du bois d'oeuvre </br>d'un parfois s'est mis dans le même </br>temps et il ya des broyeurs aujourd'hui </br>qu'ils peuvent envoyer sans souci des </br>arbres de 70 cm de diamètre a pas de </br>problème alors que ça aurait pu être </br>valorisés soit en bois d'oeuvre ou alors </br>en palettes ou un autre produit ou en </br>pâte à papier donc aujourd'hui il ya ce </br>réel souci il ya aussi des coupes de </br> ripisylve aussi énormément donc c'est </br>les forêts rivières les forêts que vous </br>avez en bord de cours d'eau en linéaire </br>qui font ces corridors également entre </br>les milieux forestiers à pro forestier </br>et la rivière et aujourd'hui on assiste </br>à des gros problèmes de coupe rase sur </br>la ripisylve or pourquoi ça serait aussi </br>facilement parce qu'il faut savoir que </br>trois quarts de leurs forêts françaises </br>les privés et que par exemple en </br>midi-pyrénées mais c'est ce qui se passe </br>aussi enfin exclusion midi-pyrénées mais </br>c'est ce qui se passe aussi au niveau de </br>l'offre mais il va voir pierpoljak il va </br>leur faire il va leur dire voilà je vais </br>vous faire voilà une forêt comme un </br>jardin il faut venir couper tout ça il </br>faut venir entretenir faut venir à venir </br>il va faire une coupe rase parfois en </br>leur volant du bois et puis font ça à </br>chaque parcelle à la parcelle c'est </br>légal vu qu'on est parfois en dessous de </br>moins de deux hectares </br>mais au niveau du paysage et au niveau </br>du massif forestier on peut avoir </br>jusqu'à moi j'ai vu jusqu'à 70 hectares </br>de coupes rases nous on peut rien faire </br>c'est pour ça qu'aujourd'hui il ya une </br>association nationale qui essayent de s </br>allier avec d'autres associations aussi </br>donc je pense à à l'association canopée </br>mais associée à france nature </br>environnement associé à d'autres </br>associations qui essayent de descendre </br>ces seuils à 0 5 hectare qu'on ne puisse </br>pas se faire de coupes rases vin qu'il </br>faille faire une demande d'autorisation </br>et que ça passe devant l'état </br>pour ces pour ses problèmes de couple et </br>la ripisylve c'est également un problème </br>parce qu'elle ait légiféré pas aucun </br>code en fait il n'ya pas le code </br>forestier qui s'y appliquent il ya elle </br>sait c'est un peu un no man's land </br>juridique sur les sur les ripisylves les </br>problèmes forestier aujourd'hui on va </br>poser une question difficile à nicolas </br>une note d'optimisme dans tout ça oui </br>parce qu'il ya quand même là </br>actuellement à ben là on voit pour les </br>forêts c'est c'est relativement </br>compliqué aujourd'hui on a appris une </br>voix d'instruments industrialisation de </br>la forêt dans beaucoup de secteurs qui </br>rend les choses compliquées et qui </br>rendent d'ailleurs la forêt est très </br>vulnérable il ya des régions de france </br>aujourd'hui dans le grand est </br>il pleure de ces grandes monocultures </br>avec l'arrivée des scolytes ou le </br> scolyte quand il est arrivé </br>la forêt est devenu tellement fragile </br>parce que ça la rend fragile de </br>l'homogénéiser et de la standardiser </br>mais ils ont dû ils ont vu leurs forêts </br>tout leur capital disparaître de manière </br>dramatique d'un point de vue économique </br>pour alors que c'était déjà des forêts </br>qui avaient été plantés avec nos impôts </br>parce que là pour le coup c'est des </br>forêts issus des périodes de fonds </br>forestier et précision le forestier </br>effectivement c'est vrai jean forestier </br>national qui a marché jusqu'à un demi </br>2000 je crois depuis le régime guerre </br>jusqu'à la demi en fait il était </br>alimenté par les cils et l'aval de la </br>filière par les industries je crois que </br>c'est à dire les six heures les usines </br>de pâte à papier c'est pas des pas le </br>contribuable </br>il ya quand même on voit dans tous les </br>programmes subventionnés des aides à la </br>filière souvent aussi dans ces grandes </br>processus de plantation avec des aspects </br>carbone avec plein d'aspects oui mais ça </br>c'est intéressant c'est le plus récent </br>rien le fmln faut pas se dire que c'est </br>que enfin économiquement c'est pas </br>finalement si indépendance et </br>d'industrialisation de la forêt </br>aujourd'hui la filière est quand même </br>relativement soutenue et salah fragilise </br>et </br>et là dans le grand est il pleure </br>aujourd'hui dans les landes </br>on emprunte la même voie il ya eu des </br>travaux de recherche qui montrait que </br>maintenir des petits lots de feuillus </br>c'était quand même hyper intéressant </br>mais c'est pas aller vont emprunter </br>par contre d'un autre côté aujourd'hui </br>là où le thème du débat c'est le temps </br>des âmes on est vraiment entré dans le </br>temps des arbres dans le sens où c'est à </br>savoir quelle va être la métropole qui </br>va soutenir ou quelle va être la région </br>qui va soutenir le plus nombre grand </br>nombre d'arbres à planter </br>il ya eu une course à l'échalote seller </br>turquin il me semble qu'ils en fin </br>d'année dernière avait planté ont battu </br>le record du monde d'arbres plantés en </br>disant on va planter des ces plusieurs </br>millions d'arbres plantés pour lutter </br>contre le changement climatique des </br>travaux énormes engagé pour </br>qu'aujourd'hui et 90% de de perte </br>quasiment qui soit apparu voilà il ya il </br>ya sept courses et il ya un vrai cadre </br>stratégique qui doit être mis ça revient </br>aussi avec les questions de connectivité </br>nous on a travaillé fortement sur les </br>vieilles forêts alors ses vieilles </br>forêts on les considère comme les </br>quelques bouts de ce qui ressemblerait </br>le plus à la forêt originelle qu'on </br>avait chez nous ça on dit ça mais ça </br>c'est celle et quelques restes de </br>l'écosystème naturel dans lequel on est </br>venu s'installer dont on a profité pour </br>développer notre civilisation </br>ça en dit ça il faut être capable quand </br>même de les préserver </br>après quand on plante des arbres il faut </br>réfléchir au cadre stratégique de se </br>dire voilà faut profiter de ces </br>plantations d'arbres pour les orienter </br>stratégiquement pour faire la </br>connectivité entre ces réseaux de forêts </br>originelles </br>il faut pas les planter le but n'est pas </br>de planter des arbres pour planter des </br>arbres aujourd'hui il ya vraiment ce </br>cadre où on plante des arbres aux ici </br>j'ai planté deux mille arbres </br>j'ai fait quelque chose pour </br>l'environnement ouais peut-être est-ce </br>qu'on les a plantés au bon endroit </br>est ce qu on a optimisé le cadre de </br>plantation de ces arbres et ça je pense </br>qu'on en est pas encore là </br>donc il ya une vraie volonté parce que </br>réchauffement climatique on en parle </br>partout de se dire il faut planter des </br>arbres mais le cadre stratégique </br>il n'est pas encore complètement là </br>alors vous </br>est en plein dedans aussi les astucieux </br>les associations arbres et paysages et </br>c'est là qu'on voit que le lien entre le </br>monde forestier le monde agricole </br>il doit se renforcer le dialogue il doit </br>se renforcer pour qu' il ya une synergie </br>d'actions entre la préservation des </br>vieilles forêts des exploitations </br>alternative de forêt placés </br>stratégiquement on pourra pas couper au </br>fait d'avoir des forêts de plantations </br>de pins le bois de construction </br>aujourd'hui il est principalement en </br>résineux d'un point de vue d'élaborer </br>labellisation pour construire des </br>maisons </br>le chêne aujourd'hui c'est très </br>compliqué construire une maison en chêne </br>c'est illusoire </br>c'est des coûts financiers voilà donc il </br>y aura forcément une phase </br>d'industrialisation de la forêt par </br>secteur mais en même temps est-ce qu'on </br>doit homogénéiser les landes c'est </br>homogène sur une telle grande surface </br>que presque on pourrait se dire c'est un </br>combat perdu et c'est très bien qu'il y </br>ait des personnes qui arrivent à </br>s'investir dedans pour pour montrer </br>qu'un système alternatif mais il faut </br>qu'on arrive à avoir une cohérence entre </br>milieux forestiers milieu agricole et </br>pratiques sylvicoles alternative tout en </br>gardant des secteurs où il y aura de la </br>forêt on aura besoin d'avoir du résineux </br>on peut se poser la question est ce </br>qu'il vaut mieux avoir duré dix noeuds </br>locales ou du coup faire venir du </br>résineux d'europe du nord voire de plus </br>loin pour faire la construction enfin il </br>ya tous toute cette réflexion qui doit </br>être mise en place mais donc je pense </br>que pour les forêts se compliquer par </br>contre les arbres on en parle beaucoup </br>en ce moment on ne faut pas non plus </br>planter n'importe quelle espèce </br>parce qu'aujourd'hui on efface aussi en </br>forêt à des questions de migration </br>assistée </br>partant du fait que voilà les modèles </br>d'adaptation c'est souvent de migrer ou </br>d'avoir des variabilité génétique qui </br>peut être qu'on peut résister ou </br>s'adapter à des changements de </br>conditions du milieu et certains </br>estiment voilà que les mous les </br>les changements climatiques globaux </br>aujourd'hui vont à une vitesse telle que </br>les arbres n'auront pas le temps de </br>faire cette migration que certains </br>pensent à prendre </br>voilà du chêne vert et commencer à le </br>monter en latitude dans le nord de la </br>france par exemple et d'autres pensent </br>tient en fait les espèces vont pas </br>s'adapter et on va en plus de ça allait </br>chercher par exemple des sapins </br> méditerranéen mais qui sont pas pas afin </br>qu'ils sont exogènes </br>donc on va chercher en turquie où qu'on </br>va chercher en céphalonie donc </br>dans une île grecque le problème c'est </br>que ces espèces l'a déjà est-ce qu'elles </br>seront déjà mieux adaptée quid de cette </br>question là parce qu'en fait elle pousse </br>déjà dans des sites plus vieux de tir </br>qui ou de grèce donc ils sont pas </br>forcément adaptés aux conditions de </br> sécheresse </br>et en plus de ça elles ont un fort </br>pouvoir hybride ans avec ce sapin </br>pectiné locales dans les pyrénées par </br>exemple </br>donc ça pose des réels soucis de </br>pollution génétique et de pouvoir perdre </br>des souches de sapins locaux qui sont </br>déjà adaptés aux conditions locales et </br>qui peuvent peut-être s'adapter et des </br>cortèges d'espèces qui sont associés le </br>souci également c'est que on a en fait </br>des sapins déjà adapté à des conditions </br>hydriques compliqué si les sapins du </br>volvestre qui pousse à 400 mètres </br>d'altitude alors que le niveau optimal </br>du sapin ses étages montagnards à partir </br>de 1500 enfin l'étagement dernière </br>moyens et supérieurs entre 1500 et 1900 </br>mètres d'altitude est un petit peu en </br>dessous mais 400 m 500 m c'est assez </br>rare pour le sapin pectiné donc là on a </br>des souches de sapin pectiné qui sont </br>adaptées à des conditions de stations </br>difficile pour eux qu'on ne pourrait </br>plus tôt étudier et essayer de </br>développer plutôt que d'aller chercher </br>des sapins exogènes qui n'ont pas les </br>cortèges espèces associées et on oublie </br>aussi à chaque fois que quand on parle </br>d'art on parle de champignons parce que </br>c'est avant tout ya des papiers qui sont </br>sortis là dessus les communautés </br>mycorhizienne plus que la génétique de </br>l'arbre qui va pouvoir répondre en fait </br>aux conditions de stress hydrique et </br>souvent il ya une étude qui est sortie </br>dans les pyrénées où on fait le sapin et </br>dépérissants là où on ne l'attend pas </br>c'est à dire qu il dépérit surtout dans </br>les zones où il est en station où il a </br>habitué à avoir à boire et à manger </br>comme il faut dès qu'il ya des problèmes </br>c'est là où il va manifester des </br>problèmes de résistance alors que dans </br>les versants dit un peu ses chars c'est </br>à dire exposées au sud avec des </br>conditions hydriques compliqué l'année </br>communauté mycorhizienne sont déjà </br>adaptés à lutter contre ça et là le </br>sapin est plus résistant donc il ya ces </br>problèmes de migration assistée au </br>niveau forestier et au niveau de la </br>plantation d'arbres que ce soit dans </br>l'espace agro enfin agricole ou dans les </br>espaces urbains faut faire attention </br>aussi à ne pas non plus </br>apportez des espèces qui pourrait être </br>invasives ou qui pourrait ne pas être </br>adaptés aux conditions locales et </br>peut-être engendrer des problèmes après </br>en fonction des espèces </br>donc c'est planter le bon arbre au bon </br>endroit et la bonne espèces il est temps </br>il est temps est ce qu on ouvre le débat </br>ou pas </br>on vous écoute monsieur de </br>renouvellement département puisque </br>utiliser forestier a senti visite qu'ils </br>sachent de la champagne c'est bizarre </br>c'est très bref c'est que biskri la </br>place et du monarque </br>mais derrière des entretiens demandé </br>milieu complètement divers que variés </br>ses patrons il n'y a pas de suffisamment </br>cette règle pour prendre la france aux </br>côtés même sur internet mais le sujet </br>baj faute de finances je sais où mais </br>comme origine de la niche l'ena </br>vermant les sur ce qui se passe dans la </br>filière d'approvisionnement funambule </br>l'énergie l'industrie mais c'est parce </br>que c'est absolument pas dû en chine </br>il semblerait il semblerait que ce soit </br>pas durable et et les méthodes </br>différentes soit soit rentable il est </br>vrai que la statistique mondiale nous </br>donne qu'un arbre sur deux plantes et </br>n'arrivera jamais à terme et fera pas </br>grand chose donc laisser pousser </br>entretenir régénérer avant de planter on </br>est d'accord là-dessus choisir puisque </br>pour l'instant on est encore on est </br>encore à 50% dans le monde la france n'y </br>échappe pas d'ailleurs on est toujours à </br>50% </br>si c'est pas de la mortalité de façon </br>c'est des arbres qui n'ont qu'un aucun </br>avenir aucun potentiel </br>on est d'accord là dessus il faut croire </br>que ça avance ça c'est sûr et la </br>régénération c'est la base ça fait juste </br>comme 380 millions d'années que les </br>forêts ça va se reproduire tout seul </br>donc ce que vient de dire bernard je </br>suis à fond à fond d'accord bien sûr </br>c'est une évidence je n'ai pas eu le </br>temps de le dire avant l'opportunité </br>mais c'est évident chez nous tout est </br>fait pour les plantations implantation </br>ça veut dire travail du sol ça veut dire </br>destruction de ce qu'il y avait avant </br>est ce qu'il y avait avant souvent cédé </br>régénération naturelle qui sont </br>présentes qui sont parfois superbes et </br>qui est qui dans la plupart des cas </br>serait tout à fait capable de renouveler </br>la forêt d'abord de façon gratuite avec </br>des arbres qui ont déjà en place et </br>c'est des arbres qui sont issus de leurs </br>géniteurs dons qui sont adaptés les </br>stations etc </br>après sûr il ya quelques mots qui ont </br>été dits qu'ils sont importants </br>mais je m'en souviens plus il y en a qui </br>te disent je sais plus je voulais le </br>relever mais qui bon je voudrais sur la </br>question de l' optimisme que tu as posé </br>tout à l'heure personnellement je moi je </br>suis optimiste </br>au moins je précise toujours que je </br>parle de mon du massif landais de mon </br>milieu de celui que je connais je suis </br>optimiste parce que je pense qu'il ya il </br>ya des voies de progrès qui sont très </br>importantes </br>mais ça c'est sûr qu'il ya de la marge </br>pas de doute là dessus on ça en termes </br>de modèle à mon père de modèles </br>stéréotypés et qu'une génétique très </br>faible et une classe d'âge est </br>équivalente c'est sûr que mais il ya </br>tout à faire mais je pense et on il ya </br>des perspectives mais je pense que ça va </br>passer par part du conflit par quelque </br>chose de kerry qui peut être violent et </br>brutal parce que ça ne peut pas c'est </br>pour que par la destruction des conflits </br>d'intérêts qui sont à la base du </br>fonctionnement de cette filière les </br>conflits d'intérêts c'est quand vous </br>avez une coopérative qui possède une </br>pépinière donc le fonctionnement de la </br>coopérative c'est de vendre des plans </br>pour vendre des plans elle fait tourner </br>ses tracteurs pascal assy tracteur </br>ensuite elle vend ses conseils elle </br>rédige les plan simple de gestion pour </br>les propriétés elle elle dit au </br>propriétaire comment ils doivent gérer </br>ledit elle explique aux propriétaires </br>qu'ils doivent acheter des plants qui </br>doivent acheter du labour ils doivent </br>couper leurs arbres à 25 ou 30 ou 35 ans </br>elle leur explique tout ce qu'il faut </br>faire et ensuite l'achète leur arbre </br>elle les coupes </br>elles ont fait le négoce etc je parle </br>des coopératives parce que c'est </br>l'exemple le plus le plus emblématique </br>mais il ya tout un réseau de d'industrie </br>qui font aussi de la gestion alors quand </br>vous avez une industrie de la papeterie </br>qui fait de la gestion ou une industrie </br>qui fabrique des palettes qui fait de la </br>gestion </br>on peut pas s'attendre à ce qu'ils vous </br>disent faites pousser vos arbres jusqu'à </br>80 ans </br>ils vont pas conseillé ça aux </br>propriétaires </br>il ya aussi tout un réseau de </br>d'entrepreneurs travaux forestiers plus </br>ou moins gros il y en a qui sont très </br>gros qui eux aussi font de la gestion </br>donc des gens qui ont des tracteurs du </br>personnel du matériel qui font de la </br>plantation qui font des labours qu'il </br>faut parfois aussi du négoce de bois etc </br>ils ont en gros ils ont toutes les </br>activités de la filière ils les ont en </br>main et ils sont là à conseiller les </br>propriétaires </br>donc moi j'appelle ça de du conflit </br>d'intérêts à l'état pur et je pense que </br>tant qu'on n'aura pas casser ce système </br>de conflit d'intérêts qui est agréé par </br>l'état </br>rien ne pourra changer par contre je </br>pense qu'on peut le casser ce système </br>mais ça va être brutal brut brutale ou </br>pas parce que le jour où on mettra </br>vraiment comme ça commence à arriver les </br>indicateurs de résultats en agriculture </br>très clair net et précis sur l'eau le </br>sol la biodiversité la productivité de </br>ces systèmes qui est pas si terrible que </br>ça il ya il ya un grand philosophe que </br>j'avais déjà cités il ya quelques temps </br>très grands philosophes qui dirait </br>qu'ils disaient il suffit qu'on l'achète </br>plus pour que ça se vende pas c'était </br>coluche et un moment donné c'est alors </br>pour le vin c'est différent ce qui a un </br>contact direct mais il est des îles et </br>des vins qui se vendent beaucoup moins </br>aujourd'hui parce qu'ils sont allés </br>beaucoup trop loin dans ses systèmes là </br>qui sont qui sont équivalents et quelque </br>part </br>le débat est posé le débat est lancé sur </br>la table allez une petite </br>dans un exposé justement sur sur les </br>vieilles forêts comme modèles sur </br>lesquels en fait les vieilles forêts ça </br>peut être des observatoires pour voir </br>comme disait nicolas c'est les dernières </br>forêts résiduelle de comment fonctionne </br>un écosystème forestier naturel de s'en </br>servir comme modèle pour voir comment sa </br>réponse </br>comment par rapport aux adaptations face </br>aux changements climatiques comment ça </br>fonctionne pour inspirer la sylviculture </br>et l'améliorer améliorer la prise en </br>compte de la biodiversité et la prise en </br>compte surtout de l'écosystème forestier </br>parce que pour beaucoup c'est pris comme </br>une mine en fait un minerai est pas un </br>écosystème et j'expliquais le rôle du </br>bois mort justement et de son importance </br>de garder des très gros vieux arbres en </br>forêt à cavités et autres tendre au </br>micro habitats et </br>gardez aussi du bois mort et j'ai dû </br>employer un peu leur champ lexical en </br>parlant de capital sol et là j'ai réussi </br>à avoir un petit peu l'oreille de dire </br>mais en fait si vous avez un capital sol </br>c'est-à-dire de l'humus avec les espèces </br>qui fabrique l'humus des femmes de sa </br>proximité en leur laissant leur habitat </br>et en favorisant le bois mort qui </br>favorisera votre humus et avec un humus </br>de meilleure qualité parce qu'on sait </br>notamment que quand on a l'ensemble des </br>cortèges d'espèces à proville hic qui se </br>succèdent on sait qu'on a un humus de </br>meilleure qualité </br>notamment quand on a le faut mais ce </br>moment tarrius le fameux amadou vielles </br>que vous connaissez peut-être déjà cette </br>espèce de grosse langue de boeuf là vous </br>avez peut-être déjà vu qui peut héberger </br>on le sait maintenant jusqu'à plus de </br>600 espèces d'arthropodes à l'intérieur </br>qu'en lui il arrive à s'installer et </br>déjà il faut qu'il suive une quantité </br>suffisante de bois mort et quand il </br>commence à travailler </br>il est pionnier il arrive à décomposer </br>différents complexes chimiques du bois </br>et ensuite on a jusqu aux airs itium je </br>sais pas si vous avez déjà vu des ide </br>corail ce sont des jolies champignon </br>très rare qu'on voit quand vieilles </br>forêts et qui qui sont ces fameux </br>spécialistes qui peuvent s'installer que </br>quand lama douvier il a fait le travail </br>avant lui pour lui préparer le terrain </br>contenant l'ensemble de ces espèces taxe </br>se sont succédé on sait qu'on a un humus </br>de meilleure qualité </br>humus de meilleure qualité voix de </br>meilleure qualité fort et en meilleure </br>santé - d'attac meilleure résistance </br>et donc quand on leur parle de ça là </br>j'ai eu un peu une oreille et voilà il </br>faut comme tu disais un travail long de </br>pédagogie à répéter ça et je voulais </br>juste reboucler aussi sur la </br>régénération naturelle et son importance </br>et revenir sur l'importance du bois mort </br>alors désolé je reprends l'exemple du </br>sapin parce que le modèle il a été </br>dessiné sur ça il a été décrit sur ça </br>c'est qu'on s'est rendu compte pour les </br>sapins les épicéas que la régénération </br>naturelle apprenez bien mieux et elle se </br>faisait en fait dans le bois mort parce </br>qu'il ya une succession là aussi des </br>cortèges d'espèces dans les mycorhizes </br>il ya les mycorhizes saproxyliques donc </br>qui vont se développer dans le bois mort </br>qui vont se connecter aux petits semis </br>de sapins et d'épicéas et après quand tu </br>auras plus le bois mort il y aura une </br>août mikko un autre champignon </br>mycorhizien qui prendra le relais parce </br>que le mycorhiziens s'improvise 10 qui </br>sera plus là il y aura le relais avec le </br>champignon qui sera lié a dit à mme </br>aeternam avec le sapin adultes 20 jeunes </br>et adultes </br>donc là aussi à une succession </br>et c'est pour ça que ça régénère mieux </br>dans le bois mort d'où cette importance </br>est très importante </br>donc voilà le modèle il a été décrit sur </br>les sur les résineux mais il ya aussi ce </br>lien important pour les feuillus </br>ajoutons à cela que la pièce de bois </br>mort c'est comme une éponge qui retient </br>l'humidité et l'eau et que dans ces </br>périodes où on a des excédents de pluie </br>en ce moment </br>voilà mais ça c'est un rôle fondamental </br>c'est comme une éponge ça et contre les </br>problèmes de sécheresse les souches les </br>souches des souches comme nous on </br>extrait oui alors c'est vrai que dans le </br>massif landais ils vont ils arrachent </br>les souches pour pouvoir mieux labour et </br>après pour pouvoir mais replanter voilà </br>parce que les souches même une fois que </br>l'arbre est coupée elle continue de </br>faire un pont </br>deux mines et de transfert d'éléments </br>bénéfique aux arbres à travers les </br>greffes racinaire entre eux mêmes </br>espèces ou à travers les mycorhizes </br>entre deux arbres </br>voilà d'un espace ça continue de faire </br>ce lien et pour aller aussi dans ton </br>sens il ya aussi également l'intérêt du </br>bois mort aussi pour le stockage du </br>carbone dans les sols qu'il va restituer </br>lentement le carbone dans les sols et on </br>sait que les vieux arbres et le bois </br>mort sont des puits de carbone et le </br>carbone c'est de la vie monsieur on vous </br>écoute moi j'avais quand on a un milieu </br>qui a été franchement très loin </br>d'écraser comme on voit notamment dans </br>le jura ou dans mon département lieu </br>clos nord de la bourgogne avec la pose </br>du scolyte sur les fils et à g sol sont </br>complètement soumis n'est décidé après </br>les coupes les looks france donc on a </br>une érosion des sols sont un lessivage </br>toute la matière organique des surfaces </br>ont fait disparaître tous les tous les </br>réseaux mycorhiziens notamment par </br>l'utilisation des engins qui sont </br>america absolument considérable </br>je suis pas sûr qu'on puisse table et le </br>toit renouvellement rapide de la forest </br>et en plus on a facteurs aggravants que </br>cette forêt qui n'existe plus neuf </br>contribuer à maintenir l'humidité ne </br>contribue plus à faire pleuvoir </br>donc on a un milieu qui est vraiment </br>très dégradée le renouvellement naturel </br>il est fortement axé est ce que là on </br>veut pas se permettre de tenter des </br>choses parce que on se retrouve avec des </br>espèces qui étaient le gage parfois on </br>est massif complet qui ternit choque moi </br>j'en ai marre je vois les avons ouverts </br>partout chez moi c'est une catastrophe </br>et de différentes essences y conclut </br>local sera mené les essences exogènes </br>dans des moments comme ça semblait de la </br>survie ne serait ce que pour recréer ne </br>serait ce que pour recréer un écosystème </br>favorable à titre personnel j'ai laissé </br>2 </br>zones très denses engagé pour pour avoir </br>tout le cortège d'abord de pionnier que </br>ce soit outre ramené du point mort </br>piquez la forêt d'à côté bref pour </br>inventer moi j'ai fait ou non eric </br>dollars il va falloir attendre que ça </br>passe un écosystème forestier qui puisse </br>être rentable au regard d'un exploitant </br>forestier et qui puisse répondre a </br>couvert toutes ses fonctionnalités </br>malgré cette saloperie de réchauffement </br>climatique oblige et on va obliger </br>d'aller sur des espèces exogènes par </br>exemple si vous plantez en chaîne </br>vous avez le choix entre le chêne rouge </br>d'amérique ou le chêne sessile vous </br>prenez le chêne sessile sauf </br>qu'aujourd'hui l'état aide plus sur le </br>chêne d'amérique pourquoi parce qu'ils </br>poussent plus vite donc il ya moins de </br>travaux de dégagement à faire parce </br>qu'ils ont ça se fait en trois ans sauf </br>que in fine et si on fait bien les </br>travaux de dégagement sur chêne sessile </br>après ils rattrapent le retard et pousse </br>aussi bien voilà donc en fait on n'est </br>pas obligé d'aller sur ces espèces </br>exogènes sauf que le problème c'est que </br>l'état aide plus ces plantations a déjà </br>que je crois tu voulais profiter </br>oui vous j'essaie de répondre </br>vous parliez de de destruction d'espèces </br>indigènes </br>je vous pensiez à l'épicéa de plaine je </br>pense on n'est pas dans la bonne dans le </br>bon exemple là parce que l'épicéa en </br>plein c'est pas il n'est pas à sa place </br>et ensuite ensuite pardon oui bon enfin </br>il y avait il ya énormément d'exemple </br>d'épicéa de plaine qui ont disparu entre </br>qui sont en train de disparaître de </br>disparaître justement parce qu'ils sont </br>pas qu'ils sont pas leur place après la </br>catastrophe des scolytes et est doté </br>d'une telle ampleur aussi qu'elle </br>colonise quant à elle s'attaque </br>également à des peuplements qui sont en </br>place je sais aussi après on privilégie </br>la régénération naturelle </br>ça c'est la base du bon sens mais on a </br>aucune interdiction de faire d'autres </br>choses notamment de faire des </br>reboisements ça peut être des </br>reboisements en chaîne ou diversifiés </br>des mélanges des semis plus plantation </br>de tout est possible si vous voulez la </br>sylviculture c'est pas un itinéraire la </br>sylviculture c'est c'est une façon </br>d'accompagner de façon optimum </br>al une force naturelle une dynamique qui </br>est qui est là qui attend qu'ils </br>attendent pour s'exprimer </br>alors il faut trouver simplement comment </br>comment l'accompagner au mieux comment </br>faire en sorte que un écosystème une </br>forêt une un système forestier se </br>remette en place dans un délai aussi </br>bref que possible alors si c'est à </br>grands coups de tracteurs et de </br>destruction du sol ça va être de courte </br>durée ça va pas marcher si c'est en </br>essayant de 2,2 </br>d'accompagner finement les choses en </br>diversifiant les essences en étant peu </br>interventionniste en étayant en étant </br>peu destructeur du milieu on a des </br>chances d'aller d'aller plus loin dans </br>la durée et d'obtenir un résultat </br>meilleur et puis de toute façon nous </br>forestier il faut qu'on soit extrêmement </br>humble 1 parce que en fait on n'y </br>comprend rien quoi je vais vous le dire </br>s'est dit nicolas way une des grosses </br>difficultés aussi qui apparaissent et </br>claude systèmes forestiers </br>il a un sens à large échelle malgré tout </br>et que à l'échelle individuelle </br>c'est dur de mettre en place toutes les </br>conditions pour ré apporter cette </br>résilience de du système forestier bien </br>en place une forêt elle génère un </br>microclimat elle entretient un </br>microclimat mais la démarche elle doit </br>être collective c'est pas un particulier </br>à l'échelle de sa parcelle qui peut agir </br>sur le microclimat de tout un vallon par </br>exemple ce qui va permettre ce </br>microclimat qui va permettre de garantir </br>ou de favoriser les effets du changement </br>climatique </br>il est quand même avéré il ya un massif </br>emblématique </br>dans les pyrénées orientales qui est la </br>réserve de la massane la massane où il </br>ya aucune exploitation qui est qui et </br>prodiguer aujourd'hui et ils observent </br>des dépérissements très important sur </br>les êtres </br>mais attention on est à la massane on </br>voit la méditerranée quand on monte à la </br>massane on traverse une forêt de chênes </br>verts où on est dans ce qu'on appelle un </br>cagnard impensable voilà on a les </br>gouttes de sueur il fait super chaud et </br>on arrive dans une lettré avec des êtres </br>qui vont faire 70 81 mètre de diamètre </br>et là on a une fraîcheur apparente avec </br>une vue sur la méditerranée </br>si on demande à n'importe quel forestier </br>aujourd'hui d'implanter dû être dans un </br>contexte comme ça ils vont nous dire </br>mais vous êtes fous le hêtre il est plus </br>du tout adaptée là on en est le chêne </br>sessile dans le tarn à nous dire qui va </br>peut-être pu être adaptée et sur des </br>révisions d'aménagement à dire faut </br>changer des sens mais forcément si on </br>cède à la peur enfin pas céder à la peur </br>mais il ya un phénomène de changement </br>climatique mais s'il n'y a pas une </br>mobilisation collective pour essayer de </br>garder des forêts résiliente un tant </br>soit peu naturelle mais c'est pas à </br>l'échelle individuelle qu'on va s'en </br>sortir </br>c'est là qu'est la grosse difficulté </br>après faut qu individuellement chacun </br>contribue ça c'est la théorie du colibri </br>je crois qu'il est évident qu'il ya un </br>problème de politique nationale de la </br>filière dans son ensemble que ce soit </br>depuis la sylviculture jusqu'à la </br>commercialisation ou l'utilisation des </br>bois </br>pourquoi là pourquoi la filière du bois </br>est déficitaire en france avec des </br>richesses qu'on a enchaînées et autres </br>c'est quand même c'est quand même </br>impensable </br>après je voulais juste dire un mot sur </br>le pin maritime </br>chez nous c'est une espèce qui est </br>vraiment hyper hyper bien adapté à notre </br>massif à notre climat à nos sols à tous </br>et on a peut-être une longueur d'avancé </br>nounou landais là dessus parce que parce </br>qu'on a la chance justement ne pas être </br>aux prises avec une espèce menacée comme </br>peut l'être la chaîne </br>pédonculé le hêtre et bien d'autres la </br>plupart disent le frêne enfin bon ils </br>sont tous à ils ont tous un problème </br>nous le père maritime a subi des menaces </br>on s'attend à ce qu'ils aient des </br>problèmes sanitaires à l'avenir grave </br>très grave mais sur le plan de sa </br>physiologie de son adaptation </br>géographique à la zone au territoire </br>c'est une espèce d'avenir elle est </br>vraiment excellente elle peut encore </br>encaissé pas mal de pas mal de </br>d'assèchement du climat et de la </br>difficulté après juste je voudrais aussi </br>ajouter un mot sur j'ai parlé de la </br>politique au niveau national mais il ya </br>aussi une clé qui serait très importante </br>qui serait qu'il serait très important </br>de développer c'est la formation des </br>propriétaires parce que quasiment tous </br>les propriétaires au moins je sais pas </br>95 % n'ont pas de formation technique </br>contrairement aux agriculteurs qui ont </br>je sais pas quel diplôme et enfin les </br>propriétaires forestiers n'ont pas de </br>diplôme forestier lisez rythme je suis </br>je connais bien le problème puisque ça a </br>été mon cas je mens je suis autodidacte </br>je suis issu d'une famille forestière </br>j'ai appris en faisant des conneries en </br>forêt et puis je me suis formée après </br>mais quasiment tous les propriétaires </br>sont mes copains mes copains mais mes </br>amis enfin </br>mais mes collègues forestier landais ils </br>n'ont pas la moindre notion de la façon </br>dont fonctionne un végétal un écosystème </br>ou quoi que ce soit ils connaissent bien </br>les tracteurs et comment faire les </br>vidanges et quelle puissance il faut </br>qu'ils achètent des terrains mais la </br>forêt qui connaissent pas donc à mon </br>avis la formation technique des </br>propriétaires pourra être aussi un axe </br>majeur vers des solutions d'avenir </br>quand ils savent qu'ils sont </br>propriétaires parce qu'il ya aussi cet </br>autre problème de la forêt privée c'est </br>que comme il ya eu beaucoup de morts </br>seulement et voilà il ya beaucoup </br>d'indivision aussi il ya beaucoup de </br>biens non délimitées également et en </br>plus de ça beaucoup de propriétaires qui </br>ne savent pas qu'ils sont partis à </br>l'autre bout de la france où voilà et </br>puis savent même pas qu'ils ont un bout </br>de forêt c'est un peu différent oui </br>madame </br>est-ce que vous avez des exemples de </br>gestion citoyenne déjà voyagé il existe </br>des groupements forestiers comme des </br>jeux collectifs un but de préservation </br>ça se développe un peu essentiel chez </br>nous en gironde la main mais ça fait </br>déjà 25 ou 30 ans d'ancienneté je crois </br>c'est un petit truc qui fait connu en </br>oeuvre en pense </br>forestier de sauvegarde des monuments </br>bas et rien d'autre qui ce soir est en </br>place de la reynière fort énormément </br>mais là où en limousin il en ferait </br>envie bordel intéressant c'est un </br>mouvement si ceci est en train de se </br>mettre en chasse et où il suffit fait de </br>mettre quelques économies ça peut être </br>150 euros 1000 euros ou parce que ces </br>sommes qui sont à la portée d'un ménage </br>il faut participer ainsi à l'achat de </br>parcelles ligne risquent de passer en </br>coupe rase et ensuite de donc si le </br>bronze marbre forestier parvient à les </br>acheter </br>ensuite vous fait assuré que la gestion </br>va être respectueuse du milieu et à </br> henri cherchant à optimiser à optimiser </br>la forêt ça veut pas dire qu'il n'y aura </br>pas le coup au contraire de toute façon </br>la gestion sociale de l'ue principal </br>l'atout principal du gestionnaire pour </br>un style c'est le scoop est bizarre je </br>sais pas du tout comment planter </br>c'est le scoop et mais comment j'ai </br>coupé les ciels à quel rythme et c'est </br>ça le coeur de la gestion fois cien </br>c'est ça c'est savoir poser du salon </br>choisir les a donc s'il existe un </br>certain nombre de vos fins forestier qui </br>sont ce qu'ils sont destinés à sa sphère </br>de la bonne foresterie et qui son projet </br>de ces deux pas du nombre d actions des </br>deux unités </br>la collaboration d'actionnaires le petit </br>bonhomme dans un sens c'est intéressant </br>parce que souvent justement ces acteurs </br>danny cherche à faire de la sylviculture </br>en couvert continue donc c'est souvent </br>ce qu'on appelle d'appliquer régulière </br>ou futaie jardinée ça c'est encore le </br>seul domaine qui est un autre </br>exploitation forestière le plus proche </br>de l'écosystème de très respectueux et </br>apprend valeur ajoutée parce que </br>vraiment on recherche des droits des </br>oeuvres donc voilà c'est moins de </br>revenus c'est pas contrairement la </br>futaie régulière on remet le peuplement </br>à zéro tous les 80 à 150 ans en ayant </br>assuré quand même la possibilité de </br>favoriser par l'âge par les semis on a </br>un gros coup d'un coup il faut </br>réinvestir aussi pour assurer la </br>régénération naturelle faut quand même </br>des travaux derrière des travaux </br>sylviculture pour assurer à l'avenir de </br>la forêt et faire des bois de qualité </br>donc il faut bien investir et voilà et </br>donc on a un gros coup d'oeil tout mais </br>faudrait investir aussi alors peut </br>ensuite et régulière sans moi je vous </br>revenu d'un coup mais c'est devenu </br>régulier à prendre ajouté </br>ça c'est le côté intéressant la </br>sylviculture appel à d'autres fonds qui </br>existe nous lasser de l'acquisition de </br>touré pour de la livre d'évolution parce </br>que ce qui est intéressant c'est de </br>renforcer la prise en compte de la </br>biodiversité dans les forêts exploitées </br>par ce modèle là pour l'histoire </br>profitable aux utilisateurs des </br>forestières et autres associations et </br>groupements forestiers mais aussi </br>d'avoir des zones en libre évolution ils </br>allaient sauver peuvent faire leur cycle </br>naturel et donc il ya des sondes de </br>notation qui n'existe pour préserver </br>notamment des vieilles forêts en forêt </br>privée </br>il ya forêt sauvage la forêt derrière </br>il faudrait préserver aussi qui qui </br>essaye justement de 10 et ses forêts à </br>fort enjeu écologique pour pour les </br>préserver en faisant de l'évolution </br>naturelle non pas troupes </br>ça ça existe aussi et c'est specter là </br>sont aussi à la recherche ça peut être </br>des dons financiers ça peut être aussi </br>des temps de forêt même si ce n'est pas </br>ta vie' forêt pour la laisser enivrer </br>évolution de manhattan qui est aussi les </br>fronts du conservatoire des espaces </br>naturels ans et plus voilà typiquement </br>là on a fait un travail ce qu'on disait </br>d'inventaire des vies forêt de midi </br>pyrénées </br>donc on a couvert toute toute la chaîne </br>des pyrénées même l'occitanie et une </br>bonne partie de la plaine de midi </br>pyrénées et nous aujourd'hui au </br>conservatoire avec l'appui de la région </br>lors qu'il ya développe qui a développé </br>des financements ce sens nous assister </br>l'association de sophie nature en italie </br>aussi aussi attractive dessus maintenant </br>à chercher à acheter ces vieilles forêts </br>pour les sécuriser les médecins d'une </br>révolution on aggrave silva et qui est </br>porté par hun sen auvergne où on va être </br>un plus large échelle </br>voilà donc on a des financements de la </br>région qui vous permette d'assurer avons </br>plus 80% des impositions et après nous </br>on a fait des finances bâtisse faire des </br>recherches complémentaires afin de </br>sécuriser ses quelque 6 noyau qu'on a </br>trouvé qu'ils sont les derniers joyaux </br>existantes pour de la ligue de pollution </br>c'est fort et envoie un plan de gestion </br>qui influera cette libre évolution parce </br>que ne rien faire c'est quand c'est </br>décidé d'une manière concertée d'une </br>manière justifiée c'est de la gestion </br>forme de gestion l'âme la libre </br>évolution est une forme de gestion c'est </br>pas de l'abandon </br>c'est une forme de gestion et ses des </br>forêts où jouera les protocoles de </br>squeeze qui ont aussi pour but de nous </br>aider à mieux comprendre comment </br>fonctionne une forêt sans intervention </br>sylvicole et savait par laboratoire </br>d'étude extrêmement intéressant </br>également pour voir la réaction des </br>arbres face au changement climatique en </br>comparatif avec des forêts à côté ce qui </br>elles sont exploitées orthez notion de </br>résilience comment elle évolue </br>comment évolue la biodiversité dedans </br>voilà donc on a appliqué enseigne aussi </br>dans les programmes nationaux de suite </br>biodiversité de suivi des peuplements </br>forestiers </br>on travaille nous pouvons lire avec </br>réserves naturelles de france avec des </br>protocoles de suivi à long terme qu'on </br>vend 15 ans les forêts pour aussi </br>crédibiliser la point de vue </br>scientifique notre action c'est pas une </br>fin en soi d'avoir acheté diouf et la </br>dépollution </br>derrière on va avoir tout un ensemble </br>d'actions pour le pour le cuivre </br>scientifiquement et crédibiliser notre </br>action </br>delafon aussi un bien commun exactement </br>monsieur avant moi je vous le disais les </br>ordres de jacques </br>je travaille aussi comme forestier au </br>coeur du massif forestier landais et </br>nous en fait pour reprendre </br>on fait là ses mesures sur choisi dance </br>et en sérum 7 connecteurs connaissez </br>bien et on s'est rendu compte que cette </br>difficulté au sol y mar </br>elle nous l'a nous ont ouvert les yeux </br>et elle nous a réservé d'autres </br>surprises puisque spontanément chez nous </br>pousse cependant l'équipe parce qu'il a </br>remis à sa place mais tous aussi le chef </br>populaire puisque châtaignier tout seul </br>point dans des endroits où ils ont </br>l'habitude en se disant c'est pas </br>possible </br>et toutes les institutions 10 messieurs </br>mais non c'est pas vrai ce que vous </br>dites là chacun votre petit laboratoire </br>nos progrès laboratoire et on ne veut </br>pas nous excuser dans tout à l'heure on </br>parler de comment la collectivité </br>pouvait porter un petit peu notre </br>message est oui on a besoin de vous pour </br>vous dire baer c'est vivant qui nous </br>fait vivre </br>nous ça nous intéresse pas de faire </br>tousser comme vous de faire pousser une </br>immense sûrs du monde ce qui nous </br>intéressait pas repoussé du bilan sur </br>dix vivent autrement c'est pas c'est pas </br>mal mais je crois qu'on a tous besoin </br>face à tous ces changements de nouveau </br>la cour n'a que ce soit un dérèglement </br>climatique au sénat </br>mais comment dit on a besoin il </br>semblerait même que le vivant soit basée </br>sur la diversité c'est vrai quand on est </br>le chêne pousse pas là ont fait 400 </br>mètres on envoie un qui fait 30 mètres </br>de haut c'est toujours un peu douloureux </br>enfin c'est comme ça c'est la vie je </br>sais plus qui voulait parler allez vous </br>madame et puis après d'après on vous </br>écoute </br>giguère dans les landes moi je voulais </br>juste parler de notre dans ce contexte </br>nous et beaucoup si j'écris en </br>californie où ils ont bloqué les parcs </br>ils ont dit on va masri le bois ils nous </br>interdisent de sortir des sentiers on </br>avait un amant si on sort des sentiers </br>et maintenant on a les incendies au </br>possible </br>on a des enfants j terrible qui dévasté </br>des hectares et des hectares et des </br>hectares </br>sachant qu'on avait canopée près autant </br>les séquoias géants ski ça mais si on </br>étudie l'histoire de l'agriculture </br>californienne on sait que les indiens </br>icra mais ils crament et le bois en fait </br>de manière régulière entre tous les 3 5 </br>ans ils crament et tout pour dégager les </br>sous-bois pour pouvoir chasser pour ses </br>draps etc </br>donc je je je je voulais mettre ça dans </br>la nation parce que le ne pas toucher ne </br>pas avoir un échange avec et donc du </br>coup c'était aux états unis maintenant </br>ils sont en train de restituer certains </br>parcs à des tribus pour que je fasse à </br>la gestion des parcs plutôt que l'état </br>c'est intéressant ce que vous dites mais </br>ça ramène justement que les feux les </br>tempêtes font partie du cycle forestier </br>donc en fait là elle ces forêts sont </br>revenus à la libre évolution est donc </br>justement vivent ces aléas là et le </br>séquoia a besoin du feu pour régénérer </br>et donc du coup ça fait vraiment partie </br>d'écosystèmes par contre effectivement </br>si les surfaces ont passé importante </br>après il peut y avoir des soucis de </br>gestion derrière et autres mais si on se </br>ramènent sur les aux états unis encore </br>une politique de gestion extensive </br>d'avoir des grands grands parcs est </br>vraiment les forêts les chutes de </br>pierres des voix les avalanches les </br>incendies tout ça ça fait partie de la </br>vie de la forêt et l'homme on a du mal </br>avec ça on a du mal à aller c'est faire </br>naturellement </br>mais faut pas oublier que séquoia besoin </br>du feu pourrait générer au de sous-bois </br>ça fait pour les incendies sont beaucoup </br>plus dévastateur qu'il ne l'était en </br>si on prend les statistiques régionales </br>sur les feux de forêt parce que là on </br>n'est pas dans je connais pas bien le </br>contexte californie mais il me semble </br>qu'il est assez différent les </br>et il ya des programmes moi je vis dans </br>le département du lot par exemple alors </br>dans le département du lot ya un grand </br>programme de lutte contre les millions </br>broussailles et voilà les millions </br>broussailles et c'est la bête noire on </br>remet du pâturage partout pour lutter </br>parce qu'il ya eu des grands incendies </br>s'est fondé un s'est passé pas pourrir </br>il ya une année il ya 600 hectares qui </br>est parti à cajarc </br>c'est ce n'était pas pour rire après </br>quand on regarde quand même globalement </br>les feux de forêt forestiers les plus </br>gros qui a eu c'était dans des </br>plantations en midi pyrénées quand on </br>parle de milieux forestiers en libre </br>évolution vous disais il ya du bois mort </br>le bois mort c'est comme des éponges il </br>ya on est on est pas forcément à </br>l'intérieur sur un tas de broussailles </br>le tas de broussailles s'est en général </br>de la forêt de reconquête </br>donc c'est des milieux agricoles qu'on a </br>abandonné arrondissez de la forêt parce </br>que alors ils nous disent ça a toujours </br>été fort et ça fait 30 ans que ces </br>forêts mes 30 ans dans un système </br>forestier sur du cause dans l'os je peux </br>vous assurer que les chênes pubescents </br>ils sont pas énormes et du coup quand on </br>regarde les photos aériennes 40 ans en </br>arrière il y avait pas un arbre alors </br>effectivement on est dans cette phase de </br>reconquête forestière milieu </br>embroussaillés ou quand le feu y prend </br>c'est compliqué mais pourquoi parce </br>qu'on vient d'une situation où on avait </br>encore une fois complètement simplifier </br>le système et on est dans cette phase de </br>transition </br>on va pas passer le seuil de pouvoir </br>atteindre un niveau de maturité je </br>parlerai pas d' équilibre parce que </br>finalement le milieu forestier il est </br>jamais en équilibre il bouge tout le </br>temps mais on n'est pas dans une </br>situation d'un peuplement assez bien </br>installés pour pouvoir aussi être encore </br>une fois assez résistant à serris </br>diluant ces choses là et </br>au local les strates des différentes </br>strates forestières sont et le sous-bois </br>énormément important aussi pour la </br>biodiversité forestière et comme disait </br>nicolas dans une forêt une forêt mature </br>il n'y a pas ce n'est pas non plus très </br>dense et puis comme c'est une mosaïque </br>il ya des andros un peu dans un endroit </br>où ça sera moins donc en fait c'est </br>cette hétérogénéité là qui est hyper </br>importante pour la forêt et </br>effectivement la photo que vous avez </br>c'est ce que vient de vous dépeindre </br>nicolas c'est que c'est pas c'est pas </br>des vrais fort et encore alors oui donc </br>c'est un sujet très complexe parce que </br>c'est le principe de cette série là </br>c'est de faire de l'exploitation de </br>grosbois pour faire du bois d'oeuvre </br>donc ce qui est intéressant c'est </br>d'avoir une unité de transformer ce </br>serait d'avoir plusieurs unités de </br>transformation deux premières unités de </br>transformation de bois de hêtre les </br>visent principalement le hêtre faut </br>savoir que le être dans les pyrénées il </br>est réputé voilà pour avoir du coeur </br>rouge s'est aucunement un défaut </br>mécanique mais par contre fait plutôt de </br>l'esthétisme donc il ya un peu flammes </br>et de rouge </br>et aujourd'hui quand on veut du meuble </br>ikea blanc du coup ça passe pas bien au </br>niveau de la mode donc le bois d'oeuvre </br>de être aujourd'hui n'est pas très bien </br>valorisé et d'une partie par </br>effectivement parfois en papeterie </br>ou alors il est valorisé chez les </br>espagnols qui le prennent parfois il </br>part aussi en chine et nous revient à </br>sous forme de meubles en france donc ça </br>c'est ce qui fait le label bois français </br>avec la belle voix français et traiter </br>parce qu'on s'est rendu compte que dans </br>les conteneurs et police et donc il faut </br>aussi le traiter </br>donc il ya de cette unité de première </br>transformation deux êtres qui vient </br>d'une méga en fait une très grosse </br>entreprise industrielle italienne mais </br>qui et qui a plusieurs c'est une des </br>plus grosses scieries d'europe en fait </br>qui a plusieurs boîtes un peu partout en </br>europe et qui exportent à </br>l'international le problème de principal </br>de ceux de ce projet est en fait les </br>volumes qui le demande parce qu'en fait </br>ils demandent 50 mille mètres cubes de </br>grumes de très grande qualité </br>donc il ya plusieurs qualités dans le </br>bois d'oeuvre a abaissé le à sela et le </br>bc de la crème cdu voit vraiment sans </br>défaut où on peut faire l'annoncé de la </br>crème de la crème du bois d'oeuvre </br>sauf que pour dans les pyrénées faire </br>entrer en entrée de syrie cinquante </br>mille mètres cubes de bois d'oeuvre en </br>qualité a et b il faut prélever jusqu'à </br>540 mille mètres cubes de bois toutes </br>qualités confondues par rapport aux </br>études de ressources qui ont été faites </br>donc aujourd'hui les institutions et les </br>porteurs de projet ont lu les études qui </br>ont été produites disant qu'il y avait </br>des millions de mètres cubes </br>oui mais par contre quand on lit </br>correctement ces études là elle nous </br>montre qu'en fait il n'y a pas la </br>ressource </br>elle est enfin en tout cas il n'y a pas </br>la quantité demandée par l'industriel et </br>le problème c'est que comme on a vu dans </br>les pyrénées les frais comme partout en </br>france parce que 80% des forêts en </br>france au moins de 100 à 150 ans pour la </br>petite histoire très raccourcie de la </br>forêt pyrénéenne que j'ai essayé de vous </br>expliquer tout à l'heure c'est une forêt </br>quand même jeune et comme on a vu où on </br>manque de gros bois en forêt notamment </br>dans les années 90 dans les pyrénées il </br>ya eu un peu une chasse aux gros aussi </br>comme on dit il ya eu pas mal </br>d'exploitation forestière de gros de </br>gros arbres </br>donc en fait aujourd'hui on est en </br>on a un manque de ces gros de ces gros </br>arbres tant au niveau de la ressource </br>mais aussi au niveau d'écosystèmes parce </br>qu'on vous a fait le tour sur pourquoi </br>on avait besoin de gros vieux arbres en </br>forêt et de gros points noirs </br>or quand il ya une gestion qui est </br>strictement optimisé pour la production </br>de bois on arrive justement à ces </br>problèmes d'homogénéisation de la forêt </br>qui amène du coup le fait qu'on </br>n'exploite on ne laisse pas les arbres </br>arriver à des gros diamètre les </br>exploitent avant qu'il devienne très </br>gros donc et on enlève aussi le bois </br>mort donc en fait aujourd'hui on montre </br>que ya pas la ressource </br>parce qu'il ya eu ce passé au niveau de </br>la gestion parce qu'aujourd'hui on n'a </br>pas assez de ces gros vieux arbres et </br>que ce qu'il reste ils doivent rester en </br>forêt pour l'écosystème et la bonne </br>santé de la forêt donc c'est pour ça </br>qu'on explique aujourd'hui cinquante </br>mille mètres cubes entre et scieries de </br>bois d'oeuvre de cette qualité là ne </br>peut pas être de nature à répondre aux </br>enjeux d'érosion de la biodiversité </br>notamment forestière et répondre aux </br>enjeux du changement climatique </br>donc là ce qu'on essaie d'expliquer aux </br>porteurs de projets mais aussi aux élus </br>afin d'informer d'alerté de pouvoir </br>apporter cet éclairage technique sur le </br>fait qu'il est peut être plutôt </br>préférable de renforcer le tissu de </br>petites scieries locales avec parce qu </br>en fait faut savoir qui aura énormément </br>d'argent public qui sera injectée pour </br>ce projet là il y aura vraiment beaucoup </br>de fonds publics injectés est donc </br>plutôt que cet argent public au lieu </br>d'arriver chez un seul industriel qui </br>repartira au bout de quelques années </br>parce qu'ils sont livrés le foncier </br>lusine d'huile apporte plus que ces </br>machines </br>une fois qu'il aura décapitaliser </br>lafaurie repartir et ponctionner </br>l'argent public et repartira donc plutôt </br>que d'utiliser cet argent public l'a </br>donc notre argent à tous parce que ça va </br>ça va c'est à s'implanter à lannemezan </br>mais ça touche l'ensemble des pyrénées </br>ça va des pyrénées atlantiques jusque </br>dans </br>mariage parce qu'après à partir de la </br>riaj dans les pyrénées orientales et au </br>devant elles sont impactées aussi par le </br>projet mais il ya moins de lettres </br>s'il n'y a pas assez de ressources dans </br>les pyrénées ils iront aussi dans le </br>massif central donc en fait c'est le </br>grand sud-ouest qui est qui est concerné </br>et il a un peu de vue aussi un peu sur </br>le chêne mais c'est surtout surtout le </br>être donc ce qui se passe c'est que nous </br>ce qu'on essaye de dire c'est que cet </br>argent public qui serait plutôt </br>intéressant de le remettre vraiment dans </br>des projets de territoire à renforcer le </br>tissu des skieurs locaux pour mieux </br>respecter la biodiversité et ne pas </br>mettre tous dans un gros industriel et </br>vos propositions sont reçues comme on </br>alors on est en cours la d'aujourd'hui </br>c'est quand même écouté il ya d une </br>étude non non c'est pas foutu encore </br>parce que aujourd'hui voilà il ya eu </br>donc notre association nature en </br>occitanie a fait un éclairage technique </br>dans son rôle un d'associations de </br>protection de la nature de faire un </br>apport technique au niveau des élus sur </br>les enjeux de la biodiversité forestière </br>et de pourquoi de tels volumes ne sont </br>pas supportables par l'écosystème </br>forestier et d'essayer de ceux de </br>regarder des initiatives qui existent </br>déjà dans les pyrénées notamment dans le </br>parc naturel dans le pnr parc naturel </br>régional des pyrénées ariégeoises </br>oui développe des modèles intéressants </br>d'économie locale circulaire autour du </br>bois donc de se baser sur ce laboratoire </br>lad expérience et de le démultiplier en </br>dehors de cet espace là et aujourd'hui </br>il ya une certaine écoute dans le sens </br>où ils vont quand même refaire une autre </br>étude qui a trois études qui ont été </br>faites de ressources une par l'office </br>national des forêts une part l'union </br>gratuite des communes forestières et une </br>autre par l'hygiène sauf que le problème </br>au niveau de fin de l'hygiène l'institut </br>géographique national qui a repris en </br>fait l'institut forestier national qui a </br>repris donc la compétence forêt ce sont </br>des grandes études macro basées sur des </br>statistiques et des estimations donc on </br>peut pas vraiment se baser sur ça donc </br>ça on l'a montré et aujourd'hui vont </br>refaire une autre étude voilà qui va </br>durer un an et demi deux ans et il ya un </br>collectif qui s'est montée qui poussa ça </br>qui s'appelle le collectif touche pas à </br>ma forêt qui a été voir les élus </br>régionaux aussi et qui seraient </br>potentiellement associées à un cahier </br>des charges pour monter </br>cette étude là des estimations de </br>ressources mais aussi peut-être d'un </br>projet alternatif posée par en tout cas </br>il pousse à étudier un projet alternatif </br>voilà mais en l'état ce projet </br>aujourd'hui ne peut pas être ne peut pas </br>être supporté par l'écosystème </br>c'était le titre de paysage in marciac </br>lé le système va s'arrêter dans une </br>minute automatiquement donc je suis </br>obligé de réguler le temps il reste un </br>peu de pain sur la planche puisque c'est </br>comme ça qu'on a nommé cette 12e édition </br>de paysages in marciac </br>il faudra du bois malgré tout donc il </br>faudra trouver le juste milieu pour </br>respecter toutes ces conditions vitales </br>à ces écosystèmes avec ses fameuses </br>indicateur de résultat cette prise de </br>conscience etc </br>marie-france as-tu quelque chose </br>d'important à nous dire avant que nous </br>nous quittions à l'opa non excusez moi </br>ce que j'aime j'ai un délai je me suis </br>un petit peu en décalé ben important </br>mais c'était sur un peu c'est peut-être </br>cet important et cours ah oui non mais </br>c'était juste pour dire que la bonne </br>nouvelle c'est qu'en fait il ya quand </br>même cet échange s'est prise de </br>conscience que de plus en plus je pense </br>de deux propriétaires forestiers sont </br>sensibles et entendre tout ce changement </br>de pragmatique et de solutions qui </br>n'existaient pas ou du moins qui n'était </br>pas annoncée avant et je pense que voilà </br>si en effet nous ne sommes pas une mais </br>majorité de l'acteur rang de cette </br>nature en tout cas nous sommes une </br>minorité grandissante et et tous les </br>propos que vous portez et vous en tant </br>que propriétaire forestier </br>vous êtes certes en minorité mais je </br>pense que de plus en plus de gens </br>s'inspirent et de vos démonstrations et </br>qui voit qu'en fait il ya il ya une </br>vraie voie qui s'ouvre </br>et donc voilà c'est le point positif </br>même si en effet il reste sur la planche </br>donc c'est du pin un gros show restiez </br>du pain des oeufs </br>absolument c'est le moins qu'on puisse </br>dire </br>merci pour cette conclusion mesdames </br>messieurs mesdames messieurs merci on se </br>retrouve </br>merci pour ces d'avoir traité dans l'est </br>la discussion peut se poursuivre d'avoir </br>traité ce sujet pas tout à fait simple </br>on se quitte aussi puisque c'est la </br>journée marathon de l'arbre et de la </br>trogne c'est vraiment la journée </br>marathon parce qu'on se retrouve dans </br>une demi heure on se retrouve à 20h en </br>duplex etc etc donc allé voir un coup </br>aller manger quelque chose si vous </br>voulez revenir parce qu'on va aller se </br>promener au maroc en italie de trognes </br>en trogne pour le climat merci à toutes </br>à leur mercie arbres et paysages pour </br>son invitation et bien avec grand </br>plaisir </br>au revoir  
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