Atelier arboriculture sur sol vivant

Vidéos - Ver de Terre production (7 fév. 2020) - - Durée : 115 minutes

Journées Techniques Pour une Agriculture du Vivant (PADV) Biodiversité fonctionnelle en arboriculture NBSOIL Couverts permanents en grandes cultures Gestion de la fertilité en viticulture Irrigation en arboriculture Gestion de la fertilité en arboriculture Cycle du carbone et GES Biodiversité Potentiel Redox Régénération des sols

Intervention tirée de la journée technique

maraîchage & arboriculture : La conservation des sols

et sa biodiversité fonctionnelle

du 23 janvier 2020 à Montpellier.

Transcriptions

je vais commencer par me présenter donc

moi je m'appelle sébastien cavaignac je
viens d'une station d'expérimentation
dans le sud-ouest de la france donc tu
pas vraiment un local de l'étape qui
s'appelle invenio et c'est vrai que
c'est une station nous travaillons sur
la thématique arboricole entre autres
sur cette notion d' engrais verts de sur
le vivant de comment monitorer ses sols

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pour savoir si on est dans une bonne

orientation ou pas et on travaille nous
sur la châtaigne et la prudente puisque
je viens de près d'agen donc c'est la
prune qui sert à faire le le pruneau est
également la pomme et l'expérimentation
c'est un peu le lien je dirais entre ce
qu'on a vu ce matin c'est à dire cet
aspect un peu un peu théorique des fois
un peu conceptuel est ce qu'on va voir
cet après midi c'est à dire rentré
directement sur les exploitations aller
chez les producteurs et voir comment ces
systèmes finalement sont appréhendées
sont mis en place par par les
producteurs et l'objectif c'est de se
dire voilà finalement est ce que est ce
que vous tous vous avez un suivi par
fait du diagramme ph redox de tout vous
de toutes vos parcelles ou comment vous
pilotez ce système est l'objectif
d'après midi c'est aussi d'en faire un
moment d'échangé et de partage c'est à
dire que on va couper un peu le
l'après-midi en deux parties quoi une
partie où on va présenter vous laisserai
faire un tour de table rapide
après on reste rentrera plus en détache
sur chacun de vos systèmes comment vous
vous prenez ce concept de sol vivant
dans votre exploitation comme on vous le
mettez en place
quels sont les avantages des
inconvénients et suite à sa bande
partira sur un échange avec la salle
vous pourrez interpellé librement nos
différents producteurs
vous aurez pour ça il ya deux micros 1
qui circulent avec une tête jaune avec
une tête rouge
donc ils circuleront dans la salle et en
ouvrira le débat donc pour lancer
les présentations mais ce que je vais
vous demander voilà c'est de présenter
rapidement votre exploitation d'où vous
venez
quels sont vos cultures en place et
peut-être aussi qu'elles sont beaux aux
systèmes d'agriculture est ce que vous
êtes en conventionnel bio est ce que ce
qu'on a vu ce matin vous l'appliquez
déjà sur quelles proportions
enfin faites nous découvrir en quelques
mots votre votre exploitation
on peut faire dans l'ordre je pense que
ça marche donc genre juste les sondés
georges fandos responsable du service
technique de la coopérative cofruid'oc
base et donc sur sud est à voir ici
autour de montpellier la vallée du rhône
et manosque dans notre secteur
d'activité essentiels dans pomme 500
hectares de vergers les producteurs font
fi de la sptr en parlait donc voila en
gros notre monde reste un appui
technique aux producteurs
avec ces dernières années pas mal de
remise en cause par rapport aux aspects
fertilisation c'est vrai qu'on a été
amené à revoir un peu tout ce qu'on
avait appris à se poser des questions
parce que la réalité nous renvoyer
d'autres messages que la théorie nous
avaient un signé on verra c'est un des
remises en causes importantes ainsi
voilà donc jérôme sarraute ceci
producteurs en grec
sur mon côté de montauban tarn et
garonne donc on y avait ma femme et mon
père on exploite sur 300 hectares 310 de
ce thème depuis cette année il ya 60
hectares de vergers pour me notamment en
v3 de pommiers de toi de kiwi qu'ensuite
il ya deux hectares de céréales avec
cinq ans de maïs semence tous a conduit
à la conservation la partie c'est vers
le 2 puis 2 puis 8 10 en huit ans elle
fit un atelier chèvres laitières à côté
et donc l'idée vu que le nôtre atelier
but augmente
ces 20 hectares sur les 40 et qu'on
pratique pas mal c'était nicolas sur la
partie grande culture mais on se pose
beaucoup de questions pour le faire
évoluer
sur la partie verger je suis christian
soleil je fuis arboriculteurs laroque
des albères c'est cinq ou six kilomètres
de là sur mer ce n'est cette antenne 2
le verger je suis en biodynamie depuis
2012 et en bio depuis 99 jeu
j'arrive vers maintenant la découverte
éruption depuis longtemps et on daterait
de couvrir le laurent est en train de
réfléchir pour recouvrir avec des
légumes on en parlera plus bonjour donc
sébastien ce héros je suis technicien
pour le groupe pam évasion donc pas mais
va ions c'est une organisation de
producteurs de pommes et de poires qui
sont basés dans les pays de la loire
on a un verger d'à peu près 1000
hectares il ya une vingtaine de
pourcents bio l'essentiel de l'activité
c'est la pomme est en fait les pratiques
dont on a parlé ce matin j'ai des
producteurs qui sont partis sur cette
démarche
il ya une quinzaine d'années s'était lié
à des problèmes liés au sol diderot
morphy d'un succès racinaire avec des
problèmes en production du coup et
depuis quelques années on a étendu
l'ensemble de ces pratiques sur toute la
surface du verger donc sur les mines
hectares donc merci à vous et je vous
promets aux presses de rentrer un peu
directement dans le dur du sujet avec
georges en premier avec deux notions à
cette notion de la fertilisation comment
le suivre et puis aussi des notions sur
les intrants sur votre sur le système
j'ai quelques diapos que c'est ça je
vais les faire
je les fais représente cui au départ on
est parti sur ce qu'on savait au niveau
de la biographie par rapport à la
fertilisation on avait des besoins des
arbres il ya des exportations en azote
en payant car donc on dit s'agissait de
travailler plein de fumure bas on
partait d analyse de terre et de ses
besoins théoriques à naseaux et on s'est
vite rendu compte que la réalité nous
renvoyer aux deux messages en
particulier on a commencé à travailler
sur la zone à partir de l'outil nitrates
chèque qui te permet de mesurer les
nitrates présent dans la solution du sol
et comme vous voyez dans ce graphique
souvent les mesures de jazz hot fait
avec cet outil montre qu'il ya des
minéralisations très importante en été
vous voyez c'est la courbe qui monte de
la halle à 30 cm de profondeur et on a
bien vu que la dynamique de
minéralisation de dans le sol
correspondait pas au schéma théorique
des coefficients quinqua deux là tout ça
ça ça collait pas qu'il y avait vraiment
un des dynamiques différentes et qu'il
fallait piloter plus par rapport à un
suivi régulier du nitrate que par
rapport à des besoins théoriques de
l'arbre donc ce qui nous a amenés déjà à
revoir pas mal d'eau fumure azotée à
réduire les doses et ce quand on apporte
de la zone c'est vraiment au printemps
et après on se limite parce que narbo en
particulier si vous avez des excès
d'azoté liés à la minéralisation à
l'automne vous allez avoir des problèmes
de coloration de qualité qui sont
anciens surmontant vous à les emballer
les arbres donc déjà ça nous a obligés à
revoir pas mal les choses en matière de
l'engrais azoté pour le phosphore la
potasse là où on était embêté c'est
qu'on avait des plans de fumure qui
sortait des analyses de terre où malgré
des stocks importants on nous
conseillait de continuer à porter défaut
soir la potasse donc là aussi on s'est
interrogé sur le bien fondé de sa
d'autant plus que des travaux
laboratoire commun
sélestat où alain kléber nous disait
vous savez les causes de présence du
phosphore par exemple dans le végétal la
fertilisation ça contribue que de
manière très marginale c'est au tour de
5 7% et la vie du sol la richesse en
mycorhizes ça peut expliquer plus de la
moitié de la présence du phosphore dans
le végétal donc ça veut dire que en fait
ça relativise l'importance de
fertilisation jeu ça va pas faire
plaisir certains marchent en anglais
mais ça veut dire qu'en gros c'est
important d'avoir une vie dans le sol un
porte massive parce que c'est ça qui va
contribuer de manière plus significative
à l'alimentation du végétal et que
lafferty bas ça va jouer en fausse peau
potassique à la marge mais l'essentiel
c'est de travailler la vie du sol et
effectivement quand on a mis en place
des essais et des producteurs qui ont
mis en place des plans de fumure sans
phosphore potassique nez avec un stock
important de phosphore de potasse au
départ on s'est rendu compte que à
travail analyse de feuilles on voyait
pas de baisse significative phosphore la
potasse donc ça veut dire que le sol
parce qu' un stock important contribuer
à travers ce qu'on a vu ce matin
l'activité des mycorhizes des bactéries
à alimenter le végétal sans qu'ils aient
besoin forcément d'apporter engrais
minéraux fausses ou potassiques et quand
on a fait des tests comparatifs chez
certains de nos producteurs entre la
même parcelle où on apporte du des
activateurs de vie microbienne et là où
on a un témoin on ne voyait pas de
différence significative
on va y pas de perte de 2,2 de phosphore
bought a zoo végétal disait à l'absence
d'apport de fausses potassique dans le
sol c'est à dire que la vie microbienne
compenser largement à la prese la
fourniture d'éléments fosso potassique
original et même dans les zones où il y
avait plus de matières organiques ont
retrouvé et dans la solution du sol à
travers l'inde
10 e par photométrie 1 et dans le
végétal des toners correct de phosphore
de potasse donc là aussi ça corroborer
l'idée que bon la fusion c'est une chose
le stock de fausses potassique dans le
sol c'en est une autre
l'analyse de sol qui va nous le dire
mais ce qui est important c'est le flux
de savoir si ces éléments minéraux
présents dans le sol sont mis à
contribution réellement au total à
travers la vie microbienne et la vie du
sol et c'est ça qui nous paraît le plus
important aujourd'hui donc on va une
continue cette ce travail de faire des
comparatifs entre des sols riches en
matière organique d'autres qui le sont
moins pour voir s'il ya des différences
de dynamique de phosphore dans la
solution du sol ou pas sachant qu'il ya
des problèmes méthodologiques parce que
la photométrie par exemple qui permet de
mesurer le phosphore la potasse dans la
solution du sol c'est pas des mesures
normalisée ils ont concédé
ça nous donne des chiffres mais qui sont
pas des références absolues c'est des
apps des références relative donc notre
travail ça va être d'étalonner ces
mesures de flux par rapport à ce que le
végétal contient réellement comme
éléments minéraux dont il ya tout un
travail à mon avis de de référencement
de ces méthodes qu'il faut mettre au
point
donc voilà ça c'est la première piste et
donc les pistes de travail actuelle
c'est la fourniture de matières
organiques dans les vergers avant
création du verger ou en cours de devis
du verger dont l'ansé rapprochés puisque
on n'est pas dans une zone d'élevage des
déchets tri de déchets verts on sait
qu'on peut avoir des matières à
digestible en grosse quantité
relativement propre en termes de
plastique ou de autre chose et d'ongles
entrailles différentes plateformes dans
la région à qui on demande de nous
fournir des déchets compostés mais pas
de pattes de longues périodes pendant un
mois c'était juste la phase thermophile
qui permet d'une part d'assainir le
compost de tout ce qui est graines de
tomates et autres qu'on peut trouver
dans l'est
déchets verts et qui permet aussi
d'assainir le compost mais de fournir
quand même un produit avec un rapport
c'est sur un élevé ce qui veut dire
qu'il y aura suffisamment de matières
digestible pour enclencher le cercle
vertueux qu'on a analysé ce matin de
création de lits microbienne et bac
technologique qui permet la création de
ces cols qui permettent d'agréger par
exemple de sol et d'avoir une structure
du sol favorable à la porosité et contre
la battance donc voilà donc actuellement
on est en train de travailler les
plateformes de compostage ces aspects là
sachant que ce qu'ont cherché des
broyeurs qui lacère le bois et qui le
coupent pas il s'agit pas de faire des
plaquettes de bois
il s'agit de lacérer le bois pour qui ce
compost plus facilement et ça pose des
problèmes technologiques d'ailleurs
parce que le fait de composer pas
longtemps ça veut dire que c'est
difficile à cribler donc il faut trouver
un compromis entre l'objectif d'avoir un
produit propre des pages débarrasser de
plastique mais un produit qui soit quand
même suffisamment tamisée pour que ce
soit digestible a relativement
rapidement dans le sol donc voilà on est
en train de travailler ces aspects là
donc il ya eu plusieurs
l'opération d'apport massive de de
compost genre d'outil là qui nous permet
d'apporter des grosses quantité de
compost relativement vide l'autre une
bonne comme ça en une demi-heure s'est
pendu ça fait trente mètres cubes
pratiquement c'est avec une dpae donc on
en sait qu'il ya une régularité d'apport
de l'ue produit sur le sol donc voilà on
est en train de voir que c'est plate
forme de compostage parce que ce qui est
important la matière organique externe
au verger c'est que ça soit pas cher et
le problème c'est le transport dont il
ya l'aspect de proximité qui joue
énormément on arrive quand même à des
des composts
mature on propose c'est pas ma un mois
de l'ordre de 7 à 10 euros la tonne
départ donc sa course sur le plan
économique une opération qui est
intéressante quoi voilà quand ça c'est
la première piste de travail donc
l'apport de matière organique digestible
sur dans le sols avant plantation il ya
des producteurs qui ont mis au plomb si
des outils pour essayer de de dépendre
le compost sur leurs angles un terrain
en passant dans le rang donc c'est des
outils plus étroites forcément il y aura
pas les mêmes volumes qui seront
mobilisés donc s'il y aura des coûts
supplémentaires donc là aussi on a on
est en train de travailler sur le
chiffrage des opérations c'est important
de sortir un couteau et l'autre piste
c'est bien sûr de travailler les années
revenant jusqu'à maintenant ont
travaillé des années le mans classic en
verger fais-tu corps et grades est une
chose assez classique dont là ce qu'on
va chercher à travers avec des
collaborations avec des sociétés comme
semence de provence c'est de tester de
nouveaux mélanges qui permet d'avoir des
volumes de biomasse plus important et
donc la question qui vient juste après
c'est de dire comment va la gérer cette
biomasse est ce qu'il faut fauché ce
qu'il faut coucher l'herbe avec des
rouleaux faca donc voilà il ya tout un
savoir faire acquérir sur la gestion de
l'énervement
je sais que sébastien d'avancer sur ce
sujet pour vous en parler
voilà donc voilà actuellement les pistes
de travail et un peu les réflexions que
qu'on a été amené à faire suite à notre
expertise en systèmes l'analyse de
feuilles de rameau et de soles donc donc
ça relativise l'importance à
fertilisation et sarah laury's
l'importance de la vie du sol
donc on est complètement longueur d'onde
en cohérence par par tout ce qui été dit
ce matin on se retrouve bien ça nous
conforte plutôt de ce qui a été dit ce
matin dans nos démarches agronomique
voilà donc après je peux compléter si
mauvais
des questions c'est vrai qu'on fait
rapidement le lien avec le remplissage
de du compte en banque que là vous voyez
le lien direct qui est fait avec ça et
finalement cette approche qui avait été
présenté par rapport à l'atelier
maraîchers voyez que sur l'atelier
arboricole dont on peut faire des ponts
entre les deux et des techniques
similaires
je vais rebondir sur sébastien je crois
qu'il y avait encore quelques photos je
suis pas si tu as les commenter je pense
qu'on refera un tour de table après sur
les sur les outils je vais passer à à
sébastien en faisant le lien finalement
sur cet apport c'est à dire qu'on voit
qu'on a besoin d'eux enfin en tout cas
qui a une pertinence avoir un apport de
matériaux organiques extérieures au
système dans le système pour le faire
démarrer
est-ce que c'est également quelque chose
que vous constatez sur sur vos systèmes
et puis derrière c'est vrai que le la
main a été tendue de parler un peu plus
en détail des nouveaux systèmes herbacée
de la gestion de ceux couverts et vous
c'est pas d'une trachée que vous
utilisez je crois que vous faites
recours un entomologiste peut piloter
tout ça donc je vous laisse nous
expliquer en détail
oui ben pour rebondir sur ce que disait
georges blanc sans rentrer dans le
détail de la fertilisation juste pour l'
approche organique du sol il ya deux
moyens d'y arriver
donc on peut s'inspirer de ce qui est
fait en maraîchage ce qui a été expliqué
ce matin par maraîchage sol vivant avec
des apports de matière organique
et puis c'est des découvertes comme
l'expliqué georges mettre en place des
couverts pour générer de la matière
organique
donc tout ça ça peut se faire à deux
moments du de la mise en place en fin de
l'existence du verger le plus simple
pour des amendes massives de matières
organiques comme illustré sur la photo
ci dessus
c'est de faire ces apports avant la
plantation du verger donc c'est une
réflexion à mener en amont donc là par
exemple on passe dans une parcelle qui a
été arrachée on a laissé en place le
système paragrêle et on va apporter des
grosses quantité de compost compass de
végétaux dans ce cas là mais ça plaît
des fumiers fumier de bovin fumier de
cheval d'un même manière on essaye
d'avoir des choses pas trop composter
plutôt riche en carbone avec des rats
pensée sur un élevé donc là les doses
qu'on va appliquer ça va être quelques
dizaines de tonnes à plus d'une centaine
de tonnes ha l'idée c'est de tout de
suite franchir un cap dans la teneur en
matière organique du sol par exemple
peut passer de 2 à 3 ou 4 % voire 5% et
ensuite prendre le relais ou alors
pas forcément mais l'a par exemple on a
pris le relais avec des semis de
couverts donc pareil avant la plantation
donc là il ya deux objectifs faire un
maximum de biomasse donc c'est des semis
de mélange faire un maximum de biomasse
et les restituer au sol avec des
rouleaux faca et puis stimuler la
biodiversité
donc là sur la photo du milieu en fait
on voit un semoir de semis direct qui
est utilisé en grandes cultures
donc ça sera de semis direct sous
couvert les carolos faca à l'avant donc
là on écrase le semis d'automne et puis
on s'aime à l'arrière la smic printemps
et voilà le résultat que ça donne après
pendant l'été avec l'envoi
principalement du tournesol mais dans ce
mélange il ya également du sorgho pour
apporter de la biomasse et de la
phacélie du sarrasin pour la
biodiversité et avec ce type de couverts
on peut assez facilement apporter 15 à
20 tonnes de matière sèche par hectare
et par an donc en complément d apport de
compost
donc ça c'est la partie facile avant
l'implantation du verger parce qu'on a
on a de la place on peut faire passer
des des gros engins et puis après on
peut faire la même chose une fois que le
verger est installé donc je sais pas
s'il ya des illustrations sur les photos
suivantes ou là bas du coup on va passer
avec des épandeurs de compost plus
étroit éventuellement localise sur le
rang et puis on peut mettre en place
également découvert entre les rangs de
pommiers donc dans l'intérêt alors là ce
couvert là il a principalement pour
mission de faire beaucoup de biomasse
donc on retrouve des espèces ce qui
pousse très fort pendant l'été peut-être
que font de tournesol sordo la l'époque
où la photo a été prise on est autour de
4 kg de matière fraîche par mètre carré
donc c'est un équivalent de 40 tonnes de
matière fraîche hectares donc là on
n'était pas encore arrivé la totale
production du couvert et puis la photo
suivante je pense qu'on a un autre
exemple de semis alors là c'est un autre
objectif des semis là on va plutôt
implanter des mélanges fleuris donc
qu'ils vont générer peu de biomasse donc
là l'effet sur le sol est moins palpable
mais par contre on met en place ses
couverts pour stimuler la biodiversité
dans les vergers
et essayer de favoriser les régulations
entre ravageur et prédateurs donc là je
sais pas trop ce qui est en détail dans
le mélange mais c'est un mélange tout
fait du commerce qui a été implanté et
puis on voit la rapidité avec laquelle
s'installe en c1 smic et effet mis mes
pieds au 15 juillet les idées
complètement aux fleurs est rempli son
rôle
donc ça ça ça semis de 2019 alors on
parlera des freins plus tard là c'est un
verger où il ya un peu d'aspersion donc
ça se passe bien en goutte-à-goutte vu
les conditions estivales qu'on a eus
mettre en place des smiths ce printemps
ce n'était pas gagné partout
par contre dans cette situation quand
tout autour des grandes cultures sont
récoltés qui a plus rien que les pâtures
sont grillés par la sécheresse a
finalement cédé rejet ccb havre de
biodiversité pour toute la faune qui
peut venir s'y réfugier quoi juste sur
peut-être le le pilotage les changes
qu'on avait eues par rapport au suivi de
cette diversité
oui quelques mots donc depuis plusieurs
années dans chacun des vergers des
producteurs de pommes occasion on fait
un suivi des auxiliaires
l'idée c'est à terme on n'est pas encore
né à terme ces tirs et des liens entre
les aménagements agro écologique on peut
faire en verger et l'abondance des
auxiliaires et la régulation des
ravageurs que l'on peut observer
voilà donc ça fait quatre ans qu'on met
en place ce type de suivi
grosso modo il ya des choses assez
triviale que l'on observe donc on allait
dynamique de population d'auxiliaires
qu'ils sont observés donc ça c'est
intéressant il ya très peu d'oxygène
jusqu'au mois d'avril ça explose sur
juin juillet puis après ça diminue à
l'automne donc ça peut coïncider avec la
gestion de certains ravageurs comme le
puceron lanigère ou ce genre de choses
pour des ravageurs qui ont des cycles un
petit peu décalé comme le plus andré qui
s'implantent très tôt en sortie d'hiver
ça suffit pas forcément la biodiversité
pour réguler ça ou alors ça va la
réguler mais comme en 2019 assez
tardivement une fois qu'il peut y avoir
des dégâts sur les arbres voilà qu'en
2018 savez très bien marché après
floraison l'abondance des auxiliaires
avait réglé le problème du puceron
cendré en 2019 sap a été le cas il ya eu
des dégâts en verger voilà merci pour
cette présentation
j'attire votre attention sur le fait on
a vu sur ces premiers exemples qu'en
fait le choix le pilotage la gestion de
ces engrais verts elle n'est pas faite
j'irai au hasard ou au petit bonheur la
chance et c'est que chaque fois derrière
il ya quand même un objectif qui guide
le producteur on a parlé d' objectif
d'augmenter la matière organique
non là on est sur un objectif
d'augmenter la biodiversité d'avoir une
possible action sur sur les bio
agresseurs
donc chaque fois qu'il ya quand même un
raisonnement qui pilote qui de le
producteur voilà on ne fait pas que du
paysagisme on fait aussi la de
l'agriculture avec des fonctions assez
couvercle ouais juste pour rebondir sur
ça on l'a pas abordé au départ mais tous
les semis qu'on peut mettre en place et
les apports de matière organique c'est
raisonner avec des analyses de sol assez
poussées comme tu es ok on regarde le
fractionnement la matière organique du
sol ça s'appuie également sur des
profils de sol ça veut dire que
vouloir installer un enherbement
permanent sur des armes avec un système
racinaire superficiel on va accentuer
les problèmes de concurrence donc ça ça
peut se faire sur des armes dont on
s'est assurés avant que le système
racinaire descend d 1 m 52 m et moins de
concurrence comme ça la strate herbacée
l'arbre excellent pas les mêmes zones du
sol donc ça pendant tout ça c'est des
préalables
on l'a pas évoquée mais toute cette
gestion de la matière organique et
découvert ça découle d'observation et de
mesure qu'on à faire dans ce terrain
comme des profits de sol ou des analyses
de sol
donc vous l'aurez compris dans cette
partie là on est vraiment en accentuent
sur pourquoi on fait ça comment le fond
comment le fait qu'elle attente on a de
ces systèmes
et du coup maintenant je vais laisser
christian présenter son approche
comme j'avais encore plein de photos
appareil photo moi il ya le nom comme ça
tout le monde connaîtra si le coup comme
moi j'ai deux objectifs autre salle
hergé les objectifs économiques et c'est
certain mais j'ai toujours pris ce que
je faisais à coeur et relever les
challenges soit syndicaux économiques
maintenant à mon exploitation donc j'ai
su partie sur déjà 0 insecticides tu
veux pas m c'est ici deux semaines mot
nation c'est ma façon de voir moi on a
parlé le compost moi je l'application
jeu mais 100 tonnes de co2 et cher route
tue c'est gros mieux c'est pas du butin
mais les grossières voilà parce que la
la la dégradation je le veux sur le
temps il faut que ce soit long plus
c'est long plus c'est bon
je mets 10 tonnes chaque année de
compost aussi un peu grossi aussi avec
des préparations
ça c'est la partie bio dynamique comme
on parlera aujourd'hui qui est posée sur
le rhin à 60% cela en basque n'en
portait pas son milieu
voilà nous manger des communes
conditions climatiques exceptionnelles
qui peut pleuvoir 400 mm nos ces
jours-ci et pendant six mois ils tombent
pas une goutte d'eau donc c'est très
difficile pour nous pour moi c'est mon
avis il ya des gens de mon département
dans la salle de mettre des engrais
verts il faut les riez vous on est resté
là les restrictions hydrique de
d'arrosage donc on n'est pas outillée
aujourd'hui pour pouvoir faire des
réussites ça pour réussir sur un an ou
deux mais des réussites sur le long
terme cela de l'engrais vert
voilà donc nous moi dans ma filière que
la pêche-nectarine surtout après
abricots je l'appelle des gamines de
l'abricot de la fig
un peu de sérieux moi mon principal
objectif c'est le puceau donc le
puissant qui est un ravageur extrêmement
compliqué à empêcher nectarines donc
j'ai mis tous les éléments sans
insecticides pour pouvoir maîtriser au
mieux en mieux rien savoir et il ya
toujours la part des anges
selon le parti qui est plus rond qui
sont là donc j'ai mis des conditions qui
permettent de lutter avec des outils
mécaniques au physique sur le puceron
vert du péché dont l'un des bateaux
fleuris à 30 cm de la partie des airs et
mécaniquement autour de l'arbre ceux du
micro g le micro g permet d'arroser la
trémie de faille 1 la leçon maritime
l'oeil de boeuf le souci le mélilot et
le trèfle blanc ce sont des fleurs qui
sont adaptés à mon climat spécifique que
manu roussillon et espère un débat
spécifique c'est pas la normandie qui
rencontra normandie et la bretagne
voilà il faut quand il faut au milieu
c'est le seul d'ailleurs que au mois de
juillet août s'est cramé moi c'est
marrant comme ça je passais jetons
jamais j'ai des rouleaux fin j'ai des
rouleaux faca et j'ai des broyeurs hors
sol
c'est à dire qu'il ya un match on essaie
de maintenir le match au maximum sur un
show via pas de vie ce quelqu'un qui a
les cheveux il peut y avoir une
c'est ça qui est important voilà donc
plus de vie y'a plus équilibrée plus en
meilleure maîtrise de puissants qui est
un fléau
je le répète voilà aujourd'hui je suis
en train de réfléchir c'est la
couverture de mon rang tu disais un mec
aliments dits passage j'ai un bilan est
désastreux
j'ai pas parfait j'ai aussi les y aussi
du défaut beaucoup dont on a essayé
plusieurs légumes sains et on est
aujourd'hui on s'est calé sur la fève
parce que la faire elle a une une
croissance inverse au péché dans le
péché tomber ses failles à la fin vous
pousse jusqu'au mois d'avril mai
et en plus elle a un petit saut en
hauteur qui est pas au dessus du péché
mais qui peut nourrir les auxiliaires
tôt pendant que les pucerons des péchés
sont pas là j'ai saisi le système voit
la deuxième chose elle a un peu d'azoté
récupère un peu d'azoté pas beaucoup
mais un petit peu s'il est à 6 euros le
kilo de l'accueillir et en fin de cycle
elle peut solidifier est là tous deux
vers 13 ou la variole elle peut retomber
sur le parti des herbes et 30
centimètres de chaque côté de l'arbre
dont on va diviser en deux la partie
mécanique
dix passages n'auront l'ofac a dit
passage des terres ligne le péché bon
c'est contraire à ce qu'on a parlé ce
matin puisque mais on évolue
moi je suis moi j'essaie un peu moins de
2 j'avais assez doucement juste pas trop
intelligent c'est là qu'il faut j c'est
pas vrai c'est marquer donc je fais ce
que je peux avec mes petits gars que
j'ai normal il ya 14 hectares de fer
blanc déjà que 5 mètres par 14 hectares
en plein jet de 7 mètres j'ai compris et
à plusieurs stades parce que moi je vais
réfléchir à ma tête mais j'ai pas les
résultats écrit dans ya quelqu'un qui va
suivre la chambre d'agriculture des p ô
va suivre l'arrivée des pucerons
si les plus heureux si de nos clients
sont sur la fed avant d'aller sur le
péché en tout suivi je réfléchis aux six
le ppm parce qu'on ya aussi des plantes
aromatiques ou médicinales ou je crois
tu peux voir soit avoir un impact sur la
je veux après c'est un choix personnel
j'ai toujours fait des choix personnels
quand tu vois ça mais c'est une vision
que j'ai j'ai envisagé de 70 hectares et
des hectares de pêche à peu près 12
hectares d'abricots 6 hectares de fig 1
hectare de cerisiers métallier pauvres
voilà merger que j'ai construit ma
famille voilà je suis pas de milieux
agricoles à évoluer mon exploitation
avec ma famille je fais je joue un jeu
je joue l'homme de change le risque et
la facture d'amour et le pleure et vous
gagner un peu d'argent quand même avec
votre verger et vous gagner un peu
d'argent avec votre verger pas beaucoup
moi je vais parler d'argent jerry avait
l'amour je pourrais revenir mais je
parle beaucoup horizon m'arrêter je vais
passer aux autres non mais c'est
intéressant ce qui est intéressant c'est
de voir voilà la démarche qu'on a les
objectifs qu'on recherche tue pas excuse
moi je vois pas d'eau excusez moi papa
de des composites du couchage de l'herbe
de la vigueur après j'aime bien j'ai
aussi td fois manque de vigueur ce
difficile à aujourd'hui de deux des
trappes et en ne pas être un pétain et
de et d'avoir des rentabilités moelleux
mais dix ou quinze toiles hectares que
je fais me permets tu avais mon prix de
passer sur les prix différent ou d'être
là c'est différent je suis là j'ai les
régions où il ya le puceron a fait du
mal un bio je parlais a fait du mal sur
le verger départementale un des seuls
moyens au foyer et dans l'ensemble j'ai
un verger à ses propres ambitions quoi
voilà en faudra juste après un tour de
table des élites là l'objectif c'est
vraiment de de présenter le ce qu'on
attend de ces de jeudi ces systèmes
parce que vous voyez bien c'est pas un
système écrit codifié avec un protocole
conservation des sols c'est comme ça
qu'il faut faire en verger il ya il ya
plein de six thèmes diversifiés donc
c'est pour ça que je mets ça sous le
qualificatif de ces systèmes
donc là voilà l'objectif c'est de voir
qu'est ce qu'on en attend et les bonnes
histoires qu'elle est bonne réussite
donc maintenant jérôme mais je t'invite
est également à nous expliquer ton
système
donc nous pour une surexploitation ça
fait depuis 2002 qu'on avait mais si
seulement semis direct pour la partie
céréales on est tous sous couvert
on a fait six essais les semis des
cultures dérobées sont des fois on était
un peu fou dans les manoeuvres mais bon
on a pris des risques importants y en a
toujours
on est toujours tombé sur nos pieds et
ça fait trois ans quatre ans comme n'en
développe une part notre verger en bio
donc en faisant le parallèle de ce qu'on
a fait c'est un seul à participer à ce
dîner pourquoi
voilà un verger bio désherber aseptisé
qui ressemble un verger conventionnelle
et
tout en gardant
dans ce pays économie derrière la tête
et de rentabilité
1
donc j'ai on en a démarré un peu tout
seul
une pelade su à réfléchir et après on a
rapidement avec le groupe défi la
chambre agriculture voilà coincé à
discuter de la serre gros en c1 s'est
rallié avec l'ol qui n'entend metteurs
en marché qui est aussi réfléchissez de
leur côté donc on a essayé de regarder
qu'est ce qu'on voulait faire et qu'est
ce qu'il nous faudrait faire après infra
vont fera pas donc bien vous voulez
desplan on était convaincus et voilà il
fallait rajouter de la biomasse pour
acheter des plats de notre verger
après il fallait voir ce qu'on voulait
faire le service que vous leur demandez
moi j'appelle ça des packs de services
donc quels sont les objectifs qu'on a
cherché mais il ya un ravageur qui est
problématique chez nous c'est le plus
sûr un cendrier il ya une deuxième
ravageur qui est problématique aussi
c'est tout le cortège des punaises
qui on peut faire des dégâts verger bio
ou conventionnels dégage car 80% de
récolte
voilà foutu centre d'un centre
explications ici on a des explications
donc ça fait partie des écueils comme
vous voulez essayer d éviter et bien
voilà profiter de ces nouvelles
techniques pour pallier en scène
travaillée découvert donc des choses
qu'on a redécouvert ou qu'on est
redevenu à grenoble on va dire
de voir comment on pouvait l'articuler
nous un verger de pommiers
historiquement c'est des vergers irrigué
verger à haut potentiel des etarras de 4
mètres avec 4 m eur soit au niveau du
faîtage donc on a beaucoup de trafic
dans les vergers sert du passage de
tracteurs donc obligatoire dans les rues
en permanence moi sur mon exploitation
je suis preneur une originale de
l'entretien des vergers donc je veux pas
une salle ornières surexploitation donc
ce travail commun de très longue haleine
et cette année ça nous a encore donné
raison donc vous voulez super année
roman permanent avec le verge est
adossée pour crier du drainage ou
d'écoulement au minimum du drainage en
cas de fortes pluies une façon qu'au
printemps avait on puisse revenir avec
nos traitements ou nos passages
intercepte quand on veut donc hors de
question de relever un couverte de
relever un aimant permanent pardon donc
on a dit maintenant il faut quoi il faut
trouver une plante dont on l'a dit on
est parti d'un constat dire que la
federal nous paraissait intéressante par
rapport aux pucerons
parce que il veut voir on a vu des
blessés on a vu quelques résultats de
dc fait sans vouloir les faire reposer
se fera le subit et que deux bons
résultats soient parties puissent europe
puisque bon c'est pas le gameplay seront
sauf que comme disait mon collègue tout
à l'heure
voilà c'est plus rock arrive sauf qu'il
ya les auxiliaires qui arrive donc quand
les nôtres y arriver on a déjà des
auxiliaires présent dans la parcelle à
sa règle pas tout par contre ça peut
faire baisser la pression
ça peut tout régler mais bon c'est pas
gagné à 100%
et même si ça donne raison mais ça nous
conforte notre idée parce que ce dernier
n'a d'autres producteurs de la coop qui
ont voulu faire un conventionnels et bio
qui a voulu faire
par idéologie d aime pas ça sur des
traitements puis ce seront entre floraux
et des catastrophes sur des parcelles
moi j'ai vu des parcelles et glacé
maximum 50 % du tonnage quoi les
silences économique
même sur delà de la granny sur de lapine
que j'ai vu sur de la galaxie s
économique et non donc ça veut pas
tomber là six titres grand temps qu'on a
ciblé une plante voire deux plantes du
féveroles donc on a fait un ménage
féveroles pouvait se dire que la
féverole que le puceron pour avec pour
des pourparlers pour les autres et on a
commencé à travailler avec sa partition
on a dit si on part avec un mélange trop
complexes qu'on va plus savoir qui fait
quoi et lee décédé m'arrive ça et après
chaque année ou en priorité on va
rajouter une plante et on va regarder
les frais supplémentaires
on va leur enlever peu ce qu'on pratique
en céréales et donc comme il sied tout à
l'heure on encore à démarrer sa
à présent dernier a coincé à faire des
visites on est allé voir des vignes sur
buzet est allé voir des producteurs en
lot-et-garonne qui était un prix ne date
donc ils se disent amen inter rend très
large
donc il se permettait avec le
retardateur de sous le tracteur travail
et une bande de 80 cm en maître et de
faire un semis avec un semis se mord
standard ce missane offre sur le travail
et donc sa responsable et à leurs
objectifs nous l'idée était bonne sauf
que voilà comme je veux garder mon
énervement sous le tracteur jusqu'à 50
cm de large si je commence à travailler
ses gammes cm de large mais si le
chauffard il dérive un petit peu il va
pas tomber dans la prison de travailler
hélas il a plu et m'a descendu jusqu'à
la semaine
donc c'est donc ce n'était pas la
solution
donc du coup on a mûri on a germé de
saint-germé tout l'été dans notre tête
on était prêts à y passer le semis
direct des céréales de d'un bon mais
comme on a des structures poteaux béton
avec des câbles transversaux des examens
des passages serrée à deux mètres 80 qui
fait 3 mètres sont donc on a cherché
cherché on a essayé on a eu à
disposition sera vignes mois de juin de
chez gilles et qui faisait m m de large
donc on à semer en a semé un petit peu
mais on a fait ça à larache parce qu'on
avait en avait pas tendu donc on avait
on avait nos graminées qui faisait bien
50 cm d'eau l'objectif est de voir la
faisabilité déjà deux semaines après
aval et les plaques bon en fait de corte
s'aperçut que comme nous on est un
docile et le second est un plat bio
milieu n'a pas soumis il ya sa mise en
beauté à son milieu donc on a
retravaillé tout cet été trouvé un
constructeur pendant toujours pas trouvé
et donc du coup dès cet automne on a
décidé quand même pour voir la
faisabilité de reprendre ce fameux se
voir la femme comparatif avec ce mot
radar ce morceau selon adam ce fameux ce
moraliste à vignes en passant de chaque
côté du parking
sauf qu'on a mise en abyme folie brèche
de pomy mais me donner lester nicolas il
faut se lancer et il faut on sait où on
veut aller on a matériel qu'on a sous
les yeux à faire ma disposition
il faut commencer avec ça bon après on
va essayer de se retourner pas trop
équipée l'an prochain comme il faut donc
on se met ça très tardivement à ce
message
je crois que c'est autour du 15 novembre
par la dce 15 novembre
parce que voilà le constructeur de ce
mardi à lima nous le mettre à
disposition et on voulait absolument
faire de modalités parce que les
intervenants qui étaient venus enquêter
pré engagées par le groupe et blu ray
est lui blessé seulement elle se meut
rats sortent pour moi j'étais moins
convaincu parce avez une expérience dans
les céréales
je savais que bafé décote il a comme il
ya vachement plus
on n'a pas vu de différence c'est la
pluie dollars appuyé et ça a été réglé
mais on a quand même pu soit zone et le
tracteur il ya plus patiné s'en est pris
les 2e tracteur mais se met à minova
mois belani taille encore avant-hier
avec médina baye on voit les rangs on
voit le mélange il fait 10 cm d'eau et
on est passé qu'elle en a fait donc ça
c'est un verger bio de troisième faille
dans le déroulement il avait déjà deux
ans il ya eu du roulage de tracteurs
n'avait on n'a pas travaillé dans son
coin il est l auteur comblé et après moi
dix huit dix jours après sa prise à plus
de sommes en attente toujours là j'ai
fait ce que j'ai fait ce mais tout le
reste mais bio mais là ce avait créé une
chorégraphie roll pur parce qu'ils
étaient pris dans la rigole touche
beaucoup de choses la graine et des
participants et là sur un verger de broc
filtre l'assuré fait donc avait peut
être un neuvième ou dixième feuilles la
dame avait dix ans on assume et on a une
très bonne réussite de lever on est un
peu claires parce que on a faim on
aurait dû remue réglos - et d'acier mais
ça un parmi les graines ne peut pas
sortir mais on a une levée je passe
autour de 80% de ce qu'on a semé
donc la féverole qui nous coûte à peu
près 25 euros de l'hectare
on aurait d'assises le bus aurait fait
30 euros de coût de ce mince mais on a
vérifié que on est capable de se donne
maintenant prochaine étape
mais ces fabriques fabre faire fabriquer
ou fabricants se bat pour être
opérationnel pour semer ses plantes là
plutôt plutôt pour les remettre à leur
saison parce que là c'est trop tard de
façon et peut-être à prévoir rajouter le
plan du jeu et tu peux te faire à des
dates de semis différentes suivant les
intérêts pour qu'après on est on est des
salles différentes sorties diverses pour
que la leaf et de services bénéfique
pour notre verger dure dans le temps
et après restera un gamer problème
partie visible sur l'après après deux et
après ce qu'on veut quand rapport la
punaise aussi quand même c'est important
s'aperçut que l'allergie qu'était salah
qui avait pas mal de sargodha et parce
qu'on est sur nous on a quand même
montré un très envahissant envahi par sa
housse et que surtout à mieux que
l'interceptent il faut un chauffeur qui
est bac +5 pour le conduire pour avoir
fait un super travail donc mais quand on
ne l'avait pas donc on s'est fait salir
et du coup on avait des ports entre le
sol et la frondaison du verger et ça
s'est aperçu que dans ces zones là on
était envahie depuis dix ans il n'y a
pas eu de dégâts je sais pas pourquoi
parce que vers le mi septembre quand on
a fait un tour de vergy goût de bouchon
étaient devant chez nous à deux mètres
de la route qui les paie est un
spectacle c'est un schéma est était par
centaines par an c'était pas donc du
coup c'est d'un autre dans nos idées de
travail on ne veut pas qu'ils aient une
connexion entre le son et la frondaison
au niveau de leur niveau de stocks on
voit bien un semis sous le tracteur plus
une paire de rames sur le côté des roues
en extérieur pour faire un effet comme
biomasse fertilité des sols par contre
sous les arbres 70 interceptent un verre
jeune je pense qu'on peut éviter la
concurrence ce qu'il faut faire mais que
sa propre les façons à faire un couloir
je pressens coin sanitaire servian
toujours dégagée quoi pour que au niveau
là où il a recentré quoi et après dans
le milieu le reste et je pense qu'on va
travailler par des moulages mais c'est
pareil faut qu'on fasse développer un
rouleau pour ça va nous faire mal verge
est adossée c'est ce preneur ou le plat
avait eu sa période
des thématiques là qu'on va essayer de
travailler
pour renverser et surtout de sur des
vergers à grande échelle en moyenne et
se mêlaient hectares le centre
d'expérimentation sfl a fait aussi
puisque on est encore jeunes avait aussi
donc quand on fait une modalité chez moi
l'a fait chez eux
et du coup il est un peu plus de moyens
d'observation que moi je peux faire
c'est moi c'est plutôt un prétendant
pierrick donc voilà travaillé cette
année
ok donc vous voyez bien là sur cette
description là on est sur une occupation
de l'espace qui est diversifiée ce n'est
pas un enherbement unique sur l'ensemble
du verger
mais chaque zone à sa fonctionnalité et
en fonction de cette fonctionnalité on
essaie d'associer le meilleur couvert
végétal par rapport à ça il ya le
matériel qui fait déjà un premier pont
je dirais vert vers les difficultés
qu'on peut rencontrer dans ses systèmes
de culture donc je pense qu'on va devoir
faire un retour d'expérience par rapport
à ça c'est à dire vos difficultés qui
sont vos problématiques aujourd'hui
qu'est ce qui vous pose problème pour
aller plus loin et puis on a évoqué un
peu les ravageurs mais souvent quand je
viens de le dans le sud est
on passe pas une demi heure sans parler
de campagnols on a passé une
demi-journée sans en parler je pense que
ça risque de venir aussi autour de la
table c'est à dire ces problématiques de
mulot campagnols suivant les zones
géographiques où année pour les appeler
qualifié que je propose de faire un
retour depuis le bout de la table sur
les échecs sur voilà les difficultés et
les échecs lévy culte et des
problématiques que vous rencontrez si on
parle des semis les difficultés qu'on
peut rencontrer c'est parfois de les
implanter avec des semoirs hasseni
direct sous couvert c'est pas toujours
simple surtout sur des semis de
printemps si on n'a pas d'aspersion
qu'on a que du goutte à goutte et que ça
sèche comme cet été ça a séché à partir
de fin du printemps
on a fait des smiths à alv et puis ça a
crevé du sec là où il y avait de
l'aspersion ça pue bien pousser parfois
avec ces techniques avec lesquels on
n'est pas trop habitués on positionne
mal les graines on n'a pas toujours des
bonnes en réussite en ce moment
directement ça marche mieux qu'on
accepte de travailler un petit peu le
sol mais du coup ça apporte peut être
contrainte à savoir les zones qu'on
travaille
est-ce qu'on veut travailler et passages
de roues ou pas je pense que c'est
risqué donc du coup on peut se cantonner
à la bande entre les deux roues voilà
pas trop touché au passage de roue donc
ça ça fait partie d échecs les semis de
printemps ce qui dirait que sans
aspersion c'est compliqué après tu
parlais des campagnols
donc là on sort un petit peu des semis
une tendance que l'on a sur certaines de
nos parcelles où certains de nos vergers
c'est d'aller vers l'enherbement total
des vergers se représente une bonne
proportion du verger maintenant même on
voit qu'il ya des limites sur les jeunes
verger après installation ou là se
laisser se développer une population de
campagnols ça peut être très risqué on a
eu des cas avec pas mal de mortalité
d'arbres l'année cassoulet la plantation
on est un peu moins frileux sur des
vergers installé au delà de 5 6 ans où
on pense poc ça est véritablement trop
d'impact en tout cas dans nos situations
mais sur jeune verger on revient plutôt
en arrière sur l'enfermement total c'est
à dire qu'on va désherber leur ont donc
soit chimiquement au conventionnel soit
mécaniquement bio avec des passages de
travail du sol
voilà et après votre type d'échec ou
autres points sur lesquels il faut être
prudent
souvent qu'on se lance dans ces
pratiques là on a tout de suite derrière
la tête l'idée d'aller vers l'auto
fertilité des sols ce genre de choses
beaucoup de matière organique et puis on
va pouvoir baisser les intrants les
ancrer ce genre de choses il faut être
très prudent notamment sur la fraction
azotés je pense que comme tu le disais
georges sur la faction la fraction
phosphore potasse il ya peut-être un peu
moins de risques à réduire
pidement sur la fraction azotés on a eu
des échecs parce qu'en fait le couvert
peut pomper énormément de ce qu'on
appelle entre fertilisation et s'ils ont
pu se rendre dans des pratiques où on
compte sur l'auto fertilité du sol et
qu'on réduit les apports et ben ça peut
pénaliser verger donc on rentre dans des
cycles d'alternance on pénalise la
récolte le rendement le calibre ce genre
de choses donc l'appareil
suite à quelques exemples où on a eu des
échecs on revient plutôt en arrière
c'est à dire qu'on soutient la
fertilisation azotée plusieurs années
après le passage à ces pratiques dans
les rebeu mans pour les pions réduira
s'il faut réduire dans dans quelques
années mais pas trop trop rapidement en
tout cas est-ce que tout va pour le
mieux dans le meilleur des mondes où il
ya toujours des issambres tableau souci
nous avec la campagne en ait un impact
non agression hélas il ya une relation
entre l'humain et le végétal le
campagnol dont il restait là où il est
la réponse ici de campagnols à ma
connaissance sur le péché aussi l'arrêt
côté on envoie et puissant il dit on
n'est pas de souci majeur dans ma
filière à moi et dans ma partie
riou et réduction de la production est
bien là des camions qui passent aussi
pas loin de chez nous 18 le camion au
perthus était encore rapport avec la c1
portable un grand maréchal qui pèsent
sur les fruits et légumes en france
jérôme d c'était un message nous pouvons
pour venir pour campagnols j'avais pas
paraître tout à l'heure mais c'est vrai
que nous propose ce fléau être moindre
et certaines zones mais on le prend pas
à la légère donc tout ce qui est semi
souleyras où les arbres tout ce qui est
très flatteur et fait des essais on a on
a vite arrêté l'histoire parce que nous
ça peut être très dramatique d'un
certain énergie peut-être parce que
je pense rappeur du verger bon enfin les
irrigations également un micro g va
doubler par de l'aspersion donc mais ça
peut être pénalisant est on est on est
on est on a vu arriver de passer de
l'intersection des vergers adultes pour
essayer de les perturber et à les
déranger pour ça que c'est que je
promets je joue à ce jeu j'ai du mal à
concevoir d'arriver à semer sous les
arbres par rapport à ce problème de
campagnols parce que c'est sûr que si on
baisse la garde il arriva pour nous
voilà il faut pas négliger ce phénomène
alors est-ce qu'il ya d'autres verrou
sur lesquels il faudrait travailler et
approfondir après vous allez plus loin
que moi le cap à nyon après il y aura le
puits seront variés verra pas tous
avaient découvert ça on va on va baisser
la pression mais je suis vu les
pressions clients réglera pas tout je
passe pas car on aura quand même recours
aux insecticides et après les accessits
sur la partie comme les pitot malgré les
confusions ça ça fait c'est pas
suffisant
moi je reste prudent après sur les
partis et fleuri toute l'année par
rapport aux réglementations
là
par rapport aux applications nécessitant
un père de floraison mais il y en a des
fleurs toute l'année grosso modo et sa
flore et où toute la saison va dire non
pour ça moi je reste plutôt prudent et
ses devoirs des plantes c'est que
l'iphone un job un certain temps mais
après il faut pas que sans l'effet
inverse que nous pénalise que passer si
on rate un traitement insecticide ça
peut être préjudiciable quoi son port
depuis sa deuxième fille mais on peut
avoir aussi des dégâts dépit de quoi on
est confuse et en effet un défilé de
carpeaux quand même mais on s'est aperçu
que les années où c'est qu'on avait levé
la lever le pied sur la partie
insecticides et carpeaux il va tout
régler le problème est là les tornades
sont arrivés à grands pas avec des
dégâts de
nous rappellent par se dégrader au moins
entre 20 et 30 tonnes ha qu'on a laissés
au sol quoi donc ses lacets des piqûres
de rappel il faut pas me faire trop
souvent moi mon idée je vois plutôt à ce
niveau là après peut-être que dans
quelques années quand le système il sera
bien en place que ça fonctionnera on
pourra rajouter des espèces augmenter la
part de floraison mais prend fin il faut
rester calme je pense est même question
nous aussi on a un joueur jeune campagne
à la haye des dégâts importants sur des
jeunes bergers sur ça que je suis assez
prudents sur les années 90 sur le râle
je crois pas trop je crois qu'on aura
des problèmes
malheureusement donc ça que nous a parlé
du mélilot mais bon les essais qui a eu
de fait sont pas l'air tellement
efficace par rapport à fait que ça
repousse campagnols quand ça se
décompose donc donc ça a été testée mais
pressée par une piste très prometteuse
bon après les problèmes kaunas et sur
les variétés tardives des problèmes de
structure de soldes ornières ça c'est
très important chez nous et c'est que
rohff boucher ornières refaire à
l'énervement c'est pas simple les
solutions on les voit pas trop on a
testé de mettre en place des meules jeu
pour essayer d'améliorer la portance
réduire un peu les ornières c'est une
des pistes travail mais bon ça ne
demande la manutention de volumes de
produits importants donc ça nous coûte
important que ça soit vraiment efficace
sinon c'est pas la peine
après on a quelques petits problèmes et
qu'ils vont être résolus la de
préparation les composent comme je vous
disais là il faut que le bon compromis
entre avoir un produit qui soit
débarrassée des déchets plastiques qui
soit a misé donc mais qui comporte pas
mais qui soit suffisamment digestible
donc il va falloir au niveau de la
technologie de broyage des déchets verts
et 2
le compostage mettre au point quelques
outils non mais on y travaille avec les
plateformes de compostage part ça
devrait se résoudre
et après après nos interrogations sont
souvent sur
justement l'effet réel de la vie du sol
sur l'alimentation phospho potassique
est ce que on peut faire l'impasse
vraiment sur les fausses or la potasse
comme on peut le voir sur certaines
parcelles on l'a essayé ça a l'air de
marcher mais est-ce que c'est durable
un temps voilà donc
donc ça c'est des interrogations de son
plan agronomique qu'on ne peut pas lever
nous à court terme et ce qu'on n'a pas
les moyens de recherche mais je pense
qu'apple allait la recherche serait
intéressant de voir qu'on peut aller
dans l'activation du phosphore la
potasse bloqués dans le sol pour
qu'elles soient mises à disposition des
plantes avec une vie microbienne et
bactériennes plus importante dans le sol
donc ça c'est que ça et ça ne fonctionne
ce plan théorique mais on aimerait
pouvoir le traduire en termes de conseil
serait plan de fumure dire bah voilà
vous pouvez le taux de matière organique
et du l'activité biologique du sol qu'on
peut mesurer à travers les méthodes de
l'oratoire sélestat par exemple on peut
faire relativement l'impasse sur une
fausse note acidulée stocks
ça c'est des questions qui nous
intéresse au niveau conseils pratiques
aux producteurs interne le conseil de
fumure voilà ça c'est après ya tout un
travail qui est fait par les collègues
aussi c'est la mise au point des
mélanges qui sont l'adaptant nos régions
compte tenu des contraintes climatiques
des contraintes pédologiques et c'est
vrai que là aussi à des changements à
faire c
fondamentaux jusqu'à maintenant on
faisait pas mal de goutte-à-goutte quand
on installer des jeunes bergers
là on est en train de dire ben non il
faut faire du la micro aspersion parce
que si on va avoir une biomasse vivante
un été qui pousse vers le goutte à
goutte c'est pas suffisant il faut
pouvoir arroser l'ensemble la surface du
verger en souffrent des ombres pas
provoquer des problèmes de tavelure est
donc là ça pose d'autres problèmes parce
qu'on a souvent des systèmes de micro
aspersion qui se bouche
donc faut arriver à trouver un matériel
pendulaires qui arrose l'ensemble la
surface du verger mais qui ne se bouge
pas donc là il ya des matériels a trouvé
là en train de tester différents outils
ça c'est quand même un aspect
conséquente de déchargement de
techniques et qui est important aussi la
mise au point des systèmes d'irrigation
efficace par rapport aux objectifs que
l'on poursuit et puis après il ya toute
la mise au point d'un mélange efficace
ça c'est des tests agronomique à venir
on a commencé voilà donc on a cette
année un stagiaire qui a travaillé six
mois sur ces sujets là mais c'est du
suivi on va mesurer la zone disponible à
social au phosphore laporta disponibles
différents teams d'essai pour aussi de
se faire des références qui nous
permettrons d'un de mieux piloter la le
conseil en fertilisation si donc c'est
un peu toutes les problématiques
aujourd'hui soulever ces questions enfin
ce qui nous intéresse c'est quand on
revient l'agronomie parce que pendant
des années on a parlé que pesticides
résidus ras-le-bol
revenir dans l'agronomie ça nous fait
plaisir et je crois que les agriculteurs
ont donc donc on arrive à peu près à la
mi temps de cette cette conférence ça
veut dire que c'est maintenant vous qui
allez entrer sur sur le terrain le temps
de laisser à la première question le le
temps de ceux de se préparer
moi je vais vous poser une peut-être une
dernière question plus prospective ce
matin on a vu que sur cette notion de
sol il fallait qu'on raisonne système il
fallait qu'on passe notre temps la vie
sous terre on a vu quelques photos on a
vu quelques systèmes qui était bien
organisée et cet après midi on a vu que
l'entrée pragmatique d'un producteur
c'est finalement face à mes couverts
végétaux je veux qu'une certaines
fonctionnalités
je fais ça parce que je veux de la
portance je veux résoudre les problèmes
de bio agresseurs
donc ma question c'est finalement vous
est ce que vous êtes vous a vu cette
entrée vous avez mis ce système en place
et par rapport à ce que nous a montré ce
matin est ce que vous avez observé ces
effets bénéfiques sous terre parce que
c'est vrai que l'argonaute plutôt
tendance à regarder à l'extérieur on va
les cueillir les fruits ramasser des
fruits faire passer les tracteurs au
dessus est ce que le ses effets
bénéfiques par exemple l'augmentation
des matières organiques sur la réserve
en eau sur ces fluctuations sur la
qualité des fruits on a vu ce matin
quelques illustrations sur le bénéfique
bénéfices potentiels par rapport à la
conservation pour ceux qui sont en prune
est ce que même si vous avez mis ses
systèmes en place avec un objectif qui
pouvait être autre vous avez vu des
effets bénéfiques autres
comme ceux que je viens de citer par
exemple est question la suite maintenant
comment vous comptez poursuivre sur
cette thématique
parce que je pense que s'il ya des
effets bénéfiques ça donne envie de
continuer je propose qu'on repasse qu'on
fasse le retour le temps que vous
prépariez vos questions comme je disais
tout à l'heure au niveau de la mise à
disposition du phosphore la potasse
c'est vrai qu'on a pu faire des tests
sur la même parcelle avec des apports de
matière organique et sans et sur les
zones où on a fait des apports en
matières organiques plus important on a
des teneur en phosphore et potasse de
soude dans la solution du sol plus
importante donc on voit qu'il ya bien
bien un effet de la vie microbienne sur
la mise à disposition des éléments
minéraux pour les plantes donc là ça on
a pu le mesurer tous les mois on a fait
des suivis on voit bien qu'un effet très
net
ga des producteurs qui feront l'impasse
sur le phosphore potassique depuis
plusieurs années parce qu'ils ont des
stocks importants dans le sol
et là aussi quand on fait des analyses
de feuilles ou de rameau on voit pas de
carence fosso potassique danseurs de
montrer qu'effectivement on peut très
bien compensé le moindre apport en
fertilisation par une meilleure
activation du sol donc ça ça fonctionne
bien quoi donc voilà on peut les comme
ça à court terme chiffrables qu'on peut
donner quoi et soit dynamique dans votre
secteur du coup vous restez sur les
mêmes surfaces et aux producteurs de
plus en plus de producteurs souhaitent
aller vers ces systèmes on va porter la
matière organique et ce qui est sûr
c'est qu'en termes de conseils de plan
de fumure on a complètement revu les
choses et donc de manière assez générale
on a réduit les importants
et ce qui est bien en termes de
financiers énergétiques pour les gaz à
effet de serre c'est vrai que j avais
déchiffrage de laquelle était fait si on
continue le modèle actuel de
d'épuisement des ressources de phosphore
on peut arriver très vite à une limite
c'est à dire que le modèle classique de
fonctionnement de prélèvement de
phosphore pour faire trembler posté par
exemple bas à l'horizon d'ici 50 ans on
peut arriver à des limites assez rapide
de quoi dire que si on ne change pas de
modèle agronomique en en deuxième place
en termes de ressources quoi c'est à
dire que pour 10 milliards d'habitants
il ya 151 ans et de phosphore
disponibles dans les mines phosphates et
comme par exemple donc ça veut dire que
si on revoit pas un peu la technique de
production
on peut vite arriver d épuisement de
ressources à vide qui pour l'instant
apparaissent abandon mais qui peuvent
vite devenir
mythe hâtive quoi et en termes
énergétiques aussi c'est pareil quand on
regarde le bilan énergétique de
l'agriculture intensive on se retrouve
souvent dans des situations où les cas
lire les calories produites
correspondent à peu près aux calories
qu'on a introduit dans le système sous
forme d'engrais de pesticides
donc c'est ça il n'aime pas se sont
plaints énergétique aussi donc le
rendement énergétique de l'agriculture
productiviste il est de plus en plus
dégradées sélection revoit pas le modèle
c'est pas cohérent par rapport à des
recherches de réduction du co2
d'économie des énergies fossiles donc là
on est aussi obligé en termes culturels
de revoir un peu nos pratiques parce que
de toute façon c'est pas vrai que
l'agriculture intensive assure une
efficacité énergétique satisfaisante
quoi et ça parfois on oublie mais ces
travaux de pimentel ya très longtemps de
jean roger mercier des trucs on oublie
mais c'est vrai que le rendement
énergétique de l'agriculture pour
d'utiliser les pas terrible donc il faut
bien revoir aussi ces choses-là de saint
jérôme la même approche sont les effets
bénéfiques aux autres que tu pourrais
nous nous citer et quelles dynamiques
d'avenir sur par rapport à jouer a
ajouté rama n'y a pas de ce petit point
par rapport aux structures du sol et
compaction l'énergie
et les ornières va cette année quand
même récolté pendant deux mois sous la
pluie on a pris plus quasiment 400 mm je
crois qu'il ya un peu un jour sur deux
ou autre jour sur 4 mai suivant les
systèmes d'exploitation et les
exploitations mais il ya des vergers qui
sont complètement défoncée et d'autres
comme chez nous c'est que c'est même
plus que correct virait on est passé
mais n'a pas dit on à pas abîmer nos
structures
et ça ça c'est très important et si la
vie du sol et l'entretien de ce verger
qui est important et si les cultures
inscrit le seul essai de culture
l'entretiennent session circulent tueur
qu'il faut avoir tout au long du cycle
des vergers des la plantation il ya du
profilage des comporte beaucoup la
première année avant de mettre en place
entre premier enherbement ont fait ça
petits oignons presse comme des légumes
et après les philosophies aussi l'ajout
du trafic sur l'exploitation des
équipements et des galères où les roues
moi je sais très très important
l'hérault alors toutes les roues qui
roulent les plateformes tracteur
atomiseur nous on n'achète jamais à part
les tracteurs équipés mais atomiseur on
achète ça on achète nos roues et on les
multiplie pas qu'on a on n'a pas deux
essieux et après l'autre chose c'est
qu'on ne passe pas pour passer un hiver
mais si c'est pas beau qui rien que rien
d'urgent me reste deux hommes c'est
facile à lire dans les bois de taille ça
nous arrive ne touche janvier tout
février n'a pas tout à fait dans cette
fin de semaine dernière c'était faisable
mais il y en a t on l'a arrêté en avant
le chauffeur m'a dit tu rentres et ça me
va nous permet d'avoir des vergers
prendra les traits polonia la récolte
par bonheur on récolte plateforme d'ong
plateforme c'est pareil sont arrivés
sont les roues d'origine en a fait une
pile on les a renvoyés les pales ans que
c'est pareil on va on est
on va pas faire les trains des trajets
pour rien dans les allées on attend
qu'il sorte qu'ils aient trois pôles oxp
en retour les prendre tous les trois
d'un coup et on l'est on les amène à
destination où on essaye circuler même
possible surtout en période pluvieuse
on va pas distribué par l'osce biddh un
jour de pluie on regarde la météo si on
s'appelle anticipé à la veille de la
période romane distribués pour trois
jours de récolte ou quatre ans c'est
tous ces pays et ainsi vous permet
d'avoir un verger qui est requis je
pourrais dire de très propre malgré
qu'on a des ternes à tout lecteur des
boulbènes intérêts millions ont été de
l'argile
c'est pas et ça il y à aussi voilà cette
année revenant c'est une structure du
sol qui contribuent au drainage ce après
l'effet bénéfique des couverts par
rapport aux soins demont avait fait
beaucoup de profil de sol sera parti
céréalière s'est aperçu que b -
travailler le sol mais mieux ça allait
de se comporter des sols dégradés mais
ça arrive à ce rejet de se régénérer
doucement mais ça venait sans forcément
sortir la charrue au contraire donc on
n'a pas d'argent n'a pas fait de profil
on en a fait cammas et en céréales je me
doute un peu de ce qui se passe de sous
quand même avec les pratiques aux mêmes
places voilà ce que je peux rajouter par
rapport à l'importance parce que c'est m
si le verger de pommiers suis pas qu'on
avait passé dans les rangs mais on va
passer au moins une 40e fois facile dans
la saison entre 40 50 faut il penser de
l'intérieur
donc si le si la structure la pologne le
matériel de repos ni mes quarante fois
vous décidez de trois centimètres ce que
fois je suis jeune 10 3 cm à la fin où
les tracteurs et touche et puis après
ces dernières c'est de la main d'or pour
restructurer ils se tiennent pas
forcément ce qu'on fait si tu toi donc
ça c'est pourtant je trouve que beaucoup
de producteurs qui le prennent pas
conscience de culture dans des passages
et des chemines nous ça nous arrive sur
ce mais avant d'avoir celui diverger
mais les tournières ne fait que récolter
les pommes qu'on a roulé qu'on a écrasé
un même que ce soit sec que ça ne lui
arrivait de prendre seul recevoir à
céréales cemea taux est de te faire tous
les travers de chants toutes les allées
partout il pouvait passer en passer pour
sûr se met à entretenir
pourquoi est ce que je voulais rajouter
et par rapport aux fruits est ce qu'il
ya des observations pas sûr qualité
coloration éclatement non non non il
n'ya que ce qu'on sait que ses connexes
et les ligueurs va nous pénaliser la
peau et comme tout le monde
mais après une faiblesse de vigueur
aussi nous sommes le développement de
leur trajectoire et le calibre donc il
faut un équilibre et un pommeau
importations vers la libération de
l'azoté et par rapport à la saison
passée c'est trop tardive et on va faire
va faire du bois et en terre de l'accord
aux voix il faut c'est là que le choix
des espèces est aussi important parce
que quelque part il va être détruit quel
prix restituer tous acea a creusé un
coup d'essai de mesures de
cette règle aux galères et ce n'est pas
un travail sur nar c'est ce qu'on a
c'est qu'on prend ce but sur cet aspect
là de maîtrise pas la minéralisation en
était à se demander ça vaudrait pas le
coup d'apporter du compost en était la
tardive pour absorber l'excédent a créé
une feinte d'azoté artificiellement
comme aussi de rééquilibrer parce que
c'est que l'excès d'azoté en fin de
saison ça pose problème est justement le
fait d'apporter un compost immature ça
permettrait peut-être d'absorber cet
excellent azote parce que la
minéralisation là ont la maîtrise par et
des fois on arrive à des 100 unités
équivalent hectares de manière brutale à
partir du mois du jeune assassin mal
comme on arrose et peut-être y aurait
une piste là de travail en irait tout en
disant j'ai passé la parole à christian
côté des futurs défis futurs idée du
cannabis sous les péchés je rêvais pas
beaucoup moins que je veux dire
travaille beaucoup si en matière sèche
du fruit en bio là le calibre est pas le
cas les voeux n'est pas un critère très
important entre le lc le prix n'est pas
donc il n'y a pas besoin de faire quand
je dis souvent en bio les consommateurs
bio est tout ce qui est petit est mignon
tout ce qui est grande ou tués voilà
donc une vision de la micro sommateurs a
moins besoin de faire les ont fait un
matériau sain si on veut dire une
estrade et de stress hydrique
voilà on essaye de doses à la
conservation qui est un critère
important pour nous parce que des fruits
qui sont vendus cher de ne pas décevoir
le consommateur quand il a quelques
frissons dans sa panière à
soit comme l'origine et ouais il faut
que ce produit se concevoir un certain
temps voilà on a investi beaucoup dans
la bc de thermothérapie d'ailleurs là la
conservation après récolte on est chaude
un peu les fruits pour enlever le mot ni
d'al aqsa et fruges et là ça nous permet
de contenter un pouls du consommateur
puisque n'a pas d'outil niveau du puits
seront faits un encadrement aussi
floraison avec de l'argile fait comme un
sésame ont peint bouton ronge et je suis
des pétales ça nous permet de limiter la
cité fait normal mais ça gèle ça lui
enlève la vision de la couleur quoi
déranger par la couleur et salue
gratouille de ventre ou quoi puis seront
change 2 vasques parce que l'acacia ou
le copier moi un peu les pistes qu'on
travaille déjà
mais la piste majeure c'est le bilan
carbone trouvé la solution pour pouvoir
couvrir ce que ces 5 cm au total sa le
faire systématiquement il est tout le
temps mais voilà un peu et abaisser
encore les intrants
on va finir par sébastien ouais donc sur
les points positifs qu'on peut observer
avec les pratiques qui sont mises en
place depuis plusieurs années sur les
parcelles qui avait in qui avait fait un
vin qui avait été déclencheur de la
prise de conscience et une quinzaine
d'années avec des mauvaises racisme en
hydro monfils ce genre de choses là
globalement depuis quelques années ça se
passe beaucoup mieux
c'est à dire que l'odeur plus sur le
terrain il ya une meilleure infiltration
donc on fait des profils poursuivre
l'enracinement des pommiers on voit que
ça évolue c'est à dire que les zones qui
étaient qui empêchait le système
racinaire de descente des zones compact
et à 40 50 cm sont traversés donc les
pommiers descendez un enracinement qui
se développe jusqu'à un mètre cinquante
de m et donc ça on pense que ça nous
apporte de la résilience pour faire face
aux aléas climatiques notamment les gros
coup de chaud et les périodes de
sécheresse ce genre de choses donc on a
gagné sur sa sur certaines parcelles
c'est pareil on a beaucoup développé les
teneurs en matières organiques nous
semble qu'on voit une moindre
sensibilité à certaines maladies du bois
comme le chancre sur variétés sensibles
donc on croise les doigts parce que
après l'automne qu'on vient de vivre ce
sera au printemps
tout est remis en cause mais depuis
quelques années on voyait de moins en
moins de deux problèmes de chancre sur
certaines parcelles qui historiquement
était a été très chaud en creuse et puis
bah après donc là on sent un petit peu
du solde avec toutes ces pratiques qui
stimule aussi la biodiversité mais on
voit que on a des phénomènes de
régulation qui se met en place dans les
vergers lors le puceron cendré c'est
compliqué parce qu'il veut s'installer
tôt mais après floraison après floraison
très vite on peut avoir des
dérégulations par les prédateurs
puisqu'on a niger on n'est plus très
embêté les appareils et les acariens et
traitements acaricides eux sont vraiment
beaucoup réduit encore cette année sur
certains foyers ont
on a fait le choix on en traite la
moitié on traite pas l'autre et puis bal
et de méthode a été les bonnes donc il
ya ce genre de phénomène qui se met en
place
c'est difficilement quantifiable on peut
pas dire que la fnt prochaine ça va se
comporter de la même manière parce qu'il
ya toute la climatologie qui est qui
rentrent en compte dans le cycle des
ravageurs prédateur mais c'est le genre
de d'observation qu'on fait ce qui est
clair c'est que sur l'enracinement des
vergers il ya un lien n'a été fait avec
amélioration de la porosité donc le
système racinaire est pas en situation
en aérobie peut descendre et donc de
fait on est meilleure résilience des
vergers au moins pour la ressource
hydrique quoi et sur la dynamique que du
coup c'est nous avait stabilisé sur ces
systèmes pour bien les maîtriser
ou c'est quelque chose que vous allez
reproduire de plus en plus sur toute
l'exploitation voire six mâts de
systématiser sur les deux piliers que
soit le sol ou la biodiversité en verger
depuis quelques années on l'étend à
l'ensemble des producteurs de pommes
évasion donc certains avancent très très
vite sur le sol ils vont mettre en place
des choses pour améliorer le statut
organique du sol pour améliorer
structure du sol parce que ils ont ça
dont on ne puis sont hyper motivés par
ces questions là il y en a d'autres qui
sont plus motivés par la biodiversité
donc ils vont mettre en place des semis
ce genre de choses et puis l'idée c'est
de de bénéficier de cette dynamique de
groupe c'est-à-dire d'apporter à ceux
qui sont plus branchés par la
biodiversité ce que les autres ont
découvert sur le sol et puis d'apporter
à ceux qui sont plus branchés sur le sol
ce que les autres ont découvert sur la
biodiversité coiffe à ccc créer
maintenir cette émulation entre les
producteurs pour pour continuer en fait
le cap il est tracée depuis quelques
années donc on le suit quoi merci
alors comme
prévu la parole est à la salle je pense
que ce dernier tour de table a soulevé
quelques pistes c'était volontaire
j'ai une question juste en face merci
vous avez léger remis les les noms
prénoms si vous avez pas pensé n'est
plus merci beaucoup donc sébastien
roméro ce cofondateur et président du
centre de développement de l'agro
écologie on a plus en plus de demandes
effectivement en arboriculture pour
passer sur ce type de pratiques j'aurais
aimé que vous puissiez commenter
voilà le micro irrigation versus
goutte-à-goutte avantages qu'on traîne
possibilité faisabilité et un regard
aussi d'un traitement sur le rang voilà
qui donne le plus optimal en matière de
cycle du carbone et on dira deuxième
partie de la question c'est est-ce que
des pratiques de mulching vous y avez
pensé c'est des choses sur lesquelles
vous travaillez c'est à dire on va pas
forcément mettre un coup vers vivants
on va travailler sur du mulching de
matières organiques diverses et qu'est
ce que vous en pensez
merci donc pour répondre sur les
techniques d'irrigation micro aspersion
au goutte à goutte
en fait la principale contrainte c'est
l'accès à la ressource en eau c'est bien
que parfois les producteurs sont obligés
de mettre en place du goutte à goutte
parce qu'ils n'ont pas plus de
ressources en eau pour pouvoir mettre en
place de micro inspiration de
l'aspersion donc c'est essentiellement
la contrainte après la gestion du rang
et le mulch âge
on y réfléchit on a fait des essais donc
l'idée c'est de broyer le couvert qu'on
a pu mettre en place dans l'intérêt et
de l'évacuer sur le rang de ce fait on a
une couverture du sol qui est morte mais
c'est une couverture du sol organique
qui va permettre de tempérer les monter
en température du sol superficiellement
donc maintenir le système racinaire dans
un état de fonctionnement plus adéquat
donc c'est des pratiques que l'on teste
on a testé également sur un verger
expérimental sur jeunes plantations un
apport massif de brf sur le rang de
plantation ce printemps ce qui était
notable c'est que là on a mis le brf par
rapport aux autres rang qui était
désherber conventionnellement
chimiquement même où on a mis le brfk
étaient désarmés
tout ça pour dire que toutes choses
égales par ailleurs là on avait une
couverture du soleil du brf on a une
croissance la première année deux fois
plus importante que là où il ya pas eu
de brf
parce que là où il ya peu et de brf il y
avait un sol nu avec les températures
extrêmes qu'on a connu cet été des
jeunes arbres qui viennent d'être
plantés un enracinement de fête
superficiel on peut imaginer que la
tempère du jeu la température du sol est
montée très fort donc ça les a pénalisés
dans leur croissance
c'est clair donc voilà dans le peu
d'expérience qu'on a sur ce sujet
oui et juste par rapport au
développement racinaire de l'arbre entre
la façon dont la racine de larmes à se
conformer quand on a du goutte à goutte
et la façon dont cela se conformer avec
la micro irrigation d'être des
différences de deux tracés racinaire est
ce que ça implique en matière de gestion
pour ce qui peut avoir du recul
là-dessus biture pour comparer juste
pour comparer des profils de soldes chez
différents producteurs donc le
goutte-à-goutte va avoir une influence
en concentrant les racines au niveau du
bulbe mais malgré tout si l'on met en
place les pratiques mais que maurice
création de d2 l'un des ténors matière
organique ou ce genre de choses
les arbres présente un enracinement qui
est globalement satisfaisant on fait un
profil de sol à 40 cm c'est pas
forcément évident de voir si ces deux-là
smeers ion ou du coup tu as good
il ya d'autres freins structurels ou ce
genre de choses qui peuvent affecter le
système racinaire plus que la manière
d'apporter de l'eau je pense nous note
une vingtaine de profil culturel à cette
année là jusqu'à un mètre cinquante de
profondeur et puis de travers dans un
terrain donc ça permet de bien voir le
volume explorées par les racines
c'est vrai qu'entre le goutte à goutte
et la micro aspersion souffrent des ans
on a deux profils racinaire un très
différents coins c'est un autre le
goutte-à-goutte bah oui que me disait
c'est la science est concentré autour du
bugue au pied durant alors le système
de me croiser personne un système
racinaire plus étalé en surface surtout
rien un petit peu à mon bonheur
donc ça veut dire que le 1er août ajoute
c'est que c'est beaucoup plus sensible
aux pannes des cas une panne dans le
système il est peut résilier à quoi tout
de suite tu un stress qui est que nous
on le voit bien parce que on fait des
suivis de grossissement de fruits là
pour justement piloter l'irrigation avec
des mesures devant drôme et rila sur le
tronc des arbres le moindre panne tout
de suite sur le goutte-à-goutte tac on
est pénalisé à moi aussi son dufry quoi
donc sur les systèmes racinaires mieux
implanté avec un volume plus important
il ya un amortissement du système qui
est plus que plus importante qu'elle ait
eu des pannes de systèmes d'irrigation
ne l'ont la bienvenue ça le système
d'irrigation goutte à damas une région
où il fait très sec où il le peut de
beaucoup mais peu de racines et m'en
être plus large sur un micro g puisque
il va de 35 cm de côté en centimètres de
l'autre un plus de la chaleur humidité
et aération et la transformation par
roland dire que le travail du sol autour
de l'arbre avec le compost la chaleur et
l'humidité permet une transformation
plus rapide du compost grossier et les
mains similaires ne sont plus faciles à
moi pardon à ma région et ma façon s'il
pleut jacob trois jours moi si j'ai
moins le micro g est indispensable pour
maaf façons culturales et je vois que
les racistes ou développent salon gevrey
et d'autres aspects qu'on oublie souvent
ces questions ne me dîtes et de l'herbe
à ce qu'on peut voir le sol suffisamment
humide on a des variétés comme par
exemple les rennais
dès que la teinte la nuit' leur est trop
faible on a des chutes importantes de
fruits on s'est rendu compte que lé
système micro aspersion on a maintenu
les nerfs de nos intérêts mais ont
maintenu aussi le meilleur humidité de
l'air parce que nous on a des fois
mittler à l'émeute andrea 25% agacement
l'a6 et près de la récolte je peux vous
dire allez reinette elle tombe à quoi
chute un ace et pallier au manque d'eau
dans le sol qui en a suffisamment parce
qu'on pilote avec des tensio des sondes
capacitives donc on sait qui est menacée
mais c'est le problème d'humidité de
l'air dont je pense que ça joue aussi
voilà quoi le système d'irrigation et sa
baisse la température donc je pense ça
ça peut jouer sur les coups de soleil
sur sur d'autres accidents climatiques
c'est ça l'intérêt multiples chances
contre l'assèchement de l'ère où nos
filières à nous est très très bénéfique
ou là un vin c'est la tramontane qui
soufflent 165 jours par an qui assèche
un peu de maladies cryptogamiques quoi
donner c'est un atout important pour les
maladies clock monilia etc on est rare
département avoir cette condition
climatique les problématiques sont
différentes
nous sommes au milieu de fruits tout ça
c'est surtout ces traitements bio
informations assez proche de la récolte
ça n'a tout est très important vous a
confié d'une pêche d'une qualité
gustative pêche qui a une renommée
d'autres questions dans la salle bonjour
jean phlippe rouvier du gers état de
base durance je voudrais juste revenir
sur les aspects minéralisation de la zot
parce que c'est quelque chose qu'on
maîtrise peut-être le moins dans ses
aspects travail avec le sol et la
matière organique
donc dans nos essais à nous on a des cas
où la la la machine s'emballe un petit
peu notamment en fin de saison et on a
des problèmes de mise en réserve de colo
de vigueur
et c'est cet aspect là qu'on a du mal à
maîtriser et qui est peut-être un aspect
très important pour pouvoir mieux
travailler la matière organique avoir
une idée de la cinétique de libération
et pouvoir réagir et avoir des méthodes
de de contrôle de cette minéralisation
par rapport aux apports de matière
organique stable
c'est peut-être une piste mais on sait
que quand on amène de la matière
organique stable et qu'il y a de la zot
le facteur limitant sa devient souvent
l'oxygène et l'oxygène le manque
d'oxygène peut aussi nuire aux racines
et c'est quelque chose qu'on a du mal à
maîtriser tous à ox et c'est important
de d'essayer de travailler au moins sur
ces aspects là c'est pour ça que je
resterai là dessus j'ai pas de réponse
je sais des choses qu'il faudrait que
travailler je sais pas si
vous l'avez suivi de près être georges
plus qui a fait la présentation des vues
sur les nous c'est pas trop la matière
organique stable d'intérêt pour gérer la
l'excès d'azoté c'est plutôt que des
rapports c'est sur un élevées à des
produits peut composter qui vont créer
une véranda santé qui font justement
tombé
l'excédent autres qu'on obtienne façon
un conte mais triste parce que la
minéralisation elle elle correspond pas
la minéralisation théorique les
quotidiens cas de l'aca ça correspond
pas du tout à ça c'est effectivement tu
peux avoir des extrusions la zot je
maîtrise pas et à part de faire des
manifs comme celle que j'ai dit que je
vois pas trop comment on peut faire pour
maîtriser la zone dans des seaux riche
en matière organique et profonds comme
la nano secteur
c'est effectivement intéressant a essayé
mais bon on a eu des cas où où
effectivement en amenant cette matière
organique et en ayant une forte activité
du sol
les microorganismes du sol en trop
consommer d'oxygène et il ya une
asphyxie racinaire donc ça veut dire que
derrière il faut aussi accompagner avec
enfin il ya toute une série de deux
réactions en chaîne et on pense pas
toujours à tous etc
c'est difficile à appréhender il faut
qu'une bonne morosité même dame ceux ci
n'ont objectivement on travaille à mais
l'amateur organique du déchet vert c'est
l'inconnu
oui on travaille en est connue est ce
que c'est de ne pas les puces du gazon
de lauriers roses du cyprès il ya
tellement de facteurs qui rentrent en
compte que ce difficile de maîtriser une
matière organique qui est de différentes
origines l'opposition l'insecte après la
cueillette on peut dire c'est qu'en
octobre
parce qu'il fait encore chaud il ya là
mais on pouvait de la zone n'est pas
tant la mer il est captée par c'est la
seule solution voilà d'économie au
printemps au uk on est gourmand en azote
c'est la passion des retraites enfin la
zone
on a de la matière compost le jeu je
travaille les dificits à salé vrai mais
c'est ça va être
mais c'est vrai que ça qui est
intéressant à être surpris des fois on
veut pas des composts trop faim on veut
qu'elle ait eu beau résister
dallaire concerneront pas du 20 mm en
compost immature pour le dut 40 ou du 80
mm ça nous suit d'argent section sinon
allez prenez sfic si on veut quand même
profil le produit assez précis quoi des
fois on aime bien que ce reproductive
aussi mais c'était une déformation
professionnelle
je vais prendre la question rouge avant
la jaune bien bonjour non michel
bataille je suis vigneron à côté de
béziers et c'est plus un retour
d'expérience je veux faire qui conforte
un peu ce qui a été dit que les
questions dont je fais de l'enherbement
sur la totalité des exploitations dont
une quarantaine d'hectares depuis cinq
ans maintenant avec une partie qui est
en pleine submersible kentron de ce
super g il a tout de suite avec l'aude
qui déborde donc sur lesquels on ne peut
faire que du permanent avec des gazons
et là je suis en train d'essayer du
trèfle fraises notamment et donc avec un
objectif d'importance
bien sûr puisque moi ça m'est arrivé de
faire les traitements avec 20 cm d'eau
donc obligé mais je suis passé avec
tracteur alors que mes collègues ils ont
ici à me faire en barque à pied mais
c'est pas non mais c'est authentique
pour essayer de rivaliser avec christian
qui est bien meilleur qu'au moment là
dessus donc cette partie là mais par
contre on ne peut faire qu'un rang sur
deux parce que
les graminées sur vigne ses vignes sont
plantées de 50 sont trop concurrentiel
en effet les essais à la chambre et une
vingtaine d'années mon la fétuque élevée
c'est une catastrophe ou policiers
plutôt essentiellement du riz gras et de
la fétuque ou rouges sur le reste qui
est en photo avec un peu de pente donc
je fais l'enherbement
temporaire que je sème après les
vendanges avec plus ou moins de succès
puisque il faut attendre qui pleuvent
toute la difficulté
donc certains espèces se s'en sortent
mieux c'est le cas la féverole grosse
graine on peut la somme est donc là
c'est ça marche à tous les coups
donc moi je fais tous les rangs et se
fait un rang sur deux avec un mélange et
l'autre rang avec l'eau de mélange donc
un mélange qui marche bien c'est
féveroles avoine et gestes dans des
grosses graines qui donc ça ça sort et
ça finit à 80 cm s'il a plus un peu ce
sera le cas cette année
et puis un autre puisque j'ai un semoir
semis direct mais avec une seule trémie
donc je peux pas semer à deux
profondeurs différentes et le reste des
grains de plus petites avec des
crucifères donc des radis fourrager de
la navette
les trois sortes de weis du fenugrec et
c'est donc pour différencier donc les
dangers et à une rangée dans lequel on
met les sarments que je broie et que
j'incorpore et puis une que je roule ils
ont pour essayer là aussi bien qu'on n'a
pas de mesurer en viticulture c'est un
peu mou vaut donc on n'a pas eu encore
beaucoup d'accompagnement
on pourrait essayer de gérer à la fois
d'une part la fin d'azoté au printemps
et d'autre part de ne pas avoir un excès
d'azoté
plus tard mais on n'a pas la même
problématique quand même que canard
bohain puisque on n'a pas le prendre de
la couleur qui a aussi marqué et ces
voix là mais moi ce que je constate
depuis c'est un que je passe pour un
original et donc je suis pas aussi
optimiste de denis carretier il a dit ce
matin - il va venir chez moi on voit
comment ça se passe mais moi j'ai pro g
oui oui oui mais quand j'étais plus
jeune oui maintenant bon c'est plus
difficile mais donc moi je constate une
très nette amélioration de la macro
porosité j'ai de très bons rendements et
je les compare à ceux de la coopérative
donc je vois que petit à petit je monte
et là par exemple cette année on a pris
2 160 mm parce que qu'on à l'épée aux
mondiaux à xiii ne voit 15 c'est la
seule différence
moi j'avais semé savait pas encore
beaucoup poussé mais j'ai pas eu trop
des galères d'érosion mes collègues ils
sont qui sont pas chasseur après les
vendanges et sa mère dit la bourre tout
quoi et tout va la rivière c'est
catastrophique et on a des taux de
matière organique qui se situe autour de
1 1 2% quoi et donc là dans les
vaisseaux qui s'appauvrissent et si on
ne change pas de paradigme rapidement on
va vers des graves problèmes en matière
de fertilité
alors on a développé le goutte à goutte
depuis quelques années donc les gens
compense en partie par ça mais c'est pas
suffisant parce qu'on a une vie des sols
biologique qui est catastrophique
voilà après donc
je crois que la représentante en région
est parti mais il est important que dans
les orientations futures
on intègre bien ça l'histoire de la
micro aspersion est vraiment une
question qu'on se pose aussi en
viticulture moi j'ai du goutte à goutte
enterré au milieu et du goutte-à-goutte
suspendu on a un bien meilleur
enracinement sur le goutte à goutte
enterré au mieux mais ça je le fais j'ai
fait deux fausses mais il faisait devait
faire des essais puis sont venus les
financements mais c'est important de le
voir aussi et puis surtout mais pas
d'eau éventuelle de la haute soule oran
qui est toujours l'endroit compliqué
pour enlever le l'herbe est donc là je
vais travailler sur cette année sur fond
de double se mit donc avec un semis au
printemps avec le risque que si peu pas
des jours et jeter les graines et puis
je veux travailler aussi sur
l'énervement sous le rang avec plus de
difficultés pour l'instant je suis en
chimie qu'en tant que la libye faisant
tu es j'ai mis des intercepts depuis
deux ans pour préparer mes itinéraires
techniques par rapport à sa voix mais
moi je suis très satisfait de cette
technique lacoin vraiment par contre
c'est vrai qu'on aimerait être
accompagnés pour avoir des mesures parce
que là c'est un peu empirique que ce que
j'ai dit mais je voudrais avoir des
mesures en disant oui on a pris deux
points d'un 0 2 point en matière
organique s'est pour l'instant on n'a
pas cet inconvénient
donc je suis heureux d'avoir été invité
avec mes collègues arbaud parce que la
vigne finances et de l'arboriculture de
raisin est ce que vous voulez réagir à
cette intervention
parce que j'ai une question de mon
préparation tardive alors ils assez
important a dit voyez quelqu'un qui
roule à terre ça ne m'a pas où il a des
résultats ou c'est vrai que la vie n'est
fait un peu salée mais si une salle tes
propres pourquoi voilà et après les gens
discutent entre eux autour de famille
autour d'un verre de rouge ils disent là
il a fait ça pour qu'il ya des résultats
c'est long c'est très long mais c'est
très long de faire comprendre aux autres
s'est il faut du temps et ça ça coûte
cher
question jaune
du coup mais du coup moi j'avais une
question par rapport à est-ce qu'on est
arrivé à cibler des espèces de couverts
par rapport à des espèces d'arbres c'est
à dire là on a parlé des pommiers on a
parlé des pêches nectarines y est par
exemple est-ce qu'on peut élargir aux
châtaigniers au noyer mois ces oeuvres
qui sont juste présente dans ma région
est ce que il ya un type de couverts qui
concorde avec une variété une espèce
d'arbre
par rapport à ce que ça peut apporter ou
par rapport à un effet qui peut y avoir
de concurrence ou autre pour le pour
chaque espèce
j'apprends que celle là je dirais que là
la question ça se rapproche un peu par
rapport à la présentation qui a été
faite cet après midi c'est à dire que
l'association avait patel tellement
espèces arbres mais plutôt espèces
objectifs qu'on va essayer de d'enrichir
son sol en matière organique on va
essayer d'aller vers des espèces qui
produisent beaucoup de matière organique
et comme ça on l'amène qu'on va
rechercher un peu plus d'apport ou
d'azoté
c'est vrai que la féverole on va la
retrouver partout qu'on va le retrouver
chez de noyer on va rentrer chez le
châtaignier dans le premier elle revient
aussi donc je ferai plus de liens en
fait objectif espèces que enfin objectif
espèce de couvert végétal que espèces à
rebours est au dessus alors après
peut-être qu'il ya des collègues de la
noix dans la salle s'ils veulent
compléter
n'hésitez pas on peut peut être ajouté
l'espèce espèces et terroirs les espèces
donc ce qu'on va faire dans une zone de
plaine ne fera pas de pas forcément là
la même est parce qu porter pareil même
espèce mais dans deux zones avec
d'autres d'autres arbres fruitiers et à
des synergies
c'est pas c'est pas une vérité féveroles
là le premier on sait pas sûr et
systèmes de culture c'est à dire que dès
qu'on va être par exemple sur nohain
châtaignes même noisette
il ya une récolte qui se fait au sol
donc ça veut dire qu'aussi l'interaction
avec la récolte et est aussi importante
après moi je pensais plus à des choses
genre des rapports bi par rapport aux
mycorhizes ou autres que les échanges
vraiment entre plantes par exemple en
travaillant avec des espèces de
graminées et pérenne est ce qu'il ya des
liens qui se créent entre les arbres et
on sait qu'il ya des échanges entre les
espèces donc est ce qu'on a on va
étudier ça on l'étude en l'étudient ou
pas du tout quoi pour l'instant alors il
ya une étude qui a été faite
je sais qu'ils ont une étude assez
poussée qui a été fait sur la noix
notamment qui aboutit à un livre
justement sur mikko risation et sur
l'interaction entre aussi les pratiques
et la mise en place de cette mycorhizes
à sion je connais pas les résultats de
cette étude ce que je peux dire c'est
que c'est un sujet que derrière on
souhaite aussi développer nous en
châtaignier c'est à dire voir comment
mettre en place ces mycorhizes notamment
travaillé avec des espèces type iia
c'est qu'ils ont un potentiel d'apporter
ses mycorhizés de voir après si elles
peuvent s'installer dans le système pour
essayer de les orienter
mais souvent qu'on va regarder sur ces
espèces pérenne noah châtaignier on se
rend compte que c'est pas une mycorhizes
c'est tout un cortège de mycorhizes et
finalement c'est plutôt un équilibre
qu'il faut mettre en place qui va être
influencés par les pratiques culturales
donc on parlait un petit peu ce matin il
y avait des pratiques sur le labour
on pense pas forcément que ces pratiques
sont impactante dans l'est dans l'es4
verger mais c'est vrai que dès qu'on va
gérer en châtaignier par exemple sur
sûre qu'on y à un désherbage de
superficiel mécanique du sol avec ses
techniques là on se rend compte que ça
ça modifie ce cortège de mycorhizes
essais mycorhizes qui se met en place
naturellement sur des vergers très
anciens on en retrouve énormément
le fait de venir travailler le sol va
vraiment les perturber je dirais que par
rapport à cette problème de mycorhizes à
sion finalement c'est plus un système de
gestion du sol avec une une flore enfin
bien conserver une flore naturelle et
pas trop intervenir sur le sol c'est
peut-être plus ça qui va jouer sur la
quantité la qualité de nos choristes que
finalement d'aller mettre une espèce ou
une autre on est au début sur le sur le
châtaignier donc j'espère or plus de
résultats dans trois ans juste pour
compléter si vous cherchez des
informations il ya hervé covès qui
pourrait qui pourrait peut-être vous
renseigner c'est un spécialiste des
mycorhizes et puis des associations des
plans de campagne
j'avais des mains qui se levait le rouge
est peut-être rapatrier le jeune pour
monsieur pendant ce temps à une question
après ok enfin 2 3 il nous reste dix
minutes un quart d'heure donc on a le
temps bonjour merci pour la qualité de
vos témoignages avait trois petites
questions rapides sur les retours
d'expérience que moi qui ont pu être
faits et savoir si c'est des pistes qui
ont été travaillés par des participants
la première c'est sûr sur cette
production de biomasse donc là sur la
parcelle nous on se pose la question
donc on est dans la drôme
2 on a découvert qu'ils sont existants
on a des vergers qui sera enherbé on a
découvert spontanée découverte mais et
c'est vrai qu'on a envie de travailler
la question de bascous vers là on va le
nourrir un peu plus pour fabriquer la
biomasse en or ce savoir s'ils avaient
des retours d'expérience là dessus un
deuxième aussi sur une question monsieur
sartoux parler du service des plantes de
service on peut aussi parler des
arboriculteurs de service est ce que
tout ce service rendu en termes de
carbone est ce que dans vos approches
qui sont agronomique évidemment il ya
une approche aussi que vous commencez
amorcé sur une approche vis-à-vis du
consommateur vous avez d'autres
associations surtout ce carbone stocké
qui pourraient être rémunérés pour
l'arboriculteur et venir alimenter la
machine et les apports extérieurs de
carbone le simplifier pour l'agriculteur
et une dernière question pour monsieur
solaire c'est quelle est la bonne dose
d'amour sur les couverts végétaux
formuler votre question
l'amour stockage du carbone c'est vrai
que ça me parle beaucoup pour moi n'a
pas montré grand chose encore giresse et
un poteau c'est vrai que on va rendre un
service mais le quantifier je pense qu
en cours c'est un peu tôt pour compléter
en ce moment il ya des groupes de
travaux qui réfléchissent à des
méthodologies de d'estimations du
stockage de carbone additionnel qui se
met en place sur toutes les filières
végétales dont une grande culture arbaud
vignes ce genre de choses et je pense
que tous on en est qu'au début de ses
travaux il faudra prouver qu'ils aient
une addition nalité c'est à dire qu'on
stocke plus de carbone par bord une
situation de référence et une fois que
ça se sera prouvée au fait que les
méthodes ce qu'on fait il pourra y avoir
des labellisations bas carbone
sur des quantités de carbone stockée
donc non émises et qui pourront être
échangées avec des sociétés qui
pourraient avoir besoin de compenser
leurs émissions
à mon sens pour l'instant c'est au tout
début en france il ya des groupes de
travaux qu'ils se sont mis dessus et ont
actuellement les grandes sociétés qui
veulent compenser du carbone il finance
des projets à l'étranger france prostré
n'y a pas grand chose la pêche nectarine
en bio en france la pêche française bio
a aujourd'hui à est dans une phase de
race est intéressante voilà c'est pour
ça que la rémunération est bien
l'abricot va passer des moments
difficiles puisque il ya eu beaucoup de
coups comme la brique au conventionnel
assez mal la conversion est importante
notamment département ma conversion bio
un abricot est importante dans les deux
ou trois ans qui viennent
il n'y a pas la capacité d'abricots bio
qui aura la consommation ne pourra pas
absorber la mon avis la pêche nectarine
duo très difficiles techniquement c'est
une plante l'espèce un traître était
compliqué il faut avoir des seuls
départements
sans être chauvin une grille un des
seuls départements où la la rentabilité
et dexia 3 à sa sovan je vais prendre
une question jaune là où je suis en
apprentissage en pépinière dans la loire
et j'avais une question spécialement
parce que monsieur zéro avait soulevé la
question du chancre sur sur les sur le
verger
je sais pas comment vous avez réussi à
gérer déjà s'ils étaient d'origines
bactériennes fongiques
comment vous avez réussi à gérer le
chien créé voit quels étaient les
problèmes et quelles sont les solutions
par bras à cette maladie
donc c'est d'origine fongique le chancre
à qui nous embêtent la manière de gérer
bassett méthodes de prophylaxie
lentement pendant l'hiver la taille que
du curetage des chancres protection avec
du cuir ou ce genre de choses
après une sensibilité variétale qui peut
être marquer donc déjà l'orientation
variétale à la plantation ça peut
conditionnelle de le devenir du verger
et une fois que le chancre est installé
sur certaines variétés pour être honnête
on a du mal à s'en dépêtrer
et sur ces parcelles qui posait problème
sur lesquels on avait du mal à s'en
dépêtrer
on s'aperçoit au fil du temps qu'avec
une amélioration du fonctionnement du
sol ce genre de choses
l'arbre à l'aide entre guillemets de se
soigner tout seul c'est bien que le
chancre est toujours présent mais il est
de moins en moins virulent et puis il ya
une régression des symptômes il n'y a
pas forcément de nouveaux chantres qui
apparaissent mais ce n'est pas
l'assurance tout risque il ya des
parcelles qui sont régulièrement arraché
c'est avec des variétés sensibles aux
chancres sur lesquels ya rien à faire
j'ai une question devant peut-être pour
le micro rouge
oui bonjour c'est un peu pour répondre à
la question là haut on a beaucoup parlé
de d'enherbement ce mais moi je pratique
l'enherbement spontanée sur la vigne de
la châtaigneraie et ifig et est en fait
je pense que par rapport à la réflexion
d'olivier husson de ce matin qui disait
que la plante créé le sol je pense que
par exemple pour la vigne j'ai les
résultats moi qui sont intéressants sur
l'oder moments spontanés parce que j'ai
l'impression que les années passent et
m'ont emmené en armement spontanée
devient vraiment adapté à la vigne c'est
la pression que j'ai c'est à dire que
j'avais des gros soucis descat par
exemple ça a disparu sur une année avec
avec avec une paire de plantes j'ai
l'impression quand elles sont
responsables en fait j'avais pas fait de
l'étude exactement mais j'avais vraiment
cette impression là que et sur les
châtaigniers aussi je vois que
l'enherbement spontanée j'ai
l'impression que ça tri et que le
châtaignier les plantes qui se
développent sont semble-t-il adapté aux
châtaigniers adapté à la ligne ou
adaptés à la figure elle au fur et à
mesure j'ai l'impression que ça se
spécialise mais en même temps les
productions montre les fruits sont de
plus en plus un voilà donc moi je suis
vraiment que sur le spontané et
je laisse faire mais je contrôle en
débroussaillant tout simplement mais je
m'aperçois que c'est voilà ça ça porte
ses fruits convenir alors pour compléter
leur d'armement spontanée s'il est
présent c'est qu'il est bien adaptée au
contexte pédoclimatiques et donc il peut
influencer favorablement les par mètre
du sol
par contre nous ce qu'on observe en
verger c'est qu'avec les entretiens
classiques qui sont faits c'est-à-dire
des broyage régulier ce genre de choses
on a plutôt des enherbement qui ont
tendance à s'appauvrir au niveau des
espèces végétales avec des dominantes
garmin et qui arrivent et du coup
parfois ça répond plus suffisamment
besoin que l'on a de stimuler la
biodiversité pour toutes les régulations
biologique de ravageurs ce genre de
choses et donc nous on fait des semis
pour pas forcément pour améliorer les
paramètres du seul rapport à
l'environnement spontanée qui sera
adapté et pour stimuler cette
biodiversité en verger donc c'est pour
apporter une autre fonction que parfois
on enrichit un internement sproat année
en faisant des semis mais sur des
systèmes moins interventionnistes comme
le chantait nîmois jeu je vous rejoins
sur la pertinence d'un harnais mouvement
spontané aussi dans cette fonction
c'est il dans les fonctions aussi sur
les auxiliaires fin nous on travaille
aussi sur la pollinisation et on se rend
compte aussi les fleurs qui vont être
visité par cette arnaque mouvement
spontané celle du châtaignier il ya des
similitudes assez assez forte mais
effectivement on est sur un système peu
interventionniste par rapport à un
système arbaud pomme où il y aura bien
plus de deux passagers était peut-être
on va rechercher d'autres d'autres
fonctions c'est du spontané orienté je
pense qu'on a le temps encore peut-être
pour une une question on me le dit dans
l'oreillette une question encore
oui bonjour philippe prieur conseiller
technique un arbre dans le tarn et
garonne
juste une petite remarque par rapport à
la matière organique dans les vergers
lorsqu'on fait des analyses de sol en
général les faits sur le leur antre de
plantation on s'aperçoit que les taux de
matières organiques sont assez faibles
et par contre dès qu'on fait un
prélèvement sur un verger qui a été
arrachée on peut avoir des taux de
matière organique qui sont relativement
élevées c'est parce qu en fait lorsqu'on
n'en donne les feuilles lorsque van den
le bois de taille
on a tendance à le broyer au milieu du
rang et petit à petit on limite la
quantité de matière organique sur le
rend si on pouvait avoir du matériel
qu'ils soient adaptés et qu'ils puissent
broyé ou les feuilles ou le bois et avec
des réflecteurs le renvoyer sur les
rangs de plantations on maintiendrait
peut-être un peu plus des taux de
matière organique sur le rat et en
favoriserait peut-être un peu plus
l'activité microbienne et de champignons
qui favoriserait peut-être un peu plus
l'assimilation des différents éléments
minéraux au niveau des plantes
moi je voulais savoir si quelqu'un
pouvait me renseigner s'il y avait un
matériel qui pouvaient exister à ce
niveau là qui permettrait de broyer donc
ses feuilles ou ce bois et de le
renvoyer sur laurent alors c'est une des
choses que j'ai demandé au sival la
semaine dernière parce que je cherche
c'est également ce type de matériel ça
existe ce matériel je n'ai pas trouvé si
si ça existe alors on va parler de
gyrobroyeur mais parfois on a des boîtes
à qu'ils soient si rouge propre et sain
gyrobroyeur non il ya des broyeurs à
marteaux la société qu'une en avait mis
à disposition à sudexpo cgil c'est un
broyeur qui arrivait à broyer du bois de
taille et qui envoyait en much avec une
vis en fait pour faire simple c'est un
broyeur en marteau avec une vis sans fin
derrière l'assisté c'est le problème
effectivement c'est qu'il y avait
parfois des problèmes de 2 que la vie se
coincer sur des bois de taille un peu
trop sec c'est à dire que ça ça obligé à
broyer le bois rapidement après taille
en particulier sur du bois d'abricotiers
ou de cerisiers leur lavisse pouvait se
coincer il ya des producteurs qui se
bricolent déjà des trucs comme ça
le problème colonna c'est que des fois
on n'a pas assez simplement on n'a pas
assez de matière à déposer pour ça que
les travaux sur créer du volume soit
intéressant vont peut-être redonner
redonner l'intérêt à ce type de matériel
ça existe ça fonctionne à la fois en
arbaud même pour la viticulture avec
deux vies c'est une équipe
bon ils sont beaucoup plus chers ça ça
fait monter un peu la facture du
matériel mais ces matériels existent ils
arrivent à avaler pour faire aussi un
peu du bois de taille que vous tailler
au gros sécateur
dès que vous sortez une si il peut y
avoir des phénomènes de coincement ce
matériel a existé
je profite que j'ai le micro on parle de
couvert végétal de créer un peu du
volume quand on s'aime un enherbement
effectivement bon déjà les
arboriculteurs là à dire que l'écrasante
majorité pour pas dire la totalité des
vergers sont énervés sur au moins la
moitié de la surface voire les deux
tiers plus ça va plus la ban de
désherber se réduit la perspective la
disparition du glyphosate et de tous ses
cousins parce que je me fais pas trop
d'illusions repose de questions mais
quand on faisait un énervement go
choisissiez des fétus chorégraphe on
répondait à des questions s'étaient déjà
réfléchi deux portes ans d'absence de
fleurs et donc de nos problèmes qu'elle
tombe à des insecticides ou il faut
qu'ils aient absolument aucune activité
de de pollinisation et là on a parlé
beaucoup de choses où finalement pendant
la vie dure et quand on le faisait ce
cet énervement le faisait pour la vie du
verger et puis parfois ce qui se passait
là l'occasion de sécheresse et bien
l'année revenant spontanée petit à petit
reprenait le dessus
au fait tu chorégraphe qu'on avait pu
implanter et ma foi les vergers vivait
comme ça maintenant tout ce qui a été
évoqué aujourd'hui nous obligea à
reconsidérer la gestion effectivement à
un abonnement quitte à ressemer parce
que c'est un peu ça qu'on dit c'est
ressemer dans un verger installé par
dessus un armement déjà présents ça
c'est quelque chose qui pour l'instant
présent le buteur n'est pas n'est pas
fait n'est pas neutre et puis en plus
c'est un problème matériel parce que
dans des pommiers encore passé des
sommets andins et pommiers c'est une
chose allait passer les semoirs d'un et
vergers de fruits à noyaux angolais très
ouvert c'en est une autre
donc
je pense qu'on a beaucoup de
questionnements aussi sur le matériel ce
qui est sûr c'est que pour en terminer
l'épisode de canicule que l'hérault a
très mal supporté cet été il a été très
pédagogique eu peu brutale d'ailleurs
sur le fait que des vergers à la limite
on était un peu à la bourre au niveau de
la tombe d'un énervement et en
particulier des vergers arrosée en
aspersion je pensais des vergers de
pommiers
mais ces vergers là ils ont beaucoup
mieux supporter l'épisode de canicule je
veux pas dire qu'ils sont passées qu'ils
ont pas eu de dégâts mais il aucun
beaucoup mieux supporté que des vergers
deep house était mal travaillé ou le
verger été arrosée en goutte à goutte
est élevé tu jouer les 1ers bowman un
terran il avait la couleur d'un
paillasson comme les et christian la
couleur de la table ou quoi et dans ce
cas là on a eu des problèmes de fruits
qu'on cuit littéralement sur les armes
donc là la réflexion sur le système
d'irrigation le micro g ici mais je
différencie les pommiers pêchers parce
que sur les premiers avec du micro g qui
va pas à mouiller le feuillage comme l'a
dit qu'on me l'a dit georges on doit
arriver à faire des choses on est sur un
réseau collectif varone c'est une chance
pour les producteurs car ça fait souvent
basés à la facture aux mêmes fins on n'a
pas de on a pas de conflit d'usagé
malgré des périodes de sécheresse donc
c'est une chance de passer des vergers
de pommiers en micro g certain nombre de
producteurs se pose la question ici posé
la question à des producteurs de pêches
de repasser des vergers de pêcher en
micro g avec les problématiques faux
logique et en particulier mal et de
conservation
voilà donc effectivement il remplit nos
recettes
c'est un peu ce qu'on prenne ce genre de
journée c'est qu'on repart pas comme on
a eu l'habitude par le passé dans mon
raisonnement on a un problème et on a x
solution là c'est à chacun de redéfinir
un peu son itinéraire mais faut fixer
les enjeux qui se profilent moi l'enjeu
de la suppression du désherbage chimique
ne va pas se la raconter
c'est c'est une question de quelques
mois comme on a dépassé les 16 heures je
vais profiter de cette remarque comme
conclusion partielle en tout cas de
l'atelier art beau je vais remercier
le quatre intervenants de l'après-midi
et remercie également le public pour
toutes ses interventions