Sol Agronomie Innovation, par Thierry GHEWY - NLSD 2018

De Triple Performance
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Aujourd'hui, on vous propose une conférence de Thierry GHEWY, de Sol, Agronomie et Innovation ! Il vous parlera de son assocation basée dans l'Aisne et du concours Sors Tes Couverts.

Transcriptions

Transcriptions

bonjour à tous donc thierry guyot
culture à akron dans l'aisne et je suis
le président fondateur de cette
association sur l'agronomie innovation
qu'on a créé en 2012 spécifique soirée
culture de conservation
j'ai commencé mon intervention par faire
une petite présentation aussi l'enjeu le
faire 2 du département d'agriculture
dans le département ensuite je

Afficher la suite


continuerai en présentant les travaux de
l'association présenter l'association et
ensuite quelques travaux sur lequel on a
travaillé le département de l'aisne pour
ceux qui se souviennent de l'extérieur
c'est un département bien sûr du nord de
la france ont à peu près cinq cent
trente sept mille habitants
une densité de 73 habitants au mètre
carré
une pluviométrie annuelle moyenne autour
de 650 mm avec 123 jours de
biométrie en sachant qu on est plus près
de 600 mm dans le sud du département et
près de 1000 mm à près de la frontière
belge et l'attitude du département entre
36 mètres et 297 m on n'est pas mal
quand on a pas mal de cours d'eau à
l'intérieur de ces départements
notamment l'aisne la marne oise la somme
à certains nombres de relativement bien
réseau hydrologique est relativement
dense il ya dix-huit sites natura 2000
et sur le département il ya quelques a
haussé dont la hausse et maroilles le
champagne dans ce truc du département
une prochaine aoc sur les haricots de
soissons la géologie du département donc
là c'est toute la picardie marche pas
c'est tout à fait car dis donc le
département de l'aisne et sur la droite
on voit qu'elle très grande
hétérogénéité des types de sols par
rapport à l'extrémité gauche qui la
somme on a plutôt une homogénéité
on voit dans le département on a
pratiquement tous les types de sol ce
qui influe énormément sur les cultures
mais aussi des façons de
pratique et plus spécialement dans
l'aisne l'agriculture c'est 5062
exploitant une esaü de 493 mille
hectares l'essentiel est en grandes
cultures des prairies et un petit peu de
vignes dans sud du département des
vignes de champagne
les voiliers qui est également une
densification au niveau bois il faut ré
essentiellement des feuillus et des
peupliers est également bien de
l'élevage essentiellement bovins
laitiers à l'étang mais il ya également
des ovins des ports mais c'est un petit
peu plus anecdotique
bon là c'est peut-être un peu petit ça
reprenait les différentes grandes
cultures qu'il y avait dans le
département avec la place de la région
et sur la droite on a la place du
département de l'aisne
donc la région hôte france c'est la
première région production de blé tendre
première région et solène également la
première région
en production de betteraves
industrielles pommes de terre de
consommation également qui est très
développé dans nos régions et tout un
ensemble de culture industrielle
légumière betteravière et
il a pas mal tu es donc la problématique
une des plus grandes problématiques
département c'est essentiellement les
problèmes diderot morphy et les
problèmes de battance chaleur pris cette
photo là qui était elle était mise sur
le site de frederick et un moment on se
dit est ce que c'est un bête à un semis
de betteraves en plaine en plein désert
non c'est dans l'aisne et la majorité
des printemps en un ce type de structure
sur la majorité des plateaux dans les
systèmes l'on peut pas dire que c'est
très satisfaisant
les structures se referme des croûtes de
battance et bien sûr tout ça ça engendre
des problèmes d'érosion qui sont pas
très
satisfaisant c'est pour ça qu'il faut
aller vers d'autres systèmes ça j'avais
passé rapidement et c'est devant ce
constat également dans le constat de la
politique agricole commune de 92 qui
modifient je dirais les rapports entre
la société l'agriculteur que l'on s'est
penché un petit peu plus la règle et
culture de conservation comme étant une
des possibilités d'évoluer favorablement
par rapport aux attentes de la société
donc on a créé notre association sans
l'agronomie innovation en 2012 avec une
poignée d'agriculteurs un peu moteur
aujourd'hui on a eu un développement
plus important qu'on ne pensait la
dynamique était très présente on à 99
adhérents
même si on a des sympathisants qui nous
accompagnent les deux tiers sont à peu
près dans le département de l'aisne et
aujourd'hui on a également des adhérents
dans une dizaine de départements autour
de nous et on a également des adhérents
qui sont
belge donc on est presque une
association internationale et le
développement continu
alors pourquoi ce développement s'est
développée si rapidement l'agrément de
la marne avait fait une petite enquête
auprès de nos adhérents et on s'aperçoit
que dans ces techniques là on ne trouve
pas les agriculteurs ne trouve pas
matière à satisfaire leurs leurs
questions à les accompagner dans cette
thématique là et on s'aperçoit que le
schéma classique de développement qu'il
est âgé d'à coopérative et autres nord
présente n'est pas capable aujourd'hui
d'apporter les aspects techniques de
suivre ces exploitations là alors que
les infos techniques on va les voir dans
les revues dans la revue tcs dans les
réseaux également d'un certain nombre
d'associations comme et l'autre c'est ce
qui explique un petit peu notre
développement assez fort sur ces
thématiques le sol c'est quelque chose
de complexe il faut pas simplement
regarder que ce qui pousse dessus mais
c'est quelque chose de très très
complexe et on je me plaît souvent à
lire et c'est pas moi qui ai député
donner cette définition c'était un
producteur de bananes lentilles qui un
jour m'a dit tu sais un agriculteur un
gestionnaire décline naturel au service
de l'humanité et c'est ce qu'il faut
arriver à ferme pour star niveau de
l'association ont mes différentes choses
en oeuvre des formations beaucoup
d'observation des tours de plein de
l'expérimentation on innove énormément
et un petit peu de communication comme
aujourd'hui donc quelques photos de ce
que l'on fait des réunions à thème des
visites de projets là c'est un projet
méthanisation associés
découvre avec des productions de
couverts et un verger bio donc on a fait
une journée sur la compaction des sols
notamment des thématiques voyez très
varié d un voyage d'étude on a participé
aux assises de la permaculture l'an
dernier beaucoup de tours de plein on
fait venir frédéric de temps en temps
pour qui nous guide des démos machinisme
destruction de couverts des rallyes sur
les couverts notamment sur les cultures
associées
le but de tout ça c'est d'échanger parce
qu'on s'aperçoit que dans nos réseaux le
réseau base également mais dans d'autres
réseaux l'information aujourd'hui
circulent d'agriculteurs à agriculteurs
elle ne circulent plus de techniciens
c'est en épluchant un système pyramidal
où quelqu'un décide
les techniciens ensuite l'info et
ensuite on transfère aux agriculteurs
aujourd'hui l'information à se diffuse
d'agriculteurs agriculteurs ou par des
réseaux par les différents réseaux
sociaux dont toujours une grande
participation à tout ce que l'on peut
faire et puis également de la formation
ce que de temps en temps on a besoin
d'avoir des aspects beaucoup plus pointu
et également la représentation on
rencontre nos élus pour leur présenter
ce qu'est gris culture de conservation
et ils sont toujours assez épaté étonné
de voir les réalisations qui sont
possibles à partir de ces pratiques au
niveau de l'association aujourd'hui là
vous avez à peu près
les gens avec lesquels on a des
relations étroites et donc on a tout un
réseau je dirais de d'associations et
d'organismes qui travaillent
l'agriculture de conservation et on
travaille en lien direct avec la
recherche
et ça c'est une force très importante
y a pas de filtre et on a je dirais les
primeurs d'un certain nombre de travaux
en direct que l'on peut appliquer très
vite sur nos exploitations
on gagne un temps fou l'agriculture de
conservation vous êtes ici vous savez
tous globalement ce que c'est c'est un
concept qui a été définie par la fao qui
repose sur trois piliers majeurs le
travail minimum de sol alors c'est pas
obligatoirement semis direct pur c'est
un travail minimum de sa peine un
travail superficiel ou un semis direct
des couvertures permanente de sol par
les cultures ou par des intercultures
découvert et des rotations longue et
diversifiée nous dans l'aisne on aime
bien y rajouter un quatrième pilier
ça c'est ma spécificité c'est la
réduction d'utilisation les intrants
chimiques
j'étais moi-même fermes pilotes dans un
groupe de recherche sur la protection
intégrée et donc on ne peut pas chercher
à protéger son sol tout en balançant
toujours autant de produits chimiques
dessus il faut savoir un certain moment
allégé totalement ses productions j -c
utilisation de produits chimiques
l'un ne va pas sans l'autre et pourquoi
on travaille ça et pourquoi on est parti
dans cette thématique là on a repris des
travaux on a dû les travaux on a repris
des travaux de bio marquette 1 1
comment dirais-je un chef de recherche
au niveau de l'inra qui a écrit qui a
travaillé sur la transition de
l'agriculture française ce sont des
travaux très récent et dans cette
transition d'agriculture françaises il a
déterminé un certain nombre de leviers
et pour lui c'est le danser le levier il
a identifié cette pratique qui relève de
l'agriculture de conservation
si pratique qui relève de la protection
intégrée de la réduction des produits
phyto quatre pratiques qui relèvent de
réécriture de précisions 3 de
l'agroforesterie 2 du bas volume et 2
les pratiques de notre qui relève de
l'introduction dès l'introduction de
légumineuses dans les rotations pour
vous voyez bien que nous déjà un niveau
de l'association travail et légumineuses
on travaille l'agriculture de
conservation au travail la protection
intégrée on travaille un peu le bas
volume et on est très inventif en
agroforesterie on est tout à fait dans
cette phase de transition l'agriculture
française la protection intégrée bon
c'était un des programmes ecophyto
c'était la troisième voie qui avait été
initiée par philippe viau aïssa à une
certaine époque pour réduire les
intrants mais la protection intégrée
inclut également
parti de l'agriculture de conservation
par le non travail du sol à certains
moments mais tous ces travaux de je
dirais cette troisième voie qui est en
train de celles initiées est également
allé plus repose également sur des
travaux plus anciens de francis cha
boussioux qui hélas d'héroïne est trop
fabio qui démontrait à l'époque déjà
utilisé trop de produits phytosanitaires
pouvait être plutôt nocif pour un
certain nombre de plans d engendrer un
certain nombre de problèmes que l'on
navire de nouveau à retraités par la
suite avec d'autres produits en gros
c'était un enchaînement classique on
voit pas rentrer trop dans la technique
on regarde un peu aussi ce qui se fait
au niveau de la permaculture de lait bio
ça nous permet de nous de nos sages
avaient passé de nous sensibiliser et
aujourd'hui un autre on considère après
les grands travaux que l'on a fait que
quelqu'un qui en systèmes labour qui
utilisent la chimie pour moi l'équation
est tirée équivalente à quelqu'un qui en
essai à 5 électeurs de conservation etc
utilisent de l'agronomie
on a des résultats similaires on a des
résultats similaires sur le plan des
rendements on a des meilleurs résultats
sur le plan économique et ont pu en
train de vraiment d'aller vers la
transition vers un sol vivant équilibré
et beaucoup plus autonomes et on donne
de l'autonomie aux agriculteurs là une
petite photo d'un blé fin novembre en
protection intégrée sans aucun sens
aucun désherbage ou vrai qu'on est
capable de faire des choses très
intéressantes
les problèmes de résistance ou qu'on
peut tout à fait s'en passer outre
dans cette technique la prob la matière
organique est très importante il faut
qu'elle soit par les couverts ou par des
apports extérieurs
donc c'est une des thématiques que l'on
travaille énormément ça je les passais
des couverts végétaux relais travail
aussi très fortement
on essaye l'allier un certain nombre
d'espèces pour obtenir des choses
intéressantes pour le sol est régulé
réellement un certain nombre de points
les couverts si possible me région on
essaye de les faire de demain au niveau
de l'association uniquement en profitant
du gel même si indirectement on peut
utiliser des produits chimiques non
qu'il faut mais on essaie de sang de ne
pas les utiliser
on a travaillé également dans des
réseaux auxi prod qui est devenu oxymore
ce sont des réseaux d'observation de
carabes et d'auxiliaires pour voir un
petit peu quelles étaient les impacts
des différentes de
différentes pratiques et contrairement à
ce que vous voyez dans la presse
notamment dernièrement dans ses réseaux
il a été déterminé qu'il ya plus de
biodiversité dans les champs que dans
les bandes enherbées ou que dans les
bandes naturel ça va à l'encontre de ce
que vous voyez dans la presse
régulièrement et c'est confirmé
j'ai eu des discussions il ya très peu
de temps avec des spécialistes s'est
confirmée dans d'autres lieux donc
les médias ne disent pas obligatoirement
la réalité de ce qu'il a sur le terrain
et les sols dans tout ça alors je vais
vous parler un petit peu d'une étude à
laquelle on a participé qui était le
projet agri nomme un projet casdar qui a
été chapeautée par tout un ensemble
d'organismes notamment par l'inra de
dijon et différents laboratoires de but
c'était de déterminer des indicateurs
biologiques et agronomiques sur la
qualité des sols
on a réussi à placer à peu près 10% des
analyses de de ce projet de recherche
sur notre aire géographique de
l'association c'est des travaux qui ont
été menés alors je vais aller passer
rapidement parce que notre temps est
compté ça a été essentiellement suivi
par l'umr agroécologie par lionel
rangèrent donc simplement pour dire que
les seuls rangs de très grands services
à l'agriculteur même si aujourd'hui la
majorité des agriculteurs encore le
prennent comme un support
la réalité c'est qu'ils ont des
fonctions très large
c'est un milieu vivant qui est très peu
connue et très peu très peu travaillé on
ne connaît que d'après les spécialistes
entre 5 et 10 % des espèces qui
composaient on connaît vraiment leur
utilité que sur quelques espèces et ils
ont tout des fonctions bien spécifiques
entre différentes espèces donc on va pas
rentrer dans le détail tout ce sont les
slides qui viennent de l'inra je peux
utiliser et toutes ces espèces qui sont
dans ce sol rendent tous des services
écosystémiques
le souci c'est que quand on travaille
trop son sol tous ces services là tous
ces micro organismes ne sont pas utiles
agriculteurs des cons et en technique
plus light
tc à sa lecture de conservation toutes
ces services peuvent rendre des services
et donc une loi je dirais
lulu a été déterminée par des chercheurs
qui est d'assurance écologique la loi de
l'euro de 2000 qui détermine que
l'assurance écologique est très
intéressante pour la résilience des
systèmes et pour l'agriculteur c'est à
dire qu'un certain nombre de problèmes
qui sont créées aujourd'hui peuvent être
peuvent tout à fait se résorber être
résolu en faisant un petit peu plus de
biologie un peu macho ça je vais passer
dans quand on est dans des systèmes saas
et des résultats issus des différentes
enquêtes et les différentes analyses qui
ont été faites
quand on est dans des systèmes
agriculture de conservation
on a beaucoup plus d'espèces de
champignons qui sont présentes on a un
rapport champignons bactéries qui est
totalement différent
on a beaucoup plus de champignons 1,6
dans le système alors que le système
labour lui développe beaucoup plus les
bactéries et ça ça une importance ça
c'est du concret c'est parce conclusions
des travaux de l'inra
quand on est dans un système labour en
augmente la diversité bactérienne mais
cette diversité bactérienne se sont
déplacées essentiellement des
populations indicatrices d'environnement
perturber ses labours stimule
essentiellement des pathogènes il ya une
baisse de diversité des champignons mais
par contre les champignons qui sont
présents c'est une stimulation des
champignons opportuniste et oublie pas
qu aux jeunes
donc si vous regardez la conclusion de
ce à dire que quand vous êtes dans un
système labour
la chimie est pratiquement obligatoire
vous êtes pratiquement obligé de
travailler de la chine
quand vous êtes dans un système de semis
direct ou en culture de conservation
vous avez une baisse de diversité
bactérienne mais par contre les
populations qui sont à l'intérieur sont
des populations beaucoup plus stable on
stimule des populations et un fertilité
des sols
et les champignons qui sont impliquées
qui sont présents c'est plus des
champignons dégradation matières
organiques et sont des champignons qui
sont relativement utile c'est une tout
est une question d'équilibré
or quelques travaux pour aussi casser un
mythe
ça c'est des plans ça doit peut-être pas
très bien ce sont des plants issus des
analyses d'eau de nos exploitations
le il ne faut pas croire non plus faut
pète un peu plus dogmatique que il ne
faudrait on avait tendance à croire
qu'il fallait obligatoirement semis
direct en semis direct sous couvert pour
avoir les meilleurs biodiversité de sol
ça il faut arrêter de garder ça en tête
c'est faux on peut très bien avoir de
très bonnes biodiversité des sols et des
sols très vivants avec un travail du sol
superficiel
quand je dis superficiel c'est maximum
10 cm donc entre 0 et 10 cm tout en
travaillant on peut avoir des bio des de
dynamisme dans le sol on va voir des
sols vivants et des résultats
exceptionnels
donc à l'issue de ce projet on avait
donc des graphiques par exploitation qui
nous cibler essais on avait des petits
radar des choses comme ça pour savoir où
on pouvait se situer et dès que l'on
faisait un petit peu attention son sol
qu'on réduise et les intrants qu'on
travaille un petit peu moins son sol
on était relativement bien situé et en
développer son seul donc contrairement à
ce qu'on a pu lire ou entendre également
où l'on ne dit que les sols sont morts
ça surtout à bourrignon parle beaucoup
de ça souvent brossé une façon saine
terminologie en réalité les sols ne sont
pas morts ils sont simplement en sommeil
en éveil et les chercheurs ont démontré
qu'il suffisait de rapidement de
reprendre des techniques beaucoup plus
light plus adaptés et les sols
redevenait vivent donc il faut pas
croire que tout est perdu
il suffit de reprendre les bonnes
techniques pour y arriver et donc là
vous voyez on est dans un sol vivant
dans un sol sableux c'est chez moi dans
un sol sableux qui est le pire par
rapport à la biodiversité et voyez qu'on
arrive à avoir des sols cesson bt recul
de vers de terre
on peut avoir des sols vivants c'est le
contraste total avec la photo de
betteraves quant à vis tout allait donc
tout est possible et rien n'est perdu on
a fait également des essais sur des
activateurs de croissance c'est les
choses le sujet à la mode on s'aperçut
que apporter des activateurs des
bactéries des champignons tout ce que
l'on veut ça sert à rien il suffit de
développer simplement ce qu'il ya dans
son sol vous avez tout ce qu'il faut
vous avez le ferment qu'il faut dans vos
sols il suffit de le développer prendre
les bonnes trappe pratique ça sert à
rien de dépenser 50 euros l'hectare pour
mettre quelque chose qui peut avoir un
petit impact un moment donné mais qui
sera de courte durée
il faut qu'on travaille également
essentiellement les relations des
légumineuses les cinétiques de la zot
savoir quand on fait découvert des
choses comme ça comment se débobine les
éléments minéraux on dort on travaille
tous ces sujets là on travaille les
causes associées on travaille également
des associations de culture pas
seulement en colza et ensuite quand on
vient nous dire que la bourre et tcs
c'est la même chose ça c'est une photo
près de chez moi
je vous demande pas de savoir où et
l'agriculteur qui ont tcs et
l'agriculteur qui en labourant ce qui
veut dire que ces techniques
d'agriculture de conservation et de tcs
sont des techniques qui ramène de la
fertilité dans les sols ce que là on est
carrément sur une butte de craie mais
vraiment de la craie du caillou
l'agriculteur qui à droite il hantait cs
depuis plus de dix ans il retrouve de la
fertilité
vous voyez bien les betteraves le
développement des betteraves comment il
est et vous voyez bien que dans un
système labour on est dans un système
très érosif donc que l'on ne dise pas
que c'est la même chose ce n'est pas la
même chose on a travaillé également sur
le machinisme parce qu'il faut également
qu'on ait des outils adaptés au niveau
de l'association a travaillé notamment
sur l'adaptation de soc de stock pour
adapter sur des chômeurs pour essayer de
2 utiliser - ou de ne pas utiliser de
glyphosate et ça marche relativement
bien sûr les vivaces et sur les
destructions de couverts on adapte effet
adapté également un rouleau c'est pour
ça que dans l'association n'y a pas que
des agriculteurs
il ya également des chercheurs des
techniciens il y avait un centre de
gestion
il y à des concessionnaires de
machinisme agricole et les
problématiques des uns font réfléchir
les autres et apporte des solutions à
ceux qui ont des problématiques
c'est tout l'avantagé de ces réseaux de
ces groupes ou un jour moi j'ai appelé
un concessionnaire je vais dit voilà tu
vends une machine s'est vendu ccva
l'idée vient mais tes bottes et avoir au
bout de cinq minutes il avait compris
quel était le problème
et ensuite on essaye de faire modifier
un certain nombre de choses et puis
ébats notre groupe est quand même un peu
dynamique parce qu'il ya également
damien brunel qui a été élue
betteraviers de l'année 2017 et qui est
l'initiateur de cette nouvelle machine
pour implanter des betteraves en
techniques simplifiées
comme quoi il ya aussi de là je dirais 2
de l'imagination à l'intérieur de ces
groupes et en s'associant avec des
constructeurs locaux on arrive à faire
des choses très intéressantes
voilà et pour faire la transition notre
association est partie prenante et
également avec vive et sia et la hache
avec la fdsea de la marne et la chambre
d'agriculture de la marne on a initié ce
concours sortez couverts pour mettre en
valeur les différents couverts qui sont
mis en place par nos agriculteurs et
montrer qu'il n'y a pas que la moutarde
qui on peut faire des choses très
intéressantes et donc on a participé
donc à l'initiation de ce concours avec
les 1
notre ambition à court terme c'est
d'essayer au niveau de l'association
d'avoir un technicien qui puisse nous
aider pour aller plus en avant
on en train de réfléchir à cela dans un
grand projet plus large avec un groupe
dynamique projet d'aller des soa de la
marne qui est menée par les a dit ici
qui va me suivre
et puis pour terminer ce soit on
organise une soirée débat au lycée a eu
lieu au lycée pas au lycée au cinéma de
chenilles ou en première partie on va
diffuser un film qui s'appelle à
téléfilms documentaires qui s'appelle en
a 20 ans pour changer le monde et ce
téléfilm servira de support pour un
débat que l'on animera ensuite avec
frédéric et avec benoît l'écuyer
donc rendez vous ce soir 20 heures au
cinéma la projection 20h30 et on
terminera vers 23h30
impérativement on a une heure et demie
de débat on peut discuter échanger le
but c'est d'échanger avec des
agriculteurs mais également et des gens
extérieurs
donc on a fait un peu de publicité on ne
sait pas quel sera le nombre de
personnes présents on part sur quelque
chose qu'on maîtrise peut-être pas
totalement mais on verra venir donc à ce
soir et puis si vous voulez nous
retrouver on a créé une petite page
facebook il n'y a pas très longtemps
donc si vous êtes passionné si vous avez
envie de nous rejoindre vous avez toutes
les infos on j'ai fait un condensé fait
rapide de ce que l'on fait voilà merci à
vous




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