Rencontres MSV 2017 - Vincent Favreau - Engrais verts, témoignages

De Triple Performance
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Vidéos - Maraîchage Sol Vivant (12 sept. 2017) - - Durée : 43 minutes

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Transcriptions

donc restez couvert c'est sera pu être

un slogan pour le ministère de la santé
c'est plutôt un slogan pour le ministère
de l'agriculture maintenant donc je vais
me présenter rapidement
et puis après je joue je vais vous
expliquer comment nous en intègre les
engrais verts dans nos à seulement dans
nos rotations
comme disait morgan tout à l'heure moi

Afficher la suite

je je une petite précision je ne suis

pas en mon travail du sol solution un
travail du sol encore on tend vers un
jour on y arrivera peut-être juste à
semer à la volée juste à regarder
pousser et tout aujourd'hui il ya encore
pas mal de barrières qui nous qui nous
limite et qui nous conditionnent encore
à travailler un peu le terrain mais la
prise de conscience aller là on sait que
faut travailler moins possible de sol le
nourrir et du coup voilà où chacun
avance à sa vitesse et le but c'est de
saidal et dans le respect du sol dans la
connaissance de notre sol donc juste
pour me présenter donc vincent favre je
suis maraîchers avec un collègue denis
denis moreau maraîcher à côté de doué la
fontaine pour ce qui situe ses entre
angers et saumur dans le maine et loire
je me suis installé en 98 et j'ai
commencé en production de semences et
puis assez rapidement en 2002 j'ai
commencé à faire de la vente directe en
maraîchage j'ai commencé je me suis
dirigé vers le maraîchage qui était une
activité un petit peu plus simple que la
production de semences le lacement c'est
toujours un petit peu plus compliqué
c'est des cycles plus longs
donc j'ai pu faire bifurquer sur le
maraîchage et puis
où je faisais de vente directe de
marchés par semaine
et puis en 2005 j'ai rencontré une une
équipe de fous furieux qui voulait créer
une amap moi je sais même pas ce que
c'était à l'époque une amap et du coup
j'ai commencé avec des producteurs
voient un ensemble de producteur de
produits laitiers de viande bovine et
puis un groupe de consommateurs
donc on a quand on a commencé en 2005
avec une trentaine de familles et puis
en 2006 l'année d'après on était à deux
feintes soixantaine de familles et vu
que il y avait toujours une demande qui
était assez croissante et puis que
j'avais assez confiance en dans le
système des amap et ben c'est ce qui m'a
permis ou où c'est ce qui va inciter à
m'associer ou à trouver un salarié j'ai
plutôt pris l'option de l'association et
du coup on s'est rencontré avec denis en
2008 et on s'est associé à denis 1 2009
donc on a créé un grec
et puis de là on est passé de 60 65 70
paniers à une centaine de paniers
donc ce qui fait toujours notre
équilibre dans sur l'exploitation
on est toujours à une centaine de
familles en parallèle à ça on en est
passé de 3000 m² de tunnels à 5000
mètres carrés
ça peut paraître un peu beaucoup mais on
verra tout à l'heure que ça peut être
pour nous c'est justifié et puis l'autre
grande étape dans qui nous amène
aujourd'hui ici c'est en 2014 j'entends
parler de maraîchage sur sept vivent un
autre lien avec le non travail du sol
c'était aussi ça devait aussi va
l'arranger en salon agricole où il y
avait une bibliothèque et il y avait un
bouquin de dominique soltner qui
s'appelle jardiner sans travailler le
sol
donc il était à plat comme ça a été
recouvert d'un autre livre puis j'avais
vu moi jardiner sans travailler
j'ai ouvert les faits et puis après je
sens travailler seul bon c'est bon je
prends quand même et puis on verra après
donc c'était une des aussi une des
portes d'entrée pour cette réflexion-là
le notre contexte
chez nous on est plutôt sur des sols
argilo-calcaires donc c'est pas
forcément des sols de maraîchage on
n'est pas sur des sables ou des choses
comme ça qu'on retrouve plus loin dans
la vallée de la loire des argilo
calcaire avec un ph de 8 7 7,8 8 ce qui
donne aussi des sols assez froide et
cela c'est compact
ça joue aussi un rôle dans quand on veut
laisser un seul entre guillemets vivant
on a quand même moins de ses seuls qui
peuvent venir vite compact et donc il
faut être vigilant par hasard quand on
réimplante une culture en même temps
c'est aussi ça qui me fait qui me pousse
un petit peu vers le non travail parce
que quand on veut reprendre des terrains
au printemps tôt au printemps on arrive
vite à faire des abris des boulettes du
mauvais travail dans des conditions
humides sissach sèche derrière on traîne
tout là on peut traîner toute la saison
2 un terrain avec une mauvaise structure
au niveau du club du climat nous on
parle de la de la douceur angevine sur
des pluviométries on est à 500 ou 600
dans 550 mm d'eau par an en moyenne
et puis au niveau du froid là comme
cette année au mois de janvier on a eu
moins on était autour de -10 me donc
cédé des conditions qu'on retrouve assez
clémente normalement voilà dans du genre
la féverole cette année elle était
limite d'âge les doigts ce qui fait
qu'aujourd'hui on travaille sur trois
hectares peu près il ya 5000 mètres
carrés de vergers verger enfin
diversifié dans le sens variétale on n'a
pas le pouvoir mais c'est surtout nous à
peu près 60 70 variétés de pommes et
poires et bon je suis un peu le hasard
c'est départ de hazard mais et puis
après on est sur 5000 mètres carrés de
tunnel je disais tout à l'heure donc
cédé multi chapelle il ya douze multi
chapelle sur deux îlots donc deux îlots
de 2500 m² 12 multi chapelle qui sont de
même surface donc c'est assez pratique
pour faire une rotation ce qu'on fait
une année dans une serre on peut le
faire assez facilement sur le serbe
et puis après il ya deux hectares à peu
près de plein champ et ses deux hectares
sont répartis en trois parcelles donc
une parcelle ce que j'appelle mans
légumes d'été une parcelle en légumes
d'hiver et puis après une parcelle en
sorgho mise en culture l'été en sorgho
et pour rappeler juste voilà on
fonctionne toujours avec son panier par
semaine on a un contrat qui annuel à 840
euros
et puis notre organisation du travail
avec avec denis du coup on s'était un
peu l'objet aussi de l'association
c'était de partager le temps de travail
et on est arrivé un rythme où on bosse
globalement en baisse à 2 du 15 avril au
15 septembre et le reste de l'année on
on est sur des périodes de 15 jours 15
jours donc un jour de repos 15 jours de
boulot donc ça marche depuis 2010 à peu
près comme ça ce qui nous mène
directement aux engrais verts donc moi
j'ai une expérience de l'engrais vert
depuis une dizaine d'années avec avec du
sorgho j'ai commencé à faire ça parce
que on est aussi suivi par un conseil
technique qui s'appelle le cdl le comité
départemental de développement légumiers
et puis à l'époque il ya un technicien
qui ne faisaient pas tiens c'est pas mal
de faire des engrais verts faut tu
devrais essayer ça ça pouvait rien pour
na des problématiques de pathogènes du
sol tassement du sol
et puis on voyait pas tout ce qu'il y
avait derrière non plus on avait une
vision assez assez limité de l'engrais
vert aux et bompas avait occupé le sol
ça va habiter peut-être que les éléments
se dessine peut-être que c'est c'est
vraiment ces dernières années où on sent
tous les cas on reconnaît où on comprend
tous les bienfaits d'un d'un cerveau
cela dit comme je t'ai pas trop têtu moi
je dis bah ouais ok je te samedi sur
vous et puis on verra après
ensuite on est passé au couvert d'hiver
depuis une petite dizaine d'années 7 8
ans là c'est plus haut ce que je voyais
mes cultures d'automne où mes cultures
d'été qui partait et puis plus rien
derrière plus rien sauf de l'herbe sauf
des voilà ce que enfin du mouron des
choses comme ça puis après je me suis
dit bah mince et c'est peut-être un peu
dommage on pourrait peut-être profiter
de cette surface là pour enfin de cette
surface libre et puis plutôt que ce soit
de l'air qui pousse voir quelque chose
avec une biomasse plus importante et
puis ce qui nous a conduit à faire des
des mélanges céréales légumineuses et
auparavant comme on comprenait pas trop
l'intérêt des engrais verts on avait
tendance à les casser assez tôt on les
casse et en février mars
on faisait un petit labour ont un petit
travail du sol pour faire pour se
rassurer pour pour dans l'idée d'avoir
un itinéraire à ces pratiques insolent
pratique à reprendre au printemps un
petit peu plus tard et alors que la
démarche aujourd'hui c'est plutôt de
dire on pousse le l'engrais vert au
maximum de danse à biomasse et puis
c'est vraiment juste avant qu on essaye
de le casser
et puis de réimplanter la culture en
suivant maintenant ce qu'on cherchait
plutôt de la biomasse et et du carbone
on a cherché à simplifier toutes nos
rotations pour nous c'était plus
pratique on a essayé de créer un système
assez pratique pour pour visualiser pour
visualiser les choses alors je vous
parlais tout à l'heure en plein champ et
sur trois parcelles donc là j'ai juste
un petit schéma ou ce qu'on appelle
parcelles 1 2 et 3 ça peut être aussi
les années 1 2 et 3 pour la personne
numéro un groupe à son numéro deux donc
si je si je commence par un bouge je
vais commencer par le dans la parcelle
un les cultures d'été donc les cultures
d'été ça peut être
on commence par les oignons l'ail et les
échalotes
ensuite les salades les haricots melons
courgettes donc toutes ces cultures là
vont finir avant le 25 septembre au 25
septembre sauf lé courage de foi qui
mène un petit peu plus loin mais du coup
j'ai aimé la partager mais pas par
j'aimais dans cette parcelle là mais je
ressens quelque chose un petit peu plus
tard donc généralement 25 septembre
toute cette surface est libre et ça me
permet de semer un engrais verts divers
travers divers ou d'automne automne
hiver printemps
l'idée c'est de lui faire suivre un
cycle jusqu au mois de mai de l'année
d'après au mois de mai de l'année après
on est sur des cultures d'hiver donc ça
va être pour des cultures de carottes
poireaux choux des radis rave des
chicorées des choses comme ça des des
cultures qui peuvent mener jusqu'au
printemps suivant donc on est sur la
parcelle numéro 3 ou sur l'année numéro
3 et dans les cultures d'hiver il ya
certaines surfaces qui se libère aussi
assez tôt à l'automne
je pense fort à dire à veau aux carottes
qu'on arrache maintenant c'est tôt en
saison
c'est au mois d'octobre novembre ce qui
me permettent de re se met aussi un
mélange sans attendre le printemps de
ressemer un mélange féveroles seigle et
de deux de gagner un petit peu du temps
après je parlerai aussi des cultures
intermédiaires entre guillemets de
concerts à travers le poireau ou les
choux
donc on arrive au printemps de l'année 3
ou
on est sur des fins de cultures d'hiver
ou sur des début de cycle d'engrais
verts quand on était gosses mais enfin
de en fin d'hiver
et là je sème je leur prépare le trail
le sol un petit peu rapidement et je
ressèment un second forage et donc le
sorgho lui il va il va rester trois
quatre mois en place et après ceux sur
go on reprend un engrais verts divers
qui va du coup on retourne au départ un
engrais verts divers qui va finir sa
course au mois de mars avril
voilà donc on peut commencer par
occulter au départ où travaille un peu
le sol enfin il ya plusieurs formes pour
pour préparer le terrain dans l'est dans
les serres c'est un petit peu différent
on je disais donc on a deux îlots de
2500 m² et ces deux îles dont on peut
partir sur le mois de juin on commence
où le mois d'avril
on peut même y implanter commence à y
implanter des cultures d'été dans les
cultures d'été j'arrive aussi à mettre
des quelques fois du sorgho dans les
allées de avec les tomates avec les
poivrons aubergines des choses comme ça
après ces cultures d'été se suivent des
cultures de printemps
donc c'est pareil des fois suivant les
dates de libération du terrain on a le
temps de semer quelque chose comme il de
la moutarde la phacélie ou ou et
moutarde phacélie je n'oublie donc le on
a peu de temps parce que cc on est en
plein hiver du coup on est entre le 15
novembre et nos besoins pour les
cultures de printemps c'est jusqu'au 15
février donc à deux trois mois mais
c'est là où il ya le moins de
température le moins de soleil donc
produire de la biomasse à cette saison
c'est pas toujours justifiées c'est
après chacun peut voir en fonction de
ces conditions son temps la
disponibilité de graines ou pas
et donc après les cultures de printemps
on a souvent culture le printemps ça
peut être des petits pois sous serre ça
peut être des salades précoce sap est
des haricots sous serre aussi de
généralement toutes ces cultures là
finissent courant enfin je débute jaune
de début juin des pommes de terre
nouvelles aussi qu'on peut insérer dans
la course c'est assez curieux ces
cultures la finisse avant le mois de
juin juillet des concerts de libre je
l'harcèlement sorgho et le sorgho
lee fait et comme séance air il avait
conditions qui sont plutôt idéal donc
ils poussent assez rapidement en en deux
mois à partir du 15 août on peut
commencer à casser le sorgho et puis a
commencé à réimplanter des cultures
d'automne mais on peut aussi laisser le
sorgho jusqu'au mois de septembre voire
octobre si on n'a pas besoin de la serre
tout de suite après le sorgho comme
c'est une plante qui a besoin de chaleur
à partir du mois de fin septembre et
commence à voir sa croissance qui réduit
fortement
donc voilà je sais pas si c'est ce
schéma assez clair pour tout le monde
c'est un peu notre base pour notre
fonctionnement
alors comment on s'y prend je disais
tout à l'heure qu'on est en travail du
sol ça certains avantages certains
inconvénients
je suis conscient conscient des
inconvénients mais en l'occurrence ça me
permet de pousser la biomasse jusqu'au
maximum dans le temps et puis de leur
préparer juste avec un coût de passage
de broyeurs ou automates heures ensuite
tout la majorité découverts
enfin même tous les couverts sans semer
à la volée donc ils sont semer à la
volée à partir du 10 mai pour le sorgho
en plein champ et puis après je disais
la deuxième étape pour après les
cultures d'été ou après le sorgho c'est
à partir du 25 septembre dans tous les
cas j'essaie de rouler les couverts pour
faire adhérer la graine à la terre par
rapport aux problématiques de limaces où
elles peuvent se retrouver un peu bloqué
par sous les petites mottes de terre
donc ça limite les dégâts
j'ai essayé aussi de semer à la volée
directement dans le sorgho de broyer le
sorgho par dessus
bon on a quand même moins de densité de
couverts les féveroles en plus de mal à
s'en sortir
après tout dépend c'était un essai de
cette année en fin de set de ceux de
sète de cet automne donc c'est peut-être
essayer pour voir si vraiment c'est
convaincant ou quoi si c'est justifié
ce qui éviterait un travail du sol mais
on a quand même cette année sur
l'expérience de cette année on a quand
même eu moins de densité de l'engrais
vert que sur les autres modalités
et puis alors dernière chose là c'est
pour prier pour qu'il tombe de l'eau
parce que c'est vrai qu'un engrais verts
qui démarre assez rapidement c'est sur
ces époques là on faut pas perdre trop
de temps quand on avoir rendu au 25
septembre
c'est c'est pas la limite pour se mettre
au vert mais il faut toujours on peut
toujours gagner de la biomasse en le
seulement un mois plus tôt en fait dès
que vous avez un sol qui se retrouvent
libres nous si on peut le faire avant on
le fait avant eux aussi 25 septembre
c'est un peu la date butoir alors
l'essentiel de nos coûts vers l'été dt
je parlais du c'était c'est le sorgho
essentiellement parce que c'est ce qui
produit le plus de biomasse en un temps
s'est réduit
ça pourrait être du maïs ou si c'est
pour être des choses comme ça du
sairgroup que j'associe des fois que du
trèfle d'alexandrie
alors le trèfle lui va trouver sa place
que s'il trouve de l'humidité donc
encore une fois suivant les régions
le xiii peut se développer ou pas et le
sorgho en tous les cas on le broie au
moins une fois en cours de en cours de
saison généralement si cinq six semaines
après le sommet ça permet
de broyer les annuelles si ce que le
sorgho il se développe très très
lentement dans le premier mois la fin
entre mai et juin
et du coup il peut y avoir des annuel
qui passe à travers et le fait de broyer
le sorgho une fois ça permet de casser
toutes ces annuel et puis le sorgho ça
lui permet de re talent et en fait il
repart d'une branche qui repart sur
trois quatre branches 5 6 branches et ça
lui donne de la puissance je le droit
entre alors ça m'arrive de le faire à 5
10 cm mais on peut le faire à 10 20
quand je le droit généralement il lui
même il a une hauteur de 50 cm à peu
près au bout d'un mois et demi au bout
de cinq six semaines donc si je sème
autour du 10 15 mai on se retrouve à 15
20 juin pareil en serre même si c'est un
petit peu plus tard toujours l'idée de
royer puis refaire talent est donc
l'objectif de cet engrais verts la de ce
coup vers là c'est plutôt de créer de la
paille de créer du carbone ce qu'on peut
espérer en plein champ alors après ça
dépend aussi de ce qu'il ya dans le sol
mais on peut se perdre à 10 tonnes 19 9
à 12 tonnes ça peut aussi déjà 10 tonnes
c'est pas mal et on peut passer à 15
tonnes en serre 12 15 tonnes assez
facilement le deuxième effet kiss cool
c'est sait qu'il peut il permet de
décompacter le sol
il ya un système racinaire qui est très
très puissant et quand on est derrière
des cultures d'hiver où on passe l'hiver
déjà dans les conditions un peu humide
dans les sols argileux ou matraques un
peu le sol eh ben c'est vraiment un
une culture qui suit qui est vraiment
très importante pour des compacts et le
sol pour pour repartir sur du sud sur un
bon travail sur un sol très travaillé
ensuite en cultures d'hiver là on est
plus sur des mélanges le mélange de base
c'est la féverole j'ai marqué quelques
dosage quelques indications de prix
après ça dépend vraiment de chacun d'eux
ce qu'ils trouvent
chez des voisins les commandes groupées
dans des chais des fournisseurs je pars
sur des mélanges donc à base de féverole
laisse enfin pour moi essentiellement
féveroles on part sur 150 kg ha cela je
continue sur des légumineuses avec le
trèfle incarnat gens mais une dizaine de
kilos trèfle score aux hommes une
dizaine de kilos donc tous et tous ces
dosages je pense qu on est un peu sonné
surdosé par rapport à ce qu'on pourrait
trouver dans la culture de deux grandes
cultures fin des systèmes de grandes
cultures
on est sûrement surdosé mais comme on
s'aime à la volée on a quand même un
taux de perte qui est qui est supérieur
et puis après c'est une question de
densité on est là aussi on fait un
couvert pour avoir la biomasse pour
avoir donc plutôt que d'avoir une folle
tous les trente centimètres de temps en
avoir une tous les dix centimètres donc
je pense que c'est un faux pas hésité à
charger à charger en dosage et puis à
retrouver en une bonne quantité de
biomasse dès le départ ce qui couvrent
le sol assez rapidement aussi
donc voilà dans les mélanges on intègre
dehors des chinois de la vaysse phacélie
et du seigle forestière sur ça m'arrive
aussi de mettre de l'avoine en mélange
donc on réduit un peu le seigle le sec
dans ces cas là les graminées comme le
seigle ou l'avoine plus on la semto plus
attal rapt
enfin plus létale dans son nom son truc
dans son cycle donc du coup faut faut
savoir aussi diminuer un petit peu la
part des graminées si si on veut pas se
retrouver qu'un peu trop bayeux a cassé
au mois de mai le pour l'objectif
l'objectif de ce mélange là c'est plutôt
de c'est un mélange enrichi en
légumineuses
donc apporter plus tôt de la dynamique
au sol au printemps et si on laisse
aller jusqu'au mois de mai au 15 mai
c'est là où le généralement le seigle de
chez nous il fleurit à cette saison on
est sur des on peut arriver à des
quantités de 10 tonnes au 15 mai et
alors qu'un mois plus tôt au 15 avril on
est plutôt sur 5,6 tonnes j'ai des
photos derrière une photo de ce qu'on
pourrait trouver aujourd'hui la photo et
de la semaine dernière ensuite ce qu'on
pourrait retrouver au mois d'avril au 10
avril
donc voilà une petite graduation la ccc
sur un mètre donc le couvert fait 50
centimètres d'eau au 10 avril et au 15
mai voilà on arrive tout de suite à des
trucs pas loin de 2 mètres avec une
assez forte biomasse pour revenir à ce
qu'on fait aussi c'est que au semi de ce
mélange là au 25 septembre
depuis cette année on a on a quand même
compléter la ration pour le sol avec un
peu de fumier et puis un peu de déchets
de bois en fait c'est des déchets de
plaquettes forestières tout ce qu'il ya
en le tri qu'il ya en dessous de 1 cm 5
c'est ce qu'on a trouvé a pris à ces
mots derrière je serai toujours un peu
plus cher mais on n'a pas des comme dans
certains endroits où le composent
à 2,03 euros mètre cube n'ont pas la
chance d'avoir sa part chez nous où il
ya pas de compost ou et si on n'a pas la
surface parce que tout c'est tout ce que
j'ai dit que là en fait c'est aussi
parce qu'on a on a 50 % de la surface on
permettre se réserver 50 % de la surface
pour faire un engrais vert d'été donc
c'est ce qui permet de mettre en route
ce cycle là pour ceux qui ont moins
d'espacé qui ont eu moins d'espacé ou
moins de temps disposer pour les pour
les rêveurs nous ce qu'on essaye de
faire céder culture enfin des
intercultures du coup depuis deux trois
ans des seuils de semer du trèfle
incarnat soit dans des choux dans des
poireaux dans les fenouils chicorée
c'est un trèfle qui va se développer
jusqu'au printemps
il va faire sa petite vie et au
printemps peut on peut estimer à 3 4 5
tonnes de matière sèche et là on est
dans les cultures d'hiver donc on après
ça on retrouve un cerveau de toute
manière l'autre l'autre solution c'est
de semer le couvert juste avant
l'arrachage canton quand on arrache les
poireaux quand on arrache les carottes
quand on arrache la d re dis on je sème
à la volée avant un mélange légumineuses
légumineuses enfin féveroles sec
généralement parce que c'est ce qui sait
ce qui peut se met assez tardivement
même si on sème au mois de janvier
pratiquement on peut encore retrouvé une
certaine biomasse au mois d'avril et
du coup voilà je sème à la volée et puis
le fait de travailler le sol soit en
arrachant la culture de poireaux soit en
passant une lame si on arrache les
carottes
voilà le simple fait de travailler le
sol piétinées voilà ça recouvre un peu
les ça recouvre les graines et puis du
coup bas il a peut-être qu'une moitié
qui va lever c'est encore une fois faux
positifs surdosé mais le soleil aussi
que occupé par par quelque chose qui
pousse comme une plante qui pousse sous
comme je l'indiquais tout alors le
sorgho on ne réserve pas que en plein
dans les cultures dedans que ça sous
serre ou en en plein champ on l'essaie
aussi dans l'est dans les allées du coup
là le convient un peu différemment
laisse-moi poussé pour que ce soit des
gens mais dans les allées de tomates de
poivrons aubergines de choses comme ça
on peut ça peut être un support c'est
intéressant parce que c'est des halles
et enfin donc c'est des zones qui sont
assez piétiner et le système du sorgho
le système racinaire il supporte très
bien le tassement le piétinement et du
coup alors on trouve ça intéressant
alors on passe de trois fois la tondeuse
dans la saison tondeuse ou
débroussailleuses et on arrive à avoir
une super structure
quand on a arraché les tomates ou canton
du cours les arrange plus on les broie
sur place mais voilà enfin culture on
arrive à avoir une
le seul la lumière a été optimisé celle
qui vient du soleil là ça a été
optimisée et puis ça permet de
d'avoir une plante qui pousse au lieu
d'avoir un seul nu le sorgho il supporte
regarde quasiment oui oui oui ça va ce
qu'il lui faut c'est le lancer avec des
arrosages en plein au départ une fois
qu'il ya implanté
il supporte bien la sécheresse ou si
j'avais essayé avec des trèfles et jusqu
aux as mais en fait trèfle blanc ou
trèfle de perth
le trèfle sicile a pas de si la pâte
flotte il il pousse pas quoi il repart
qu'au printemps qu'à l'automne quand on
arrose et sert après la culture de
tomates mais c'est plutôt ça nous
intéresse vraiment l'idée c'est de
profiter de la saison d'été de la
lumière de l'été pour pouvoir profiter
de gagner l'énergie quoi on l'entretient
non même si ça fait vingt centimètres
c'est pas grave on laisse pas pousser à
2 m mais un passage à l'étroit passage
dans la saison ça je pense même que
comme on le broie c'est souvent
il refait d'autant plus de racines je
pense que ce qui m'est pas au dessus il
le met en dessous ce qui est intéressant
avec le sorgho c'est que on parle de
l'agglo malines enfin de tous ces
supports qui tourne autour de la racine
c'est c'est vraiment quand on arrache le
sorgho canton nord-est le racing même en
conditions sèches on voit vraiment une
gaine autour de la racine qui s'est
vraiment très visuel donc voilà
l'exemple dans ce que ça peut donner
dans les choux kohout dans les choux ou
dans après l'arrachage de carottes
encore une fois je vous dis hein faut
pas hésiter enfin pour moi je pense
qu'il faut pas hésiter à surdose et là
dans ces cas-là en trèfle incarnat on
est peut-être 20 kg ha je sais pas c'est
ma main c'est c'est ma main et mon saut
je sais pas et puis des fois on finit le
sac alors on en met un peu plus et si
voilà si on voulait refaire un rapide
bilan de du cycle sur ces trois années
là bon c'est pour essayer de calculer
les biomasses c'est pour donner un
indice dans le premier degré vers ce qu
on pourrait estimer
on pourrait être dix tonnes de matière
sèche par hectare
dans donc après après ces cultures
d'hiver en orange là on pourrait avoir
aussi le résidu de descendre et vert
qu'on retrouve dans les poireaux dans
les choux et tout ça l'âge est estimé à
3 tonnes ensuite on a le l'engrais vert
d'été le sorgho lui aussi on pourrait
estimer à une dizaine de tonnes de
matière sèche par hectare et puis un
dernier le deuxième engrais verts divers
qui lui comme on le casse assez tôt
parce qu'on veut récupérer le terrain
généralement à partir du mois de mars
avril donc voilà il ya quand même on
pousse un peu moins loin que celui de
que le précédent andré vers divers donc
on peut estimer à 5 tonnes donc voilà je
pense ce fin ça peut paraître
intéressant de produire quand même 28
tonnes de biomasse aérienne si on
rajoute un petit un petit truc pour la
biomasse racinaire on peut arriver à 40
tonnes de matière sèche
après jouer s calculé si on arrive à
faire des correspondances avec les
autres c'est pas si facile que ça mais
bon derrière ça je pense qu'il y aura
des restitutions qui peuvent être
intéressantes quand même donc on est on
est toujours un travail du sol et
parallèlement à ça on fait quand même on
a un petit jardin à côté où on fait des
essais de cultures sous couvert donc
voilà on parle des choses qui poussent
en positive mais je veux aussi vous
parler des choses qui sont plus
négatives parce que c'est pour des
accidents de parcours c'est que c'est
juste pour bien prendre en compte le
fait que on met pas envie entre
guillemets un sol si rapidement qu'on
voudrait le souhaitez là les essais que
j'ai fait ces deux d'implanter un
couvert donc divers d'automne mon
mélange à peu près avec + jeudi de tiges
creuses quand même de rouler et
d'implanter en direct alors j'ai fait
des essais sur des choux des choux
poireaux ceneri et puis une autre
modalité avec des courges melon salade
avec des couverts broyer découvert
rouler découvert payet avec un paillage
plastique et si on peut faire une
analyse un bilan c'est qu'en fait depuis
qu'on travaille pour le sol il ya moins
de minéralisation aussi il n'ya pas un
stock assez important quand on va
prendre un seul comme ça directement et
lui faire faire découvert c'est à dire
produire la biomasse produire le carbone
sur place et puis le lait c'est
l'intérêt de la paille c'est qu'elle
occulte le sol mais tant qu'elle est en
paille et au dessus du sol
elle est pas pour le sol et pour les
pour l'activité biologique du sol donc
on n'a pas les restitutions en gros le
couvert il appelait j'ai beaucoup
d'azoté et pour la culture de vente qui
suivent en fait on se retrouve assez
limité
donc ce qui ce qui veut dire est ce que
ce qu'il faut à mon avis faire c'est
blindé avant le sol avec une matière
organique
et puis pas brûler les étapes
faux faux faux absolument chargé en
carbone en azote aussi le seul enfin
activé la vie pour que l'on puisse avoir
des restitutions qui viennent
naturellement une minéralisation sang
oxygéné sol sans s'oxyder par un travail
du sol ensuite dans les essais y avait
d'autres choses qui m'ont perturbé c'est
aussi on a eu une saison assez sèche
cet été et du coup moi j'ai dans mes
essais j'ai arrosé comme goutte à goutte
et le goutte à goutte c'est ça peut être
bien dans la seule travailler parce
qu'on a un but le dock est assez assez
qui forment plutôt mieux comme la forme
d'une goutte d'eau ou d'un
d'un ballon et en sol non travaillée on
fait dans le lot percole delà des 100
plus facilement c'est ce qu'on demande
au sol aussi fins et l'intérêt des
racines mais du coup je pense que on
arrive - humecter le seul an sur au
moins sur la surface que qu'un seul
travail et donc je pense c'était une
combinaison de plusieurs problèmes de
plusieurs soucis à la fois l'arrosage et
puis de vouloir créer le paillage in
situ sur un sol qui est bancal et en
même temps ce conte ce qu'on voulait
mettre au point enfin au point où au
moins essayé c'était 2-2 d'essayer de
mécaniser ça donc derrière ça il y avait
aussi eu l'idée de de travailler sur sur
des outillages et puis de m d'essayer de
comprendre les choses d'essayer de
bricoler des outils ou d'adapter des
outils pour pouvoir planter semer
directement donc là juste de trois
outils que j'ai bricolé un rouleau faca
et puis après un petit peu plus bas
lasser c'est juste sur une scène une
plante super préfère donc j'avais adapté
des disques qu'outre devant pour couper
le paillage et puis devant le souk de
plantations on avait juste une dent qui
qui travaillait un petit peu juste
devant le soc pour éviter de supporter
au souk tout là tout le côté ferme de la
terre alors ça ça marche très bien dans
un paillage vert mais comme moi mon sort
mon ma culture de mon engrais verts gelé
rouler au mois de mai et j'ai planter
les choux et les poireaux quand
il a tombé moins d'eau là c'est à dire
enfin fin juin fin juin début juillet le
paillage et essec et du coup on arrive à
des bourrages avec ce système là on
arrive à des bourrages donc ça c'est ça
marche très bien d'un paillage vert si
on couche on plante ça marche si on
attend un mois et demi le paillage celle
initiée et du coup cette soluce cette
solution ne marche pas ce qui nous amène
à réfléchir à trouver des variétés qui
fleurissent au moment où on en a envie
en l'occurrence si on veut planter des
poireaux au mois de juin donc on va
essayer de trouver des variétés ou des
espèces qui fleurissent tout au mois de
juin s'agit pas d'avoir une légumineuse
qui viennent à grain au mois de mai
c'est un peu gênant et que la céréale
soit immature mois de fin juin donc
l'idée de de groupe et cette floraison
de trouver des espaces qui est une
floraison groupe et c'est un travail qui
vaut faire donc ça peut être plus à
travailler à une plus tôt avec des
triticale que des singles qui sont trop
précoce ça peut être voilà il ya plein
de solutions à trouver
ce qui pourrait être aussi sympa c'est
continuer à trouver des espèces
couvre-sol pour pour des espèces qu'ils
ne viendraient pas forcément en
concurrence avec les cultures d'hiver ou
des choses comme ça ou des dents les
poireaux mais qui voilà qui pourrait
apporter un petit plus un couvre-sol en
côté couvre-sol et puis
continuez à chercher des variétés ou des
espèces qui font du carbone plus
rapidement possible dans la saison
estivale donc nous on est parti sur la
piste du sorgho après voilà il ya des
maillys soucis et des maïs bio masse des
choses comme ça qui font beaucoup de
voilà qui apporte beaucoup de carbone
la juste un petit exemple entre deux
variétés de sorgho sango fourrage et du
piper qu'on trouve assez facilement
et puis l'autre du sorgho biomasse qui
sert notamment aux usines de
méthanisation pour dans certains coins
on voit une grosse différence de
biomasse
là encore c'était en cours de pouce moi
je les broyer quand ça commence et on va
en la broyé quand on a commencé à
soulever les bâches
après se pose la question de le dire
comment le terrain après si on prend un
terrain et où comment réimplante des
choses dedans puisque ça ressemble plus
à du maïs du coup que que des tiges film
de blake wade cannes de blé donc voilà
il ya plusieurs s'il ya plusieurs
variétés à plusieurs solutions mais il
ya aussi plusieurs complications dans la
reprise du travail
oui oui parce que le sorgho fourrager on
peut le broyer plusieurs fois on peut
brûler plusieurs fois alors que le
sorgho sucrier là où papier il aime peut
être rabattue
oui parce que la dhos quoi la gelée se
met au sol noir et bram six mois c'était
un message essayer ça en plein champ et
en serre du coup c'était vraiment pas
l'année non plus pour avoir du sorgho
comme ça ça c'est ce qu'on disait tout à
l'heure c'est des formule 1 pour donc
les formule 1 ça va sur une piste de
course mais si c'est
si les conditions aussi manqué ici un
facteur limitant cissé lô où les
nutriments
il va pas se développer plus qu'un
sorgho fourrager que je trouve moi du
coup plus rustique et qui se développe
dans meilleures conditions voilà je
pense que j'ai fait le tour de la
présentation j'ai cru comprendre que
dieu va non c'est de cesser d'occuper le
terrain parce que je pense qu'on peut
pas tout faire avec les engrais verts je
pense que voilà le la solution les dents
d'en rapporter du paillage qui a besoin
de bien les faire
je dirais que ça apporte pas du tout les
mêmes choses non plus enfin le ce que
peut apporter les systèmes racinaires
par le décompactage des eiffel
le carbone que ça peut faire rentrer
dans le sol ou cisco la partie qu'on ne
voit pas j'ai indiqué un moment donné
j'ai quelques indications de prix là je
parle de 410 euros à l'hectare pour le
mélange en sort gros on est plutôt sur
une centaine et 80 à 100 euros
donc le budget sachant que on s'aime
tous les ans un hectare un hectare de
d'engrais verts divers le sorgho on en
met sur presque toute la totalité des
serres mais entre ce qu'on met entre les
rangs et sur la demie on est à cinq
milles plus le plain-chant ouais bah on
est un hectare aussi donc on est à 400
on est à 6 700 peut-être 800 euros de
coût de semences sur l'année par rapport
à la paille ouais je sais pas 88
je me suis pas limité à me dire tiens
juste à correspondance paille
équivalence biomasse je pense vraiment
que ça apporte autre chose que il ya
vraiment d'autres intérêts j'ai fait
structure il ya l'effet racinaire il ya
là réseau réseau des positions il ya
c'est ça ne m'empêche pas si je dans les
essais ou à l'avenir de paille et si je
dois un moment donné à portée du carbon
for a rapporté de la paille ou une autre
matière mais l'avantagé du travail du
sol c'est pour l'instant que je trouve
c'est qu'on peut implanter facilement
une andré vert est le cas c'est vraiment
au dernier moment
est-ce que c'est lié au fait que vous
êtes encore encore une chose je le fais
deux si vous et qui prendra vie du sol
par un cerveau par mois je pense que ça
s'entretient quoi c'est une fertilité
qui s'entretient
ouais c'est sorti deux cd déchets de
plaquettes forestières de chute pour le
chauffage
vas tu sais tout ce qui est en dessous
de moins d'un centimètre 5 de diamètre
et donc c'est à ses fins comme élément
ça va entre de la sueur cdd chez des
corses et des déchets de donc c'est pas
composté ou pas beaucoup enfin très peu
composter et voilà c'est la matière
carbonée que j'ai trouvé pas trop loin
de chez moi
votre cher c'est ce qu'ont promis que
j'ai trouvée après je peux chercher
autre chose demain
ça me gêne pas là c'était un peu
l'opportunité j'ai fait venir un camion
et puis le fumier c'est c'est pour avoir
un peu de paille aussi en surface donc
cet effet là c'était aussi pour couvrir
un peu les graines en plus de coût du
passage du rouleau
et puis je me disais aussi si j'ai une
faim d'azoté à avoir avec le carbone que
je rapporte autant l'avoir au mois de
septembre octobre novembre décembre la
queue que au printemps donc je ne
trouvais plus judicieux de la porter à
l'automne que qu'au printemps
je me trompe peut-être
ces mélanges ces espèces je sais plus je
regarde où c'est ce qui se fait en
agriculture de conservation dans les
mélanges biomax que peut proposer
certains gars comme jean frédéric thomas
ou des choses comme ça de toute façon la
féverole pour nous dans nos coince et
c'est ce qui je pense que permet de
produire le plus de biomasse sur cette
période là ce que je cherchais aussi
c'est la complémentarité si des fois la
féverole a gelé
je compte sur le trèfle incarnat le
score aux hommes pour reprendre le
relais avec l'avait souci je pense que
la baisse à la peau pris la porte au
prix cher place et c'est toujours c'est
une assurance entre guillemets on en
plus on va se mettre chose ça va être un
peu que le meilleur gagne et puis si
lyonnais qui qui gèle en cours de route
il ya du coup ça va laisser place à de
la lumière et puis le trèfle le trèfle
si la pole lumière il va pas beaucoup
pousser mais s'il du coup il ya plus de
féverole je pense que c'est lui qui va
remporter la bataille avec avec un peu
d'impôts devait simple de jeu mais aussi
des poids de temps en temps ce temps
mort
problème
[Applaudissements]

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