Semis direct, agroforesterie et bio-électronique vincent - Entretien avec Stephane GATTI

De Triple Performance
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Sommaire :

1.1 : Présentation de la ferme  : 0:00:23

1.2 : Description de la rotation : 0:11:40

1.3 : ITK des cultures mises en place : 0:12:13

1.4 : Description des traitements alternatifs : 0:38:44

1.5 : Description de la Bio-Electronique Vincent: 0:42:34

1.6 : Faire des mesures de BEV au champ : 0:51:15

1.7 : Agroforesterie : 0:54:18

1.8 : Présentation de l’association C.T.V : 1:13:06

1.9 : Description du matériel utilisé sur la ferme 1:20:08


Stephane Gatti est membre de l'association "Cultivons une terre vivante" (CTV), dont l'objectif est de promouvoir l'agriculture de régénération, l'agroforesterie ainsi que de faciliter le circuit court de déchets verts.

http://cultivonsuneterrevivante.e-monsite.com/

Transcriptions

bonjour à tous je présente stéphane

gatti donc koné sur la commune de la
plume dans le lot-et-garonne à pamiers
l'eau et d'agen une dizaine de
kilomètres d'alger donc la ferme fait
115 hectares la plupart en argilo
calcaire avec on a une petite parcelle
de 10 hectares avec un petit peu bolbec
et donc il ya de l'irrigation sur la
ferme mais qu'on utilise peu la

Afficher la suite

pluviométrie est autour de 750 mm à la

mener voilà et donc corner sur une
parcelle où il ya de l'agroforesterie
depuis 2012 et sur la ferme il y à 40
hectares en agroforesterie donc moi je
me suis installé en 95 j'ai repris la
ferme de mes parents
il y avait 80 ha j'ai racheté 40
hectares de plus des parcelles qui était
attenante à la ferme où il y avait une
ouais il y avait 25 parcelles et de ses
40 hectares médecin parcelles en a fait
une parcelle
donc on l'arraché on a supprimé quelques
petits fossés pour pouvoir faire qu'une
qu'une parcelle assez grande
donc je me suis installé en 95 mon père
a pris la pré-retraite mon oncle est
décédé dans l'année qui a suivi
et donc je me suis retrouvé seul à
travailler cette ferme où il y avait pas
mal de production de semences notamment
des vétérans au porte graine des oignons
des carottes du persil et on avait
également des productions plein champs
de légumes notamment les artichauts
donc j'ai arrêté tout c'est production
énergivores à main d'oeuvre et on a
conservé quelques cultures en semences
notamment les céréales
donc là on a réussi à avoir des contrats
de semences avec happy l'espagne qui est
pas bien loin pour faire du blé des pois
et de triticale en semaine
donc pour pouvoir diminuer la demande à
ce qu'on avait trouvé intéressant
c'était de donner mais diminuer le temps
d'intervention pour réaliser les travaux
sur la ferme donc on j'avais acheté un
outil le cema bator donkey un gros
retard à tort avec une caisse de semis
dessus qui permettait de semer à semer
quasiment toutes les graines avec ce
seul ce mois à part les maïs en ligne
est un homme qu'on avait une rotation
maïs fait drôle et blé on avait une
rotation à trois cultures et donc dans
nos sols argileux on essayait de faire
les semis assez tôt pour pas être
pénalisés au moment à l'automne pour
pouvoir faire les semis et on avait même
adapté un chauffe qu'elle sonne pour
pouvoir passer même en condition à un
peu humide donc après après ça moi donc
cherchant à diminuer à
les travaux mécaniques et b on s'est
rendu compte qu'il y avait des pratiques
des techniques culturales simplifiées
donc que je me suis abonnée quand je me
suis installé à la chambre d'agriculture
il y avait la revue tcs et qui
commençait et donc je crois que je suis
abonné depuis le début quasiment donc il
ya que j'ai 80 tcs et donc où j'ai pu
apprendre avec ça et de ma coopérative
de ma coopérative locale je suis passé à
une coopérative un petit peu gersoise
donc notamment avec un gros coup j'ai pu
rencontrer marie josée blasien qui nous
a permis de bien travailler sur les
couverts végétaux donc de l'approché tcs
on est passé aux couverts végétaux
notamment à partir de 2001 où il ya eu
les c était eux et donc l'avait laissé
tueur c'est l'objectif était de mettre
en place
ainsi pendant qu'un piège à nitrates
pendant l'hiver avaler maïs
donc j'avais toujours une une vingtaine
d'hectares où entre 20 et 30 hectares
qui était fait de cette façon là avec un
piège à nitrates mis en place à
l'automne et détruit au printemps pour
pouvoir mettre un maïs derrière donc au
début les quelques conseils qu'on
pouvait avoir
il fallait trouver des cipan donc
c'était donc des pièges à nitrates donc
été préconisée découvert de graminées
donc pour info mon la première année
j'avais j'avais sollicité la ddea pour
savoir qu'est ce que je pouvais mettre
en place et donc il n'avait pas trop
d'infos et eni au niveau de la chambre
et comme j'avais des production de
semences et j'avais du petit blé je vais
le petit blé que je sortais de ma
récolte pour mieux le commercialiser et
donc je me suis servi de ces purges de
blé pour pouvoir en semences et les ces
parcelles pour qu'ils allaient avoir le
maïs derrière donc la problématique des
graminées sais que c'est pas très facile
à détruire mécanique d'alès sol froid ça
laisse un paillage froid et donc on
était au début on essayait un petit peu
tous donc suite à cette première année
j'ai redemandé la ddea pour savoir s'il
y avait quelque chose de nouveau et si
je pouvais recommencer avec mes purge de
blé et là ils m'ont dit non à
l'interdiction
le blé n'est pas une graminées
fourragères donc je me suis retrouvé un
petit peu coincé dans mon malheur cette
même année j'avais produit du triticale
semences pour épiler gascogne et donc je
me suis retrouvé avec des purges de ces
critiques allaient donc gelé j'ai soumis
l'idée de deux ferme ainsi peint avec ce
triticale donc là j'ai eu à l'as des as
de la musique connaissait minutes et
après ils m'ont dit oui vous pouvez
puisque le triticale et de graminées
fourragères donc depuis je les appelle
plus et je fais tout ce qui nous passe
par la tête
et donc aujourd'hui on en est arrivé à
faire des doubles couvert donc on fait
un couvert d'été un coup vers divers
voilà donc cette approche là maintenant
et je dirais maîtrisé et après on est
passé à l'agroforesterie donc on est
passé à l'agroforesterie parce que en
2009 là il ya eu une formation avec
conrad treiber est mis en place par
caroline et verte avec gaia 30,2 sur
justement comment améliorer les sols et
donc on s'est retrouvé à plusieurs
agriculteurs et on s'est retrouvés un
jour par mois pendant est donc là on a
pu à échanger et apprendre les uns des
autres et on en est arrivé au fait qu'il
fallait couvrir au maximum le sol est
plutôt avec des des plantes qui ont un
taux de ligne le plus important possible
et donc on en est arrivé à ce double
couvert
et notamment avec du sorgho à balai que
j'avais pu récupérer pendant mes
vacances d'été chez lors d'un marché
local festif à vrai dire il y avait des
artisans qui vendaient leurs balais et
donc je me suis rapproché de ce monsieur
qui m'a en a discuté et donc lui la
graine à ça l'embêté et donc j'ai pu
récupérer quelques quelques sacs de ce
solo à balai que j'ai puis essayer et
ensuite on a vraiment acheter je dirais
une quantité assez importante pour
couvrir toutes nos parcelles avec ce
sorgho à bas les mélanger avec du
tournesol puisque il s'avère que le
tournesol poussé en plein été lorsqu'on
regardait les parcelles des oiseaux
lorsque c'était des chaumes et on voyait
des repousses de blé forcément mais
envoyer aussi des repousses de tournesol
donc on est parti sur un couvert d'été
un mélange sorgho à bas les tournesols
et des vs ou aux différents et donc
l'agroforesterie donc on a planté un an
trois fois les 40 hectares on a commencé
à implanter en 2012
ensuite en planter en 2000 donc ça c'est
en 2012 cette parcelle a donc là on a
planté 850 euros sur 17 hectares et avec
une diversité de 19 essences différentes
ensuite en 2015 on a planté un hectare
est donc là on en rajoute et beaucoup
plus de peupliers pour avait que dix
variétés de peupliers pour savoir si le
peuplier été adaptée aux coteaux et donc
c'est des variétés un petit peu
approprié à sa et en 2018 donc on a fini
notre
notre projet qui était de planter deux
mille arbres sur 40 hectares d'ici 2040
est donc là aussi on a rajouté huit
variétés de plus de deux peupliers
concernant donc les sols le taux de
matière organique est plutôt autour de
entre 2 et 2 et demie sur la plupart des
parcelles
donc on a fait de plus en plus de semis
direct et sera il ya eu une période
difficile on va dire mais on n'a pas
réussi à regagner l'activé sympa la
texture du sol comme en avaient
auparavant avait du travail
donc on a des sol très argileux lorsque
l'hiver ça se gorge d'eau n'arrive pas à
véhiculer cette eau est donc en est
reparti sur une fissuration
en profondeur profondeur à 30 cm sans
bouleverser le sol et tout en maintenant
donc l'activité biologique en surface
donc avec les vers de terre et et garder
le paillage tout ça en surface on
maintient toujours nos couvert aussi le
plus longtemps possible et on irait
peut-être c'est en train de s'essayer de
détruire les couverts végétaux et de les
incorporer dans les premiers centimètres
pour pour accentuer cette activité
biologique du sol
concernant les irrigations donc là on
irrigue quasiment plus et on bénéficie
grâce à l'association cultivant une
terre vivante 2 entre 600 et 800 tonnes
de déchets verts par an et donc on se
sert de cette matière aussi qui est
amenée sur les parcelles
donc on amène entre 20 et 30 tonnes à
l'hectare
une fois tous les cinq ou six ans le
suivant l'endroit où on positionnant ses
déchets verts donc ces déchets verts qui
sont pas compris
cherche pas à faire du compost on est
plutôt sur la proche brf
mais on est entre les deux donc nous on
l'appelait biofibre donc concernant les
cultures
donc on a une rotation aujourd'hui à ses
cultures on démarre mais ton avec
une
un colza donc fait un colza ensuite on
fait un blé tendre a ensuite on fait une
triticale
ensuite on fait un sorgho ensuite on
fait un soja et on vient faire une
féveroles derrière et a presque fait le
rôle on revient faire notre colza donc
on a une rotation à ces cultures
d'accord concernant le colza
ça fait quatre ans qu'on fait ça donc
c'est des colzas associés
donc on y met colza tournesol fénugrec
lentilles trèfle à lucerne alors colza
plutôt 5 kg tournesol
bon cette année on est allé un peu trop
on est montés revêt mais c'est trop il
faudrait rester à 5 kg fénugrec on était
à 58 5 kg fénugrec lentilles 5 kg aussi
et après les traits flux vers le nez à 3
kg chacun fertilisation donda ligne de
semis ont mais aussi du 18 46 on y met
50 kg ont fait de l'enrobage avec des
oligo lehmann type tmf où l'eau bleue de
paix rhdp et ensuite
notre parti est faite essentiellement
avec sulphate ammoniaque au printemps et
sûrs et donc sulphate ammoniaque on est
à 150 kg ha et sûrs et on essaye d'aller
suivante comment se comporter les colzas
mais on tourne à 150 unités en tout
d'azoté voilà c'est le seul un gris qui
sont amenés fongicides eux il n'ya pas
désherbage n'ya pas insecticide ya pas
après on cherche à travailler avec
l'occident réduction est donc avec cette
approche là on essaye plutôt des
produits que nos préparations qu'on se
fait et plutôt acide et réduit pour
pouvoir contrebalancer je dirais l'état
de santé de la planète si jamais il ya
une petite dérive donc sa cdc une
technique qu'on voudrait qu'on va mettre
en place et qu'on varie qu'on va sur
cette année c'est le rendement ça sera
entre 20 et 25 ans tôt alors c'est de la
semence achetée l'année d'avant qu'on
peut receler l'année d'après donc c'est
pour ça qu'on condamne syfy un petit peu
là là
le semis de colza l'inconvénient c'est
que
cette couverture en colza on a pu le
remarquer et toof et ne s'adresse pas
assez de luminosité pour les trèfles et
les luzernes donc l'objectif de cette
association c'était de maintenir la
luzerne pendant deux ou trois ans de
plus pour pouvoir la voir dans les blés
dans les tri tikal qui suivront mais
derrière
sauf qu'on n'a jamais pu avoir cette
couverture faite par les trèfles et
luzerne
on pense parce qu'il ya eu trop de
couverture par le colza ya pas d'un
petit limaces insecticides y en a plus
depuis 2000 e
9 peut-être oui 9 9 ou 10 désherbage on
a arrêté depuis cette année dernière ont
pas de rattrapage et et fongicides ça
fait trois ans qu'on a qu'on travaille
en pompier voilà on fait passer pas du
systématique et donc on chercherait
plutôt à stimuler et à rendre les
plantes vigoureuse avant qu'elles ne
subissent des dommages
on a eut fait du colza du classement
s'il y avait eu des des repousses de
féverole puisqu'on fait le colza après
les faits le rôle le semencier nous a
imposé de détruire ces faits le rôle au
milieu de ce que la semaine alors qu'il
y avait un bon comportement de ces deux
plantes la juste avant la juste avant la
floraison du colza donc 7 7 mais l'ajout
cette association la avait l'air
intéressante
les rendements peu élevés qu'on arrive à
faire on ne sais pas qu'est ce que c'est
qu'ils aient limitant le souci qu'on a
aujourd'hui qu'on retrouve dans les
parcelles dans la culture de colza on se
retrouve avait dû gagner dans les
cultures de blé on se retrouverait de
gagner donc de ce qu'on a pu apprendre
avait dû servent s'il ya du cahier c4
aux deux autres donc il va falloir
diminuer davantage les apports azotés ou
peut-être changer leur forme mais à
priori il y en a trop voilà et donc
c'est pour ça que de nos rotations à 6
culture on va passer plutôt à une
rotation beaucoup plus courte mais avec
des médailles voilà donc concernant le
blé tendre et le triticale on a eut fait
une année le triticale en deuxième payen
mais on a pu avoir une variété de blé
qui peut faire du blé sur blé notamment
leur grain et donc
de cette rotation colza blé triticale
maintenant on est sur une rotation colza
blé blé donc avec le regret non le 100 m
entre eux sans
70 à 180 kg ha c'est de la semence de
ferme trier a enrobé toujours pareil
avec eux quelques oligo éléments dans la
ligne de semis
il ya toujours du 18 46 48 à 50 kg ha
c'était se met dans découvert qu'ils
étaient détruits avec un peu de chimie
notamment le glyphosate et ensuite donc
là toujours pareil anti-limaces ya pas
insecticides n'ya pas désherbage il n'ya
pas depuis deux ans et fongicides il y
avait un petit peu mais on cherche à
mettre nos potion pour pour attraper les
déséquilibres et l'enrobage avait les
oligo-éléments fait ou d'autre chose ça
peut se faire à la bétonnière a qu'un
c'est des petits volumes
quand c'est des plus gros volumes j'ai
une unité de stockage et donc je mets
mes mai
mais mélange ou marron
ma semences dans la fosse qui ensuite
reprise et donc il ya un mélange qui se
fait de par ce brassage là et je le
rentre pose une question et de ce qu'est
sonne je laisse une petite ouverture je
fais couler juste de par le binôme avec
un petit robinet une certaine quantité
pour pouvoir faire un bateau n'avait
qu'un certain volume d'eau et de
préparation et ensuite je refais de
brassage de plus par les élévateurs et
une visite qu' il n'y a pas énormément
de cas si jamais on voit qu'il ya un peu
de casse et on augmente petit peu la
densité après deux semaines et les
mélanges et l'enrobage souvent comme ça
alors si tu veux à après cet apport dans
la ligne de semis de fertilisants on
rajoute sur les deux puisque la
maintenance et blé sur blé mais c'est
toujours pareil on fait donc sulfateuse
ammoniac et d urée donc là il suffit
d'un mot n'ya que donc on fait souvent
des double bande de celui donc c'est ce
qui nous permet de déclencher le premier
rapport on va dire en plein de sulphate
ammoniaque et ensuite lui réel est à
portée relativement tôt on va dire en
mars quoi fin février début mars ont
essayé d'amener à la quantité durée pour
arriver en moyenne entre 150 et 180
unités d'azoté total en est donc pour
faire des rendements on chercherait à
aller aux 70 quintaux 70 75
seulement on n'y arrive pas parce que
parce qu'on a encore ses mauvaises
herbes puisque alors moïse avant de
trier mais on assez adventices aux
plantes bio indicatrices et donc son
parce que c'est ça qui pénalise un petit
peu le rendement et on n'arrive pas à
corriger
on ne sait pas encore la méthode pour
pouvoir maintenir la plante un bon état
de santé et donc recherche donc
forcément on a quelques petits loupés et
c'est du travail aussi on n'a pas de
méthode encore fiable pour pour faire
ses observations la alors les seuls les
seuls 30 qu'on utilise son allure et qui
est apportée et ensuite les
oligo-éléments un enrobage de semences
et après c'est une opposition qu'on
convoque on fabrique un petit peu et
qu'on amène donc on fait des moues de
peine ont fait de leurs actes aux
fermentations on a un petit peu les les
micro organismes autochtones aux
bénéfique
donc tous ces produits là
on sait à peu près les faire mais on n'a
pas encore là on n'a pas validé les
applications et les concentrations
d'applications dont il ya pas de
raccourcisseur n'y a pas d'autres
éléments chimiques qui est qui est
inquiète à mener donc on n'est pas en
bio parce que parce que parce que on
veut toujours avoir la possibilité
d'utiliser le petit produit qui pourrait
peut-être à faible dose qui pourrait
peut-être arrangé mais mais si on
regarde un petit peu la présence de
gagner on sera bien content que cet
apport d'azoté minéral et ont peu
embêtante peut-être d'après ce qu'on a
pu apprendre
[Applaudissements]
l'urée est la forme la plus proche de la
nature donc
elle ne peut pas être
le risque c'est de la perdre par
évaporation et donc à la met tantôt ont
réduit ce phénomène là et on essaye
affaire on est sérieux on laisse un ex
porte pendant que le grain donc tout
après et laissé sur la sur le sol et
donc on a constamment un paillage
quelque chose qui est en train de se
dégrader et en fait le les azotes qu'ils
seraient présents sur la parcelle sont
utilisés et sont mobilisés pour pouvoir
dégrader ces matières et après être
relie béret pour les plantes qui
poussent dessus donc voilà on cherche à
développer le vivant et et tout ce qui
est mycorhiziens est très important donc
c'est pour ça qu'on est plutôt sur une
approche brf
on cherche plutôt à nourrir le sol et à
ce qu'il y ait un gros volant de
fertilité
plutôt que de nourrir la plante au
goutte à goutte ou en fractionnant
chaque fois qu'elles en auraient besoin
alors en ce qui concerne la récolte donc
ça c'est un voisin qui vient faire la
récolte est donc suivant le type de ceux
morts que l'on a on va faire une coupe
au tout une coupe bas ça donc si c'est
en ce moment a dit ce qu'on cherche à
couper la paillote si c'est ce mot radar
on va chercher à couper le plus bas
possible
voilà en fait on facilite la facilité de
réussir l'un semis avec un semoir à
disque c'est de ne pas avoir de paille
devant les disques summer qui vont faire
descendre la perle au fond du sillon et
si on positionne les graines sur la
paille est forcément ça va connaître
donc on cherche à couper au et donc avec
le sommer a dit ce qu'on arrive à plus
de facilité à faire le smi est donc
après derrière c'est rouler quand c'est
un semoir à disque on a aussi ce mois
adam depuis peu et donc on a essayé
derrière l'école dans l'année dernière
c'est
les tours ont été difficiles à faire
donc du coup on est reparti à
retravailler superficiellement pour
mélanger un petit peu c'est payet très
peu de terre donc on a passé un deal à
drive donc là c'est un outil avec deux
axes horizontaux avec des doigts qui
prennent appui la premier train prend
appui sur le sol et par d'un système de
chaînes et de pignons va faire tourner
un deuxième axe l'appareil avait les
mêmes doigts mais avec un pignon
beaucoup plus petit donc qu'il va
tourner trois fois plus vite que le
premier et donc par ce mouvement a donné
à 7
ce deuxième axe on va avoir une travail
superficiel qui va être fait on
maintient les pailles en surface et on
s'est rendu compte qu'on avait une
meilleure réussite du
du semis pour pouvoir réaliser le semis
avec un second radar et une meilleure
réussite de l'aspect du couvert
puisqu'on a pu mesurer qu'on a on a pu
atteindre 10 tonnes de matière sèche
avec un couvert ce mais pendant l'été et
qui a duré trois mois
et donc là derrière on avait roulé
également après le semis alors
concernant le sorgho le sort vous ici
mais après le deuxième bly donc on a
neuf mois entre la récolte du blé et le
semis du sorgho donc on fait un double
couvert donc un couvert d'été qui est
semé avec du sorgho à bâle
essentiellement donc voilà donc là on
est à plus tôt à 10 kg ha entre 10 et 15
kg même du tournesol de ferme à 15 kg
aussi on y rajoute des vestes et comme
on veut avoir la féverole durant l'hiver
on ne l'a même pas juste après la
récolte de blé et au moment du semis du
couvert d'été donc on a que ces trois
plantes là qui font toujours pareil à
entre 8 entre 8 et 9 tonnes de matière
sèche et donc au début octobre on va en
revenir dans cette parcelle pour pouvoir
semer la féverole un pur est donc là on
écrase avec un rouleau hatcher ou pas
des fois mais souvent geôliers parce que
ça permet de faciliter le semis
derrière puisqu'on on écrase dans le
sens du lancement puisqu'on a le rouleau
h heure devant le tracteur et le second
rang derrière et donc là on s'émeut la
féverole à la dose classique qu'on
pourrait récolter donc là c'est de la
castelle celle de la semence de ferme
aussi et on est à 150 kg ha et donc pour
pouvoir faire notre culture de soro au
mois de mars on commence à se poser la
question quand est-ce qu'on détruit la
féverole jusqu'à présent je faisais des
semis de sorgho direct dans les faits le
rôle et suivant les climato aimé ça peut
arriver jusqu'à fin avril début mai et
donc là par crainte de de vider l'eau du
sol par la féverole
nous a été conseillé plusieurs fois de
détruire cette féveroles d'abord avec un
voleur ou un broyeur ou une rotative et
après revenir pour faire les semis de
printemps de sorgho ou de ou de soja
il faut vraiment qu'on n'est que de la
féverole pour qu'elle vienne vraiment
noir pour qu'on ait un paillage noir
pour pouvoir ne pas avoir de graminées
je dirai qui et reste plaqué au sol qui
elle reste plaqué au sol et qui
maintient l'humidité dans nos sols
argileux
donc c'est pour ça qu'on réfléchit de
plus en plus à détruire ceux couverts au
printemps par broyage avec un message
derrière stiller automator et peut-être
rajouter des d un digesteur donc ce
fameux ce fameux les fameuses uem les
micro organismes autochtones on va dire
et ça c'est notre culte donc là on met
en place une autre culture de sorgho
donc la cse mais avec un semoir en 4 m
comme les autres les autres semi on
s'aime à 20 départements en dernier de
semis on stimule aussi avec du 18 46 et
ensuite ou juste avant une pluie on fait
nos apports durée pour compléter notre
fertilisation azotée pour atteindre les
100 entre 150 et 180 unités d'azoté au
total pour un rendement de 70 et aux 65
quintaux 1 sec
voilà donc ça on arrive à le faire pas
désherber pas de foin j side
et donc jusqu'à présent ont utilisé le
glyphosate lorsqu'on écrasé les cerveaux
rôle parce qu'il y en avait quelques
graminées des jeunes graminées qui
repartaient et donc avant de faire le
semi de sorgho ont passé du glyphosate
alors c'était du litre ou un litre et
demi au maximum à l'hectare voilà donc
c'est ce sont les seules applications et
la récolte se fait se fait hors octobre
et derrière on met en place un autre
couvert pour la culture de soja à
destination du cerveau se sont gaussés
dollar max à la variété donc la
particularité c'est que c'est un sort
aux roues et donc qui partait en
oisellerie avec une petite plus-value de
20 à 30 euros donc de mémoire l'année
dernière je crois qu'il est parti à 185
euros
voilà donc sur la ferme dans une unité
de stockage et de séchage d'auxi a
besoin dans le sèche
donc là on l'avait repasser un petit
coup au four pour pouvoir gagner trois
points dit militer alors là la
moissonneuse passe la moissonneuse passe
donc là c'est une paillote je dirais oui
si on récupère que les épis de sorgho et
ensuite on réalise le semis du couvert
pour la culture d'après avec un autre se
mord à disques dont concernant le soja
on le met en place après un couvert de
féverole don qui vient entre le sorgho
et le soja ont rajouté
à ce effet le rôle des graminées d'après
ce que nous disait c'est dit on avait un
grand intérêt à mettre du soja après des
graminées donc on met à voir et seigle
donc là cette année on est reparti mais
avec nos blés pour pouvoir faire cette
association
donc on sait mais ça a juste fait huit
jours après la récolte du sorgho donc ça
c'est courant octobre les doses pour les
fèves c'est autour de 100 kg et les
blessés étaient autour de 100 kg aussi
et donc pareil au printemps on vient
détruire donc là on détruit par rouleau
hatcher de vars et rotative est derrière
pour pouvoir réaliser le semis du soja
après donc l'inconvénient toujours
pareil de ces graminées c'est que ça
fait blanc au sol et ça maintient
l'humidité
on a essayé de faire les semis de soja
et le premier cela n'a pas pu lever
puisque on était toujours sur mon
raisonnement s'était il fallait se met
qui pleuvaient derrière pour qu'après il
y ait suffisamment de militer pour que
le soja puisse naître ou où les sordo et
notamment pour le soja
s'il vient à pleuvoir après donc le sol
se refroidit la graine de soja gonfle
commença à pouvoir démarrer sauf que ça
a été refroidi par la pluie et donc ça
met du temps à sortir et on a quelques
mouches qui passe et qui pondent
quelques asticots et qui nous mangent
donc l'intérieur du soja donc on a été
obligé de ressemer le soja ya deux ans
voilà donc c'était de la semence de
ferme
on en avait encore
on avait encore un stock donc ça nous a
pas trop pénalisés et donc là ensuite on
fait de l'enrobage toujours avec la tour
blanche pour pour mettre les l'inoculum
et après y'a rien d'autre
là aussi on est à 21 20 25 16 irrigation
malgré qu'un bios en soi une culture
facile puisqu'elle est souvent étriers
et biner pour certains nous on n'a fait
aucune intervention
donc c'est vrai qu'on se retrouve avec
pas mal d herbe on n'a pas réussi à fait
reprendre le dessus au soja
malgré qu on le sait m'avait cm
d'écartement sur les adventices où les
plantes bio indicatrices donc cette
année 2018 on a préféré ne pas récolter
le soja parce qu'ils
il saurait été coûteux par rapport à la
récolte qu'on aura une sortie donc on a
changé de rotation et donc on a supprimé
le soja de ste rose à sion pour
l'instant oui alors concerne la féverole
donc la féverole moi j'en ai acheté 150
kg en 95 pour faire pour semer une
parcelle et depuis j'ai constamment
conserver les récoltes pour les recevait
donc aujourd'hui on est toujours sur
cette variété qui était la castelle on
la sème a souvent on l'assommé après les
maïs mais on la soumet aussi derrière
les sorghos cela elle avait un très bon
très jolie comportement
les chiens étaient propres donc là ça
fait deux ans qu'on l'a fait derrière
les sojas c'est moins bien donc toujours
pareil on trie donc on a enlevé des
oligo éléments dans la lignée de semis
on a eut fait avec du 18 46 comme on en
avait encore après les blés on avait
essayé il n'y a pas grand intérêt à m et
donc voilà on la sème sa après les blés
donc c'est fin octobre ou début novembre
on en a eues se met même jusqu'en mars
dans les années
2000 avait quand même une récolte alors
la contrainte de la féverole c'est
qu'elle est très aléatoire par rapport
au rendement donc on a fait du 15
quintaux jusqu'à du 35 quintaux
voilà et donc voilà donc là aujourd'hui
on est sans insecticide puisque la
bouche
a priori a pas grand chose à différents
même si elle est dans la graine de
féverole elle ne perturbe pas une gêne
pas là la levée vu que c'est une très
grosse grêle c'est une des très grosses
graines en féverole et donc jusqu'à
présent en fin de ce qu'on s'est rendu
compte c'était que chaque fois comme
était de la féverole en association avec
des graminées
on avait un comportement
et un état sanitaire relativement 5 et
est jolie et qu'on a plus souvent réussi
non couverts que nos cultures et donc
cette année on a démarré à mettre en
place dans la plupart des parcelles donc
des médailles
donc aujourd'hui on est sur un mélange
féveroles blé donc on a gardé nos
variétés et on a semé sa 5 kilos de
fèves rôle est de 5 kg de blé alors sur
la destruction découvert d'abord on
essaye avec le gel donc là c'est pour ça
que le tournesol est intéressant c'est
la seule plante qu'on s'aime qui peut je
les mêmes d'anodin aux causes associées
il y avait le fait du grec peut être et
encore je crois qu'il est aidé à l'abri
il a pas réussi à geler apprécié d'une
mécanique par parole aux acheteurs donc
on enroule aux acheteurs de 4 mètres qui
est devant le tracteur et derrière on
allait souvent aussi en quatre mètres
donc des fois on faisait là un seul
passage ces deux techniques la la
contrainte du rouleau h heure c'est que
si on a des petites graminées on va pas
réussir à aller détruire quand on passe
le rôle au hrc pour pouvoir se met à
couvert
donc on a nos sorts globale et qui n'ont
pas arrivés à maturité qui sont
quasiment à la fleur les tournesols ont
fleuri et donc
même les graines ou déjà sont déjà
fermés formé par don et donc on vient
écraser sa donc là il n'y a pas de souci
les seules petites contraintes comme je
vous disais c'est ces quelques
redémarrage de graminées à qu'on
n'arrive pas à attraper avec le rôle
majeur donc c'est pour ça que au
printemps c'est là où c'est le plus
pénalisant pour nous on irait plutôt sur
une approche avec un broyage à l'avant
du tracteur donc là on serait plutôt en
trois mètres et avec un retard à tort
aussi derrière en 3 m et donc là il
reste plus qu'à à mettre notre digesteur
pour pouvoir améliorer la sauce va dire
et à la méthode de vin ce qui met en
avant un gain important taux de matière
organique et une moindre présence de
limaces et une moindre présence
d'adventices ans donc après après ce
passage là alors pour pour nos positions
ce qu'on fait on fait du mou de pain
donc à la façon
du cannet donc en fait c'est nous ce
qu'on se confesse et on récupère du peg
invendus et en le mélangeant avec de
l'eau de l'eau plutôt pur donc c'est
plus et de l'eau de pluie qu'on récupère
dans des cuves en plastique et ensuite
on y rajoute quelques ferman la tête cd
de la poudre de graines de seigle et
d'avoine germé qu'on récupère un siècle
et qu'on met dans la sto préparation là
et on la laisse évoluer pendant trois
semaines ou un mois et en fait
l'objectif c'est d'avoir un ph bas et
donc on est plutôt à trois et demi et
les 1000 volts avec un rh2 si possible
autour d'eux
entre 18 et 22 voilà pour le mou de pain
donc là j'ai depuis que j'ai rencontré
une autre personne qui fait ça mais qui
le fait elle avec pas dupe et 1 sec mais
qui prend de la farine et qui fait
plusieurs le zinc et qui multiplient
c'est le vin et qui fait une pâte et
c'est cette pâte ensuite qui est très
liquide très souple qui est rajoutée à
de l'eau pour pouvoir faire du le mot de
pain on est plus en approche du cannet
500 ressemble plus au cannet que ce que
nous ont fait je pense est ensuite
concernant les oem ou les micro
organismes autochtones bénéfique
en fait j'ai pu suivre une formation
maraîchage un sol vivant en dessous de
toulouse est donc là on a pu apprendre
d'eux par des gens du salvador et de
cuba leur pratique qui consiste à faire
ces fameuses m
avec les matières premières qui sont
proches de chez eux
donc en fait et récupérer des feuilles
dans les bois qui sont en décomposition
on y rajoute des sucres lents et les
sucres rapides donc on y rajoute du
sceau de la balle de riz ou du blé
entier ou de la voile
il ya différentes repos poursuit on a
respecté et ensuite c'est rajouter de la
mélasse
une certaine quantité d'eau pour avoir
une
cette quantité propice au développement
de ces champignons on met ça dans
dans une cuve ou un bidon honte à ceux
bien on met ça en anaérobie donc sans
air et on met un petit tuyau
d'échappement je dirais pour pouvoir
tromper dans une bouteille d'eau pour
que l'air puisse sortir mais ne puisse
pas rentrer donc il ya on évite
l'oxygène et donc se retrouve avec au
bout de moi une préparation solide qui
est ensuite prise et re dilué dans de
l'eau avec de la mélasse et suivant les
pays où les sources de besoin pour les
plantes sont rajoutés quelques quelques
éléments
donc voilà les différentes positions
qu'on peut utiliser la vitamine c
pourrait être intéressante justement
pour cet effet réducteur et acide
donc voilà il ya aussi des applications
qui sont faites avec ça alors la
bioélectronique vincent comment je les
ai découverts en fait oui c'est ça dans
notre association d'un cultivant une
terrifiante on a on communique donc tous
les tous les deuxièmes jeudis du mois on
fait des soirées vidéo débat et ça passe
par des vidéos sur l'agroforesterie ça
passe par quand la garonne aura soif la
santé dans nos assiettes et donc le
monde fait il y avait dix diverses
diverses et variées des vidéos et
notamment une qui s'appelait au water
aussi donc ça c'est les éditions jupiter
qui met un petit peu toutes ces vidéos
en place et donc dans nos rencontres on
a pu avoir des personnes notamment des
naturopathes qui nous ont rejoints et
qui ont été intéressés par cette
démarche là et on en rencontre et
sur youtube aussi un parent dit quand on
cherche on trouve
il ya notamment thierry casanova qui met
des vidéos en place sur régénère donc
communauté sur cette approche de
régénérescence des sols
on est tombé sur cette vidéo est une ça
nous a permis de voir que le corps
humain avait des principes de vie
il y avait des règles de vie et donc
c'est là que notre nappe qui repartent
noah liberté tu sais pas sur albi y
il ya une conférence ce qui est fait sur
le bien-être le bien être humain et il
ya notamment roger castel qui vient
faire une intervention un naturopathe
donc on s'est dit à quelques-uns et bien
allez on y va
donc on est parti à 4 ou 5 et donc on a
rencontré ce roger castel qui nous a
bien expliqué les principes de la
bioélectronique vincent donc qu'ils
aient les observations du paramètre du
vivant donc c'est le ph donc la valeur
du ph qui va de 0 à 14 et les mille
volts qu'on fait une formule de calcul
pour pouvoir établir le rh 2 donc il ya
une autre une autre comédie abscisses et
les aboutissants bas ordonné voilà et
donc là ça va 2
2-0 à 42,8 et donc aux mesures et les
1000 volts et ensuite il ya une autre
mesure à faire c'est sûr la conductivité
ou la résistivité et donc là il ya
d'autres appareils donc pour pouvoir il
ya des appareils de mesure tout simple
je dirais qu'ils sont utilisés pour
mettre au moins liquide dans un verre
puis on plonge le testeur de dingue
donc là on peut avoir le ph et les mini
vote
et puis après on peut en avoir un autre
ou des fois il ya même des appareils qui
arrive à faire les trois en même temps
et donc ça permet d'établir un cadre à
quatre cases et le bon état de santé est
forcément au milieu dans une zone plus
ou moins nos valeurs et si on arrive à
faire les mesures et être en dehors de
cette zone de confort de mon état de
santé
en fait on pas vers de la maladie ou
vers des champignons ouvert une
moisissure ou de pourriture et donc
l'objectif c'est que si on sort du cadre
c'est d'utiliser une potion on va dire
pour pouvoir le contrebalancer le
remettre dans la zone de confort et donc
c'est ce qu'on cherche à faire et c'est
ce qui nous a vu expliquer donc en fait
les mesures se font sur le sang
donc là on a besoin d'une infirmière et
d'un médecin pour pouvoir faire cette
mesure cette ce prélèvement et faire la
mesure après on fait ça sur la salive et
on fait ça sur les urines et donc on
avait mis en place avec notre
association une formation de deux jours
pour les adhérents et donc on avait fait
venir mais 2,5
dentiste et qu'il y avait un appareil
spécifique pour pouvoir faire ces
mesures là il y en avait que quatre ou
cinq en france de ces appareils là et
donc on a pu mettre en pratique ses
observations l'an en fait c'est parce
que il a une cellule de deux mesures
dans lesquelles il ya des les 3 capteurs
24 puisqu'il faut aussi la température
et il faut pas qu'ils aient de contact
avec l'air donc en fait c'est pour ça
que le sann de la vienne passer
directement de cette cellule de mesure
voilà et donc suite à ça et je lui dis à
angers alors oui ça d'accord j'ai on a
vu un petit peu les principes sur le
corps humain comment ça fonctionne
comment moi je peux m'en servir pour
l'agriculture est bien mais c'est pas
compliqué et à michel provoost qui a
joué les tours il fait ça durant ces
journées il est à la retraite et donc tu
peuvent prendre contact avec lui et il
te formera donc ce que j'ai fait en
rentrant j'ai pris rendez-vous avec
roger castel
j'ai décidé une personne de la faf donc
et qui est clément pop ou non à se
joindre à moi pour aller sur cette
formation donc on est partis tous les
deux on a passé trois fois deux jours à
joué-lès-tours poursuivre cette
information donc il nous a dégrossi tout
tout ce qu'il savait et tout ce qu'il a
mis en place avec la bioélectronique et
de vincent pour l'agriculture il a
publié aussi un livre il a quelques
revues et qui est diffusée et en
discutant après avec nos agriculteurs
locaux avec les uns et les autres il ya
moins d'eau nous on dit oui mais
pourtant ce rejet ce michel province ça
me parle ça me parle et en fait c'est
une personne qu'ils avaient déjà
rencontrés il ya une vingtaine d'années
et qui travaillait sur la réduction de
dose des intrants et d'oeufs et d'eau et
donc comme ils le connaissent et ont
lors d'un salon d'une conférence
du côté de tours on est allé le revoir
et donc ils se sont souvenus de certains
éléments et on arrive au bingo on va
faire une formation dans le
lot-et-garonne donc à la plume on a fait
ça et donc c'est michèle provost qui est
venu pour nous former et donc on a mis
en place une formation vivea sur six
jours et on a fait venir notre
nourriture aux patins et donc qu'il a
suivi lui aussi ses six jours là et à la
fin de cette formation il nous arrivait
t'inquiète pas la bioélectronique elle
nous permet de connaître le vivant de
connaître les paramètres du vivant que
ce soit pour une plante pour le sol pour
l'être humain donc du moment encore
on a vu qu'il y avait un moyen de
mesurer différents êtres vivants avaient
le même protocole aurait la même méthode
d'observation on s'est dit que ça doit
être fiable et cette même année où
j'avais suivi la formation a joué les
tours il y avait monsieur hudson olivier
mission qui était venu justement avec
marché un surveillant pour montrer ses
travaux et donc on voit qu'il ya des
travaux et qui sont là dessus et donc on
voudrait mettre en place ça et et ça a
été encore validé lors du forum à la
rencontre de l'eau il est intervenu
également à ce niveau-là et et là on est
en train de prendre contact avec 5e fête
avec notamment monsieur radigue pour
mettre en place une formation avec
quelques éleveurs qui sont autour de la
ferme
justement sur cette approche-là et pour
pour valider je dirais plus facilement
parce que surfer sur le corps humain
ça paraît compliqué parce qu'il ya il ya
beaucoup d'enjeux économiques et
derrière donc on veut pas trop y aller
sur les sols ça met du temps à réagir
peut-être ça la réaction est pas rapide
pour l'instant et sur les animaux ça
réagit rapidement on voit l'efficacité
rapide et donc on se dit bon on va
commencer avec les éleveurs de toute
façon les travaux avec les éleveurs ça
va voir on regarde l'état de santé de la
vache mais de suite on va regarder les
qualités de l'eau et ensuite on va
regarder la qualité des éléments qui
sont amenés à l'alimentation de la vache
et donc forcément on va aller au sol
donc tout à tout et à lyon bon alors
comment fait on pour pouvoir enregistrer
les valeurs bioélectronique de d'une
fève euros là alors nous ce qu'on fait
on prend les dernières feuilles
voilà on prend ces dernières feuilles on
utilise un prêt sai on met une petite
gaz au fond du pré sai on met les
feuilles recroquevillé le dard on
pressent avec le pressage et on récupère
quelques gouttes et donc on a du
matériel
alors ça s'appelle aqua twin je crois la
marque et donc avec deux gouttes on peut
mesurer le ph et les musiques volts de
cette fin le rôle et ensuite on bascule
les gouttes sur ou si on est encore dans
le pré sai dans le sur le compte du
trimestre et donc ça on peut le faire
maintenant avec uniquement de route
auparavant ce qu'on avait appris avec
michel provoost en fait on prend un plus
gros volume de feuilles et on les presse
avec son nom à un extracteur de jus et
on peut extraire le jus de des plantes
comme ça voilà parce que l'appareil de
mesure est plus évolué on a besoin de
plus de volumes plus de quantité sinon
il par la rencontre avec avec fait
frédéric andres qui travaille pour éco
nature donc lui travaillé sur la proche
clocher et donc il en appareils et le 30
50 le consort 30 50 et donc lui c'est
pareil il a il faut une certaine
quantité de liquide pour pouvoir plonger
les sondes mais là on a d une précision
plus importante mais en fait non on s'en
sert pour comparer en fait ils somment a
validé le fait que c'était très
compliqué d'avoir une valeur précise de
ces paramètres bioélectronique à un
moment t nous ce qu'on cherche c'est à
comparer une féveroles qui aurait reçu
un produit et une autre féveroles qui a
reçu un autre produit donc on se sert de
la différence pour savoir quel est
l'état de santé de l'une et de l'autre
des féveroles et d'un suivant
l'application qu'on a fait auparavant
on se dit c'est cette application là
qu'il faut qu'ils amènent le meilleur
état de santé pour la plante au moment
où on pressent si tu veux ça tombe ça
tombe sur la cellule de mesure
donc il ya l'effet d'oxydation de par
l'air mais il est pareil pour la femme
qui à côté
donc on ne se sert pas de cette valeur
pour dire ceci reste valeur pour dire
dans trois mois à mai trois mois après
on a eu les valeurs qui ont bougé parce
qu'en fait il ya plein d'autres
paramètres à prendre en compte qui font
que ça joue sur les paramètres
bioélectronique c'est uniquement un
comparaison donc concernant
l'agroforesterie
notre projet c'est est de planter deux
mille arbres sur 40 ha ha d'ici 2040
on a fait les plantations en trois
tronçons pour pouvoir étaler le
travailler pour pouvoir améliorer ce qui
aurait à améliorer suivant les ce qu on
aurait rencontré donc on a commencé en
2002 en 2012 cependant sur cette
parcelle
on a planté 2 850 m sur 17 hectares donc
ça fait à peu près de 50 euros l'hectare
un peuplement
on a dix neuf espèces différentes - les
arts je les connais pas tous encore et
donc j'avais la chance est d'avoir une
stagiaire qui s'appelle charlotte
d'abonnés qui aimait les arbres et qui
elle en 2011 je lui ai demandé de faire
le tour de la ferme et d'identifier
toutes les essences d'arbres qu'elle
aura pu rencontrer et donc on s'est
servi de cette première liste qu'on a
transmis à ses vrais l'envoyer qui a qui
fait partie d'un paysage de 3par dont
agriculture en aquitaine à l'agriculture
aquitaine et qui fait partie aussi de la
faf
voilà et donc il ya une liste principale
et une liste secondaire donc on a fait
rentrer certain pourcentage pour pouvoir
soumettre notre projet aux financements
européens départementales et régionales
donc on a eu 70 % de financement pour
cette première
lente à sion et comme c'était un petit
peu innovant en aquitaine j'ai été élu
premier défendre en 2012
donc les fadas c'est la fondation pour
une agriculture durable en aquitaine et
donc qu'on a pu percevoir 2000 euros qui
nous a donc financé à 100 % à la
plantation donc les alignements d'arbres
sont orientés sud nord les écartements
on a 25 médecins quand donc on avait 2 4
m pour la culture et un médecin quand
pour l'arbre et les arbres sont plantés
sur la ligne à six mètres les uns des
autres
on a gardé entre la bordure du champ et
le premier arbre 27 mètres pour être un
petit peu plus tranquille si jamais les
pourtours viendrait à avoir de la haie
et donc ces espaces moment-là son
sont calés par rapport aux outils
agricoles donc on cherche à avoir des
multiples de 3 à 4 mètres pour pour la
plupart des plantations à
l'agroforesterie
donc ça c'était un 2012 en 2015 on a
poursuivi la plantation avec 11 hectares
de plus et donc là on en rajoute et dix
variétés de peupliers donc en fait on
avait dix lignes et sur chaque ligne on
a planté une variété de peupliers en
plus des arbres agroforestier on va dire
la particularité de ces de ces peupliers
c'est qu'ils sont adaptés à se
développer dans les sols de coteaux et
donc avec de bonnes réussites pour le
pour ces peupliers qu'on a planté en
2018 on a également planté les six
meilleurs peupliers qui se sont
développées depuis 2015 et on en rajoute
et 4 4 nouvelles variétés à tester donc
ça c'est l'entreprise monsieur paulo

sur nérac qui est qui qui met en

place c'est à ces peupliers
l'objectif c'est de faire des peupliers
droit assez gros pour pouvoir faire du
du déroulé donc pour faire du
contreplaqué et en fait le déroulé va
pouvoir se faire jusqu'au noyau de noyau
2 6 cm de diamètre donc on cherche à ne
pas avoir donné ou et donc de branches
dans les premiers mètres de l'arbre
donc on fait systématiquement de la
taille des arbres tous les ans pour la
totalité des arbres
tous les arbres ont été plantés par de
la mécanique a fait avec une planteuse
on dira donc c'est celle de jack delozzo
qui nous a prêté ou qui est venu pour
réaliser les plantations et donc il ya
systématiquement le piquet fils et en
protection des arbres en fait les
armements entre 20 cm et à m
de long avec des racines qui forment des
x 25 août 27 10 mètres et ensuite il ya
du paillage et qui est systématiquement
fait donc la première affaire a mené on
avait fait de modalités on avait fait un
passage avec delà de la paille des dés
de la grosse boîte rectangulaire avec
une tranche fait à la tronçonneuse sur
une partie est en fait on se sert du pic
est planté dans le sol pour pouvoir
enrobé l'arbre ça le ca me coucher quoi
et l'autre modalités on s'est servi donc
de notre biofibre pour pouvoir faire le
voyage est donc là on a mis un volume de
à peu près 5 100 ou 120 litres
donc c'est des déchets verts qui sont
broyés donc dedans il ya de l'attenté
mais il ya de la branche aussi s'est
distribué avec un épandeur à fumier à
fumier pour verger et donc il ya une
distribution le latéral qui est faite
aussi et donc c'est ce qui nous permet
de mettre un petit avant un petit tas
après l'arbre et après on vient juste
avec une fourche ou un b 4 pour pouvoir
faire un joli rond tout autour de
l'arbre est ensuite l'arbre et laisser
tel quel donc les préparations qui ont
été faites auparavant il ya eu un
passage de souffleuse
le plus profond possible dans
l'alignement des arbres et ensuite il ya
eu le passage de notre retard à 33 m
mais couplé avec un parent appelons donc
en fait c'est on a gardé on n'a conservé
que deux dames michelle et donc pour
pouvoir soulever un petit peu le sol
passer leurs hôtes amateurs en même
temps pour faire fin et on a même semé
différentes espèces de plantes pour
pouvoir faire la bande enherbée donc en
fait en deux passages le passage de
souffleuses et le passage de la michel
avec le retard à tort on a mis en place
la
ça à l'automne pour réaliser les
plantations d'arbres donc on a fait ça
ici c'était le 3 mars 2012
là c'était le 10 mars 2015
et ça a été le 22 mars 2018 voilà un
2018 on a passé la souffleuse en bordure
des arbres ce que noah conseil monsieur
polony notamment par rapport aux
peupliers
donc c'est des peupliers il ya qui ont
été plantés en fait il ya eu une grosse
grille qui sans accent pour pouvoir
préparer la plantation du peuplier et
ensuite le peuplier c'est des cdd des
branches qui font quatre ou cinq mètres
de haut et qu'on enfonce le sol donc
plus on arrive à les enfoncer est
profondément à un mètre voire plus mieux
c est en fait ce qu'on s'est rendu
compte c'est que ces peupliers plantés
de cette façon là n'avaient pas de
racines latérales
contrairement à d'autres peupliers qui
ont été plantés en 2001 2012 qui étaient
des racines nues donc des jeunes
peupliers de dengue qui ont émis des
racines latéralement donc cela on a pu
les claques et en fait l'objectif c'est
d'avoir tout le temps quelque chose qui
pousse au pied des arbres pour obliger
l'arbre à émettre ses racines à plus
profondément que les racines des
cultures et donc c'est pour ça qu'on
était déjà sur cette approche-là donc ça
ne nous a pas bouleverser nos pratiques
des cultures lorsqu'on a mis ses
alignements da alors concernant la perte
on a eu de la perte sur les plantations
en 2012 car le filet qui nous avaient
été commercialisés pendant des à mon
avis n'était pas le moment le bon modèle
où le le modèle de filet agroforestier
n'existait peut-être pas souvent là donc
on a quand même une présence importante
de chevreuil et on a eu pas mal de
de casser de mortalité dû au chevreuil
bon ça a tourné ici on va dire entre 5
et 8% de casse de cas ça parce qu'il ya
on a eu aussi deux mille 2013 2013 je
crois un été très sec
on n'avait pas réalisé les semis de
suite après la récolte des blés et les
couverts ne sont pas très bien développé
et donc le seul endroit où les campagnes
ont le plus trouvé de l'humidité
c'était au pied des arbres voire contre
le tronc de l'arbre est en fait à
l'intérieur du filet il avait
suffisamment de place pour pouvoir
arriver à grignoter et à monter donc on
a eu des 30 cm de tron qui ont été
rongés par les campagnols et on a eu
notamment deux ou trois merisier qui
n'ont pas supporté
c'est juste une histoire d'éligibilité
pour le financement donc si tu veux je
peux revenir sur un financement
concernant la plantation 2015 là il n'y
avait pas de financement ni département
ni en europe et donc on a bénéficié de
l'association goodplanet qui est
chapeauté par yann arthus bertrand et
donc on a eu 80 % de financement pour
cette plantation là et là notamment
certains gars si coca cola qui a acquis
à financer donc on a pris ces
financements là et en 2018 donc le la
région est revenue à la possibilité de
financer des parcelles en agroforesterie
pour la mise en place et c'est toujours
pareil c'est que de la mise en place le
financement et n'est donnée que pour la
mise en place de rapaces et alain rault
foresterie pas pour le maintien est donc
là on a pu avoir 8 euros à l'arbre
planté qui couvrent qui couvre les frais
de
de la mise en place de la halle à part
c'est un wagon foresterie
alors donc ça c'est un peuplier qui a
été mis en place au mois de mars 2015
et donc on a profité de dix lignes aux
arbres qui ont été plantés en 2015 pour
faire pour essayer d'y variétés
différentes de peupliers donc là on a
notamment et 7 ce peupliers qui et qui
porte un nom un turbo et donc c'est
l'entreprise de monsieur polony qui qui
met en place c'est ce type de peupliers
donc là il n'y a pas eu d'irrigation n'y
a pas eu d'arrosage
si ce n'est la première année où on est
passé pour sécuriser pendant l'été la
prise des arbres donc on a arrosé
l'équivalent de 20 litres litres d'eau
au pied de au pied de l'arbre
voilà donc ça ça nécessite de la taille
tous les ans et plus que puisque les
arbres autres agroforestier parce qu'il
pousse très très très vite
et comme c'était des dés lorsqu'on la
plante il faisait déjà quatre ou cinq
mètres de haut et auparavant sur l'autre
plantations on avait mis des tuyaux
d'arrosage avec un perchoir 1 go en bois
pour robin et obliger les les rapaces à
venir se percher au plus haut des armes
pour pouvoir attraper les campagnols et
voilà il ya un lien ci bas et donc ça a
très bien marché et vu qu'on avait c'est
perchoir en hauteur et donc on s'est dit
pourquoi pas se passer des perchoirs vu
qu'on aura les peupliers et c'est vrai
que les peupliers nous en servir le
perchoir pour les rapaces sauf qu'ils
nous ont occasionné de la casse sur les
parties hautes et donc on a pas mal de
peupliers avec une fourche sur la partie
haute qu'on m'a rattrapé à la longue
mais ça nécessite de la taille en partie
haute qui est pas toujours facile à
faire
voilà
donc là l'objectif c'est de tester ces
dix variétés de peupliers pour au bout
de 15 ou 20 ans à avoir une bille
de commercialisation donc c'est d'être
en somme je crois de 3 mètres 50
donc qui va être âpre et dérouler et
donc pour faire du contreplaqué pour
faire la feuille qui fait les parois les
extrêmes et les parties extérieures du
contreplaqué
donc on cherche à avoir une bille la
plus droite possible ça ne qui va être
déroulé jusqu'à six centimètres de
diamètre pour pouvoir faire du
contreplaqué donc ça il ya notamment
bien garni kaki dans le lot-et-garonne
qui est une entreprise qui est une usine
de dérouler de contreplaqué alors dans
le futur os on a encore des parcelles
qui sont bien orientés pour pour faire
encore de l'agroforesterie le peuplier
nous sommes très intéressant et donc
dans les dernières plantations qu'on a
fait on a mis davantage de peupliers en
fait on a mis je dirais entre deux
arbres agroforestier classique on a mis
un peuplier et donc on a fait plusieurs
modalités on a fait on a fait ça sur
trois trois arbres successivement et on
n'a pas mis les peupliers les trois
emplacements et suivant pour voir
l'effet je dirais brise-vent nous ou
comportement des cultures au pied de ces
peupliers et ensuite on a on a fait une
plantation un rang un peuplier un oui et
non oui un non un oui ou un non
et après on a fait 1 8 le temps donc on
a plusieurs modalités de mise en place
de ces peupliers dans des parcelles en
agroforesterie on est déjà sur un
chargement je dirais de 50 arbres à
l'hectare si on rajoute 50 peupliers
électron peut atteindre les 5 laisse un
arbre à l'hectare donc est
commercialisée au bout des 20 ans
les premiers peupliers et comme ça on
conserverait les lézards ou agro
forestiers je dirais classique pour une
durée plus longue
a priori on pourrait aussi conserver les
peupliers pour qu'ils grossissent
d'avantagé et donc on n'aurait pas
replanter d'autres peupliers tout en
laissant ces peupliers là sur une durée
de 30 ans ou 40 ans alors concernant le
rendement des cultures on n'a pas pu
voir une différence par rapport à la
culture en plein le rendement en blé est
moins important sur cette parcelle parce
qu'il n'y a pas de blessé mais sur la
ligne down après de toute façon ça sera
toujours un équilibre
on sait très bien que une parcelle en
agroforesterie bros produit beaucoup
plus de biomasse qu'une parcelle soit
culture soit canard m'implanter en forêt
donc ce que occasionnerait la perte due
à l'arbre si on a moins de blier on aura
une production plus importante de
l'arbre d'assez par celle là il n'y a
pas de perte
donc là on est dans la même parcelle qui
a été planté en 2015
et donc on a essayé aussi de faire de la
plantation de peupliers mais en boutures
donc là en fait on avait juste des des
bouts de branche
trop de sonner de mettre 20 est en fait
tous les ans en france est de mettre
quasiment il sortit plus que 20 cm et
donc on a laissé partir tous les départs
de peupliers et après on en a
sélectionné un et aujourd'hui on a cet
arbre là qui va pas faire on pense et
qui va rattraper les peupliers qu'on a
planté 2 4 mètres 50
mais il va leur falloir encore quatre ou
cinq ans pour pouvoir venir au même
niveau
donc en fait ca c c'est un peuplier qui
demande plus de travail de taille
contrairement aux autres mais à la
plantation c'est moins coûteux de
réaliser cette ce schéma de plantation
voilà donc on peut faire aussi de la
bouture de peupliers après on peut faire
aussi avec des sols et il ya des arbres
qui sont appropriés à pouvoir faire de
la bouture moi ça m'est arrivé les
premières années lorsque je faisais de
la taille de pouvoir récupérer une
brèche je me suis dit tu es plutôt que
de la jeter comme ça je les planter un
pays aux deux plus loin et en fait il a
pris est en fait les chevreuils viennent
de se faire les cornes dessus il
s'occupe de cela et ils me laissent
tranquille celui ci donc celui ci pour
le protéger il a été mis des trois
arbres de faire donc plutôt que d'avoir
un fils et cdc comme du fer à béton un
peu plus fin mais avec des pics et donc
les chevreuils viennent se frotter à ça
et ils ne font pas longtemps ils s'en
vont l'inconvénient c'est que à la
longue ça peut se planter dans la pousse
de l'arbre vient aux deux par dessus de
le faire donc ça peut rentrer dans le
tronc et ensuite si jamais ils sont
arrachés ça peut venir dans la partie je
dirais culture et on ne peut les
rattraper après avec les outils où elle
est seulement voilà contrainte
ça nécessite plus de travail alors c'est
évident on l'a constitué en 2011 avec
notamment charlotte d'agonie parce qu'on
est allé rencontrer la déchetterie avec
les élus de l'intercommunalité de la
plume qui gérait la déchetterie de brax
qui est à 1,6 km d'ici on est allé la
rencontrer parce qu'on avait ce projet
de plantation à l'agroforesterie on
avait besoin de ces déchets verts pour
pouvoir faire le paillage et donc
lorsqu'on les a rencontrés ils nous ont
dit que c'était une démarche sympa que
ça les embellir le territoire que ça
serait sympa et ils nous ont remerciés
et on est parti et donc là la stagiaire
elle faisait des bombes comme ça et m'a
dit c'est pas possible c'est pas
possible il faut qu'on fasse quelque
chose
donc elle m'a dit mais il faut on va
constituer une association et on va les
rencontrer et puis par l' approche
économique on va essayer de savoir
exactement qu'est ce que ça coûte et
donc là on est revenu les revoir à
l'agglo à pardon à l'intercommunalité de
la pub est donc là on leur a demandé le
budget qui était attribué à au
traitement des déchets verts est donc là
ils nous ont dit que ça coûtait 30 2
euros la tonne et donc nous on leur a
dit à 15 euros la tonne on peut faire ce
qu'on vous a présenté donc là ils ont
été d'accord et donc on est passé sur
une condamnation pour une durée de trois
ans et on récupère entre 600 et 800
tonnes de déchets verts par an donc on
fait ça depuis l'automne 2011 et donc
l'association a pour but justement de de
faire une de proposer le
le recyclage des déchets verts un
circuit court et donc on entrepose sur
la ferme ses déchets verts qui sont
ensuite après à disposition des
adhérents
une fois qu'ils ont été broyés donc ces
déchets verts sont utilisés pour le
paillage des arbres qui sont plaints
terre l'agroforesterie qui sont aussi
utilisés pour le paillage des vignes qui
sont plantés pour planter de loyer en
bordure des parcelles agricoles mais
aussi dans les bordures dans l'est et de
bordure de parcelle de maison lorsqu'ils
ont des jardins et ensuite on a aussi
des adhérents qui aime bien utiliser ces
déchets verts pour faire leur jardin
donc ils font des jardins sans bêche et
sans motoculteurs et donc on apporte une
vingtaine de centimètres de ce biofibre
et on met ça sur de l'herbe et on
démarre le jardin comme ça par le toit
cultivant une terre vivante a mis en
place aussi des réunions mensuelles donc
tous les deuxièmes jeudis du mois on se
rencontre notamment au foyer rural a
plus ou en diffuse une vidéo et ensuite
derrière et on échange entre nous entre
d'autres personnes ou avec des
intervenants extérieurs
donc ça c'est quelque chose qu'on a mis
en place dès le début ce qui nous a
permis d'apprendre notamment avec
stefania ça oui toutes ces vidéos sur
les avec solaire notamment les belles et
jardins sa bêche et son motoculteur
donc pendant une année on l'a regardé
ces vidéos là et donc les adhérents ont
dit bon on est d'accord c'est bien on a
compris mais maintenant comment on fait
pour mettre en pratique est donc là on a
pris une ligne d'arbre et on a mis en
place et des petits jardins de mètres de
large sur 5 mètres de long ou quatre
mètres de long et un autre avec eux le
biofilm et on a commencé à mettre en
pratique du jardinage comme ça sur nos
lignes d'arbres donc ça nous a permis de
communiquer sur les jardins su aussi sur
l'agroforesterie et ça nous a permis de
sensibiliser pas mal de gens assez
approche-là donc on connaît les
avantages et des sols toujours couverts
et jamais travaillé et donc avec les
agriculteurs et ailleurs on communique
aussi à ce niveau là et donc ça nous a
permis de nous rattacher au programme
agro agr re à vue et donc dont on fait
partie depuis le début et ça nous a
permis de fédérer des groupes
d'agriculteurs et de nous retrouver
régulièrement pour pouvoir répondre à
nos problématiques et mettre en essais
les ce que souhaite chaque agriculteur
dont cultivant une terre vivante à
disposition des dvd des livres qu'on met
à disposition et on a pu acquérir du
matériel pour pouvoir observer la
bioélectronique de 25
donc on a différents outils de petit
outil pour pouvoir faire ça et on
participe aussi à l'acquisition des
tracteurs de jus donc si les gens sont
intéressés de à consommer plutôt des jus
de fruits et de légumes crus et bien
l'association participe à l'acquisition
de ces extracteurs de jus et ensuite on
fait plusieurs animations durant l'année
pour pouvoir communiquer sur cette
approche-là sur commande produire plus
avec moins d'un train on va dire que
l'on cherche à mettre en place et a
communiqué aujourd'hui sur le prd vais
donc pour une agriculture du vivant donc
c'est nous
nouvelle charte ou
je sais pas comment il faut l'appeler
mais ça va nous permettre de communiquer
sur la façon dont les produits sont
produits les aliments alors que ce soit
pour les animaux ou pour pour les
humains et nos de ce qu'on a pu voir
c'est que la bioélectronique et bien ça
me permet aussi de d'identifier un grain
de bonne qualité donc on arrive à
mesurer les paramètres du vivant d'un
grain donc en fait il est broyé il est
mis à tremper dans de l'eau la plus pure
possible et ensuite on extrait on fait
en fait on fait on fait du lait comme du
lait de soja ont fait du lieu d'un grain
de blé en fait de plusieurs grains de
blé et on arrive à connaître ces les
paramètres bio l'électronique de ce blé
l'a donc toujours pareil on le fait en
comparaison avec un autre pour pouvoir
voir la différence
on ne sait pas encore exactement quel
quelles sont les valeurs qu'il faudrait
avoir pouvoir déterminer les
performances de de ce grain là mais nous
en tant que consommateur on arriva à
pouvoir mesurer et voir la différence
donc si nous on arrive à le faire
peut-être que les consommateurs ou les
industriels pourront se rendre contre 2
de ces valeurs là et pourquoi pas en
prendre compte dans cette charte la et
pour les stars et le valoriser
l'objectif c'est quand même de valoriser
le produit qui a été fait avec ces
pratiques là dont concernant le matériel
l'agroforesterie nous a amenés à changer
un petit peu le matériel donc notamment
le plus élevé on avait un pull vert 18
mètres et donc on est passé à un pull
vert de 24 m voilà les seules
modifications qu'on a me qu'on a été
amené à faire pour pour l'agroforesterie
et ensuite on a acheté un petit
épandeurs à fumier vergers pour pouvoir
distribuer notre biofibre latéralement
et quelques sécateur et là je vois que
je vais passer au sécateur électrique
vu la quantité et la grosseur de
quelques brèches
concernant le semoir on est passés avec
des techniques culturales simplifiées
pour aller vers le semis direct
j'ai dû utiliser plusieurs ce mois donc
j'ai commencé avec le summer lull chine
sonne donc c'est un sport de nouvelle
zélande c'est un semoir à sac avec un t
inversé sur une queue de cochon et à
l'avant il y a des lignes de disques
droits pour pouvoir travailler chez le
sol et les résidus et ensuite la dame
passe dedans
enfin repasser dans cet e de 7 dans ce
district a tranché le sol et derrière on
a en rouleau qui ne remplit pas sur la
ligne de semis mais qui permet de faire
la distribution du grain et en fait
c'est une distribution dans les pages
c'est une éponge ronde qui tourne et on
a le fond de la trémie qui est biseautés
et le grès vient de se faire pincer et
c'est par ces rotations là que la
distribution et le débit est fait
j ai rencontré quelques difficultés dans
les maïs où ils avaient plus de
difficultés à passer
donc là il je l'avais en 3 m ensuite je
suis passé sur de l'isie drilles donc là
c'est chez suzuki donc là c'est l'
avantage c'était de d'avoir un point un
point d'appui à l'avant et un point
d'appui à l'arrière enfin en fait il ya
un point d'appui à l'avant et deux
points d'appui à l'arrière mais sur un
système de pivot et on a un disque
summer légèrement incliné avec une
descente a maintenu par un socle est
donc là l'inconvénient que j ai trouvé
c'est que c'est un gros trou de rat puis
à l'arrière dans nos sols argileux quand
cela devient un peu trop humide ça vient
vraiment plaqué dur là la graine dans le
sol et donc du coup on est passé sur du
bertini donc la d3 m on est passé en 4 m
vu que les semis direct pour mieux les
réussir il vaut mieux plutôt tourné
entre 3 et 4 kilomètres que 8 et 10 donc
on a dimensionné un peu plus large pour
pouvoir aller moins vite et pour pouvoir
avoir des débits de chantier toujours
aussi importante et donc là on a un
bertini donc on a un disque trancheur
légèrement alvéolaire à la vente qui est
solidaire un parallélogramme avec les
deux disques se meurt donc cédé 10 qui
sont très peu écarté pour minimiser le
fait de refermer avec les deux roues de
ras puis derrière qui vont appuyer le
grain de la terre et donc maintenir le
grain dans la terre donc moins on écarte
la terre lorsqu'on sait même plus c'est
simple de refermer
donc tout ça c'est sur un seul
parallélogramme donc tout est solidaire
c'est peut être un inconvénient mais ça
nous permet d'avoir une puissance de
pénétration importante vu que c'est
seulement lourde et en plein été on peut
accentuer la pression grâce à des
ressorts qu'on peut comprimer de plus en
plus on peut également le faire sur les
roues de ras puis derrière et on peut
aussi les incliner donc l'avantagé du
ver tennistique il a quatre trémie et
donc on peut mettre méthodes de
lentilles limaces derrière ou d'élus
vernon des trèfles sur une petite et
rémy et sur les grosses rémy on peut
mettre des fertilisants et dans l'autre
grosse être émis on peut mettre notre
ménage ou nos graines préparer ou à
enrober pour les semis donc on a pas mal
tourné avec ce bertini pendant quatre
ans et de par l'expérience des uns et
des autres et des réalisations faites
par des parts des semoirs adan
que se sont constitués les agriculteurs
et adapter les agriculteurs on est passé
sur un semoir à dan cela donc csd 15 04
qui est venu directement d'espagne est
donc là on a quatre poutres avec des dan
avec dégagement de 110 cm de haut et la
dengue qui s'aiment à une profondeur une
profondeur maintenu par une roue qui est
solidaire à la dalle est en fait cette 7
e roue permet de maintenir la profondeur
du soc se meurent plus et donc là on est
à 1 5 m de large
donc dans l'appartement agroforesterie
on a quelques croisements forcément mais
comme c'est souvent pour faire à
découvert c'est pénalisant et on se rend
compte que si on a des pratiques je
dirais avec des méteil en pratiquant des
méteil on se sera pas si pénalisant que
ça après les autres outils il ya un
épandeur d'angré d'un grand classique en
mettre 4 m on a une rotative aussi en 4
m pour détruire au printemps à les
couverts avec un rouleau watchers donc à
4 m donc ça c'est un gpu la marque c'est
un double rouleau sur 4 map market voilà
c'est ça la marque et donc on peut le
chargé par départ des masses pour être
un peu plus lourd si vraiment on l'a
beaucoup de végétation à détruire et si
on veut bien marquer ensuite on a un
un déchaumeur quatre os en effet m et
depuis peu le dinah drive donc là c'est
une libation un peu particulière en
trois mètres cinquante donc c'est pas
parce qu'il ya de mieux je dirais pour
un pour nos parcelles à mettre 4 mètres
1-0 il ya du rck heureusement il mais
c'est la seule contrainte c'est celle là
et depuis peu également on a un fils
orateurs donc là c'est un fils orateurs
avaient c'est une marque
eva et donc ses 50 ans avec sécurité
hydraulique et en rouleaux de ras puis
arrière qui est survenu aussi donc ça
nous permet d'aller plus ou moins
profondes suivant les zones de terres et
comme il est un vrai on a beaucoup moins
d'efforts de pénétration contrairement
aux pas rappelons qu'on avait auparavant
qui est une aumône au point une mono
pour avec sida michel donc pour pouvoir
utiliser tous ses appareils
on a un tracteur 160 chevaux
en ce qui concerne les semis avec le
bertini on est à entre 7 et 8 litres à
l'hectare et lorsqu'on doit faire des
travaux je dirais avec le fils ira teurs
quand on bat à 30 cm on est plutôt sur
sur du 30 litres à l'hectare bon après
si un stockage donc on a une unité de
stockage donc on trie et on pèse à la
réception on peut stocker 900 tonnes
dans six cellules différentes et donc on
a la possibilité de sécher aussi sur la
ferme avec un séchoir euromat au fioul
et donc si a priori on passe en bio il
faudrait plutôt l'équipe et au gaz
mais pour les saints patrons voient que
prdv si ça peut arriver au bout nous
permettrait de valoriser également à nos
greg et l'inconvénient je dirais de la
bio c'est qu'on est sur une autre
extrême on en a eu et et je dirais dans
l'extrême chimie avec notamment les
semenciers qui pour sécuriser les
germinations et et les rendements et la
qualité du grain pour avoir un taux de
germination importante lusage de
beaucoup de chimie et donc sa femme est
de plus en plus difficile d'utiliser
cette chimie là si on veut avoir des
sols vivants et donc c'est pour ça qu'on
a arrêté rapidement des insecticides
on a supprimé les fongicides par la
suite et on est en train de réfléchir à
supprimer le désherbant pour pallier à
ça par rapport aux fongicides et on veut
utiliser nos potions ou nos préparations
concernant le désherbage il faut arriver
à prendre la place de l'atlantis ou de
la plante bio indicatrices donc on va
aller sur des densités ou des sur
densité de semis de nos graines voire de
plantes compagnes justement pour pouvoir
occuper le sol et forcément on n'aura
pas tous les ans le même rendement d'une
espèce ça sera plus ou moins l'une ou
l'autre qui se développera mais on aura
la possibilité de trier ou de
commercialiser des ménages
par la suite alors les trois choses à
faire on va dire chercher l'information
donc pour ça et aujourd'hui on a
internet donc ça aide beaucoup beaucoup
beaucoup aller rencontrer les
agriculteurs et travailler en groupe
avec d'autres agriculteurs
moi ce qui m'a manqué le plus et ça fait
manquer c'est là où j'ai appris le plus
c'est toujours dans nos réunions de deux
groupes d'agriculteurs on a pu
progresser donc soit dans nos réunions
c'est à qu'on en réalise tous les quinze
jours
grâce à la coopérative dans le rock soit
par les formations mais vivait à qui
sont mis en place par caroline et verte
avec gaia 32 ou par d'autres organismes
de formateurs et est en fait lorsque
fais moi j'ai copié un petit peu sur
agronome en faisant de l'association et
en faisant régulièrement tous les mois
une réunion avec les adhérents de
l'association justement pour pouvoir
avoir ce lien d'échangé et son moment
des changes entre pratiquants ou entre
personnes qui cherchent à avoir de
l'information et ça nous permet toujours
de progresser et d'avoir une info
une info après les choses a pas à pas
faire assez partir seul sur de grandes
surfaces
si nos moyens ne le permettent pas
donc forcément fait des parcelles en
agroforesterie dans le lot-et-garonne et
en aquitaine et ça se développe pas tant
que ça pour quelles raisons soit
économiquement les agriculteurs sont à
la limite et et changer de technique
c'est un risque quand quand on met en
place quelque chose qu'on ne maîtrise
pas et qu'on ne sait pas forcément on va
aller vers de la prise de la partie
échec
il y en aura donc il faut se limiter
cette partie échec pour les jeunes qui
veulent démarrer cette approche-là et
donc il faut être accompagné donc
aujourd'hui il ya de l'information il ya
des organismes de formation il ya des
agriculteurs dans le cadre des ferrand
et piloter à gros qui sont là pour
pouvoir accompagner et suivre des fermes
où l'agriculteur voudrait démarrer une
parcelle avait des couverts végétaux
ça existe donc on démarre on va
rencontrer l'agriculteur il est formé
pendant une journée auparavant à cette
technique là et ensuite on va chez
l'agriculteur pour voir qu'est ce qu'il
a comme un matériel disponible qu'un
lancement ci peut avoir sous la main
pour pouvoir commencer à faire à ses
couverts et quels sont ses objectifs
donc le moment de semer la destruction
et quels sont les cultures qui vont
mettre qui vont être mis en place et
derrière donc voilà c'est ces choses là
qui font peut rencontrer et je dirais
rencontré aussi le consommateur ou le
citoyen permet de permet de valoriser un
petit peu toutes ces techniques là moi
ce que lorsqu'on reçoit les les
personnes pour l'opération de ferme en
ferme et qui a lieu fin avril
ils sont toujours très content et
heureux de voir que
c'est par celle là existe donc après eux
derrière vont peut être communiquée à
leur entourage et peut-être que quelques
personnes seront intéressés de venir
voir et c'est comme ça que depuis
quelques temps il ya pas mal de
formations qui sont le fait sur
l'agroforesterie dans le département et
de la région et de temps en temps il
vient de faire un saut ici sur la ferme
pour voir à quoi ça ressemble

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